Par Walid Amdouni* Flashback au 18 décembre 2010, nouvelle date référence dans l’histoire de la Tunisie, le jeune Mohamed Abou […]
Sauvons Loujain Ghazouani-Save Loujain Ghazouani-أنقذوا لُجين الغزواني
لجين الغزواني طفلة عمرها 3 سنوات و 7 أشهر مُصابة بالسرطان، طفلة في غاية الحيويّة و حادّة الذكاء، موهوبة و […]
Société Civile en Mouvement
C’est un fait ! Réfléchir seul à une situation, faire son diagnostic et se fixer ses propres jalons, tout le monde en est champion. Maintenant, permutons l’approche personnelle par une approche collective. Et là, ça devient beaucoup plus compliqué ! En vérité, c’est un peu naturel. L’individu dégage à lui seul une bonne dose de passionnel pour donner de l’ardeur à ses idées, motivation à ses opinions et de la force à ses conclusions, souvent sans se soucier d’ébrécher le libre arbitre de son entourage. En revanche, le chapitre du collectif se classe dans la catégorie des sciences de gestion. Réussir à s’écouter et à se concerter sur des pistes de réflexions ou fixer ensemble un projet et des priorités pour apporter des solutions, se fait généralement sans passion. Il demande une mixture de règles, de techniques, de connaissances et aussi beaucoup de patiente.
Plan Jasmin : La Montagne a accouché d’une Souris
Par Mohamed Chawki Abid – La grande surprise est tombée hier soir : communication officielle du Plan Jasmin. Quelle démagogie ? Quelle reprise des propagandes BenAlistes ? Quelles promesses mensongères ? Parmi les Dix grandes idées miroitées dans ce plan, je retiens le top de la liste : ‘‘Construire la confiance par la transparence, la responsabilité sociale et la participation citoyenne’’. 7 mois après, le Gouvernement Provisoire n’a même pas été capable de concrétiser le 1er objectif vital, tant réclamé par la Révolution et attendu par les concitoyens. S’il était incapable le concrétiser à court terme le point le plus urgent et vital à la fois, comment alors pourrait-on croire à ses promesses moyen-termistes.
Musulmans oui, misogynes non !
Inquiètes. Les quelques millions de tunisiennes sont inquiètes. Les militants d’ Ennahdha ont beau essayé de les rassurer du maintient de leurs droit et acquis, personne ne les croit, car la vérité est révélée par les actes et non la parole, et les faits sont là : Ennahdha a non seulement refusé dé s’engager et de signer la charte citoyenne qui garantit les droits de la femme, mais s’est carrément retiré de la haute institution de la transition démocratique pour ne pas avoir à en discuter. La même chose est vraie pour l’argent politique : est-il juste que, grâce au financement de certains partis politiques, des personnalités des pays du golfe viennent nous imposer leur forme d’islam, une forme inadaptée qui néglige le fond et s’accroche à la forme, et exclut la femme de l a société?
Mode Fashion
Nous sommes en Tunisie. Depuis le 14 janvier, chacun a le droit à la liberté. Liberté de s’exprimer, liberté de se déplacer, liberté d’entreprendre, … bref un droit, mais aussi une quête qui a du mal à s’articuler dans nos traditions de vie. Qu’en est il de la liberté de s’habiller ? Depuis la Révolution, il est clair que le paysage citadin de la Tunisie n’est modifié. Et le sujet le plus évoqué est celui du hijab et de la burqua. Une mode fashion, qui ne figure ni dans les books de styles féminins, ni parmi les traditions d’habillement tunisien.
Celui qui vole est plus fort que celui qui ahane ( proverbe tunisien )
Par Khaled Mestiri Je souhaiterais malgré mes faiblesses manifestes en droit prendre le risque de répondre au collectif « des […]
Quand nos enfants malades nous donnent des leçons
Le cœur d’un enfant c’est grand. L’amour s’y déverse en cascade. (Michel Jonasz) C’est autour d’enfants aux cœurs […]
Bienvenue à Sidi Bouzidsthan
Ça ne se passe pas à Kaboul ni à Téhéran, ce n’est pas non plus Kandhar ou Jeddah. Ça se […]
Tunisie : Pourquoi il faut arrêter les travaux à la Maalga
Le promoteur et les propriétaires des Résidences de Carthage se défendent du fait de l’inexistence de pièces archéologiques sur leurs […]
Billet d’humeur : De l’usage abusif de l’état d’urgence.
Par Hedi Sraieb – La proclamation de l’état d’urgence, renvoie dans l’arsenal juridique de la constitution et des lois tunisiennes, comme d’ailleurs celui d’autres pays, à la nécessité impérieuse de l’application de dispositions limitant les libertés publiques résultant d’une situation singulière telle que : un danger public exceptionnel menaçant l’existence de la nation, des émeutes massives ou encore une exceptionnelle gravité insurrectionnelle.
L’égalité Femme-Femme
L’égalité Homme-Femme un vieux sujet mâché, remâché, qu’on sort quand on n’a pas mieux à faire, l’égalité homme-femme au niveau […]
La disparition de Khaled Zghal…après la révolution !!
Chaque année, des milliers de personnes sont arrêtées, enlevées ou emprisonnées par des agents de l’État, et «disparaissent» : leurs familles ne parviennent pas à obtenir d’informations sur le sort qui leur a été réservé. Les autorités nient être responsables des disparitions. Le plus souvent, les personnes disparues ne sont pas retrouvées. Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles des disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches…
Raconte-moi la Tunisie
Par Chloé Guyon – Difficile de parler d’un pays que j’ai quitté voilà une décennie et qui m’est désormais étranger. Exercice périlleux auquel je me prête volontiers, comme par devoir. Un devoir de mémoire. Je voudrais parler de la Tunisie que j’ai connue dans les années 90, ancrée dans ses principes, mais ouverte et tolérante. J’étais alors écolière ou encore lycéenne, et on avait le choix, de faire le Ramadan ou de ne pas le faire. En fait, on ne se posait pas la question et qu’on ne vienne pas me dire que c’était l’insouciance de la jeunesse.
Ennahdha et l’UPL : Malversation sur fond d’humanitaire
Dans l’humanitaire, les motivations ne sont pas toujours louables, que dire alors quand il y a un parti politique et une course au pouvoir derrière.
L’enfer existe….Je l’ai vu !!!
Ce vendredi 12 août 2011, j’aurais pu être à Montreux, en Suisse, pour défendre les couleurs de mon pays aux 40è championnats du monde de scrabble francophone ou, à défaut, chez mon frère à fêter l’anniversaire de ma nièce. Le ministère de l’injustice et celui de la torture morale et physique en ont décidé autrement. Ils se sont ligués contre moi pour me faire découvrir l’enfer d’un pays que j’aime beaucoup sans avoir jamais aimé ses dirigeants, 55 ans durant.
A comme Agrebi, B comme Ben Ali, C comme Caid Essebsi …
Par Ilyes Saanouni – Mercredi 18 Mai 2011. 13h. Je déjeune avec une charmante amie aux Fontaines et elle me raconte son 14 Janvier. Elle est inquiète pour la Tunisie. J’essaie de la calmer, de partager mon indéfectible optimisme sur ce sujet. Quelques heures auparavant j’étais au Consulat général de la Tunisie à Paris d’où je ressortais agréablement surpris par la sympathie dont font désormais preuve les fonctionnaires tunisiens sur place. A ce moment-là tout va pour le mieux, on en est pas encore au report des élections, les thuriféraires du régime de Ben Ali sont à la caserne militaire, les messages d’espoirs affluent de partout. Tout va pour le mieux.
Cette irritante négativité, par défaut
Vous l’avez certainement constaté : le tunisien a du mal à réaliser qu’il vient de vivre une révolution. Et il […]