Le nombre d’enfants sur les réseaux sociaux a explosé ces dernières années. Face aux écrans, ils sont de plus en plus nombreux à être abandonnés à leur sort, exposés à toutes sortes de violences, dont ils sont à la fois les auteurs et les victimes.

Le nombre d’enfants sur les réseaux sociaux a explosé ces dernières années. Face aux écrans, ils sont de plus en plus nombreux à être abandonnés à leur sort, exposés à toutes sortes de violences, dont ils sont à la fois les auteurs et les victimes.
« The Omar Laâbidi case has been pushed back to center stage thanks to the « Learn to swim » campaign, and to the efforts of civil society and “Ultras” (groups of soccer team supporters). This has roused the anger of Tunisia’s security apparatus, inciting its recourse to intimidation », says one activist. In the midst of this highly charged atmosphere, police officers are responding through the blows of their batons.
من الإنجازات الملحوظة التي تحققت في تونس منذ تبنيها ”القانون رقم 58 بشأن القضاء على العنف ضد المرأة“ في عام 2017 أنه كسر الصمت بشأن العنف الأسري. إلا أنّ الاهتمام الكبير الذي حظي به العنف الزوجي حجب أشكالاأخرى من العنف الأسري.وتبقى آثار العنف الأسري المتعددة الأوجه على النساءنوعا من الأسرار العائلية. اليوم العالمي للمرأة هو فرصة لتسليط الضوء على هذا البعد من العنف ضد المرأة.
A notable achievement since Tunisia’s adoption of law-58 on the Elimination of Violence Against Women in 2017 is that it has broken the taboo on speaking about domestic violence. Yet, while spousal violence has received significant attention, it can be seen as representing the trees hiding the forest: family violence, and its multifaceted implications for women in their adulthood, remains a kind of family secret. It is time to shed light on this dimension of violence against women.
L’adoption de la loi n° 58 relative à l’élimination de la violence à l’égard des femmes, en 2017, a remarquablement permis de rompre le tabou concernant les violences domestiques en Tunisie. Même si la violence conjugale a fait couler beaucoup d’encre, on peut la considérer comme l’arbre qui cache la forêt : les violences familiales et leurs diverses implications pour les femmes à l’âge adulte demeurent une sorte de secret de famille. Il est temps de mettre en lumière cette facette de la violence à l’égard des femmes.
تداول رواد منصة التواصل الاجتماعي فايسبوك اليوم الثلاثاء 4 ماي مقطع فيديو مصور في وسط العاصمة تونس، وتحديدا في شارع باريس الرابط بين الحبيب بورقيبة وحديقة الجمهورية، وتتضمن هذه المقاطع مناوشات بين عناصر من الشرطة وعدد من المواطنين. وانتشر مقطع الفيديو على فيسبوك دون أن يعرف الناس سبب هذه المناوشات وهوية الشبان الذين اشتبكوا مع قوات الشرطة.
Harassment, revenge porn, blackmail: 80 percent of women in Tunisia have experienced violence on the internet. This violence is multifaceted and rampant on social media. In an effort to stop it, some have decided to publicly denounce their aggressors on Facebook through the Ena Zeda groups. But is this enough to stem the violence?
تخللت المباريات الأخيرة لدوري أبطال افريقيا في تونس أحداث عنف في المدارج بين مشجعي نفس الفريق، وخاصة مشجعي الترجي الرياضي التونسي خلال مباراة الربع نهائي ضد الزمالك المصري يوم الجمعة الفارط. وإن كانت ظاهرة العنف في الملاعب تُصنف ضمن الظواهر القديمة المتجددة، إلا أن اللافت للانتباه خلال السنوات الأخيرة هو تنامي العنف بين مجموعات أحباء الفريق الواحد. وهنا تُطرح تساؤلات حول الأسباب التي جعلت من العنف في الملاعب وخارج أسوارها ركنا أساسيا من أركان مباريات كرة القدم، وحول الأسباب التي تدفع نحو العنف بين أحباء الفريق الواحد.
Alors que le décès de 7 nouveau-nés à l’hôpital de Nabeul agite la toile même pas quatre mois après les 22 cas de la Rabta, nous nous sommes penchés sur une réalité moins connue mais répandue : il s’agit des violences que subissent les femmes dans les hôpitaux et les cliniques lorsqu’elles mettent au monde un enfant. Paroles déplacées, gestes inappropriés, pratiques non consenties, mépris, examens brutaux… Les premiers témoignages sur les violences obstétricales émergent douloureusement.
Attendu de pied ferme, « Subutex » de Nasreddine Shili est un documentaire clivant. Le pouvoir double qu’a sa caméra de porter au jour ce que la société relègue hors-champ, marque la force du geste en même temps que ses limites. Le film a été projeté dans le cadre des Journées Cinématographiques de Carthage 2018.
A l’occasion de la présentation, le 2 mai, du rapport « Les dynamiques d’inclusion/exclusion de la Jeunesse en Méditerranée », commandé par l’Agence de Développement Française (AFD), Rim Ben Ismail, psychologue, et Imed Melliti, sociologue, ont apporté sur le mal-être de la jeunesse tunisienne des éclairages que les politiques ne sont pas toujours prêts à entendre.
On October 14, journalists and women’s association members put their heads and pens together to draft a Declaration of Principles on Media Coverage and Journalistic Practices concerning Violence against Women. The same day, Alaa Chebbi is denounced by activists for “violating press laws” and “normalizing violence against women and little girls […] just to make a buzz.”
Comparing the nature of political discourse and media response in the US and Tunisia following such tragedies reveals key debates that have been stirred up in each country, as well as some fundamental commonalities; namely, failure to face the underlying, internal factors that fuel terrorism.
As hightened political instability in Libya threatens to permeate the region, Tunisian media and political figures are preoccupied with issues at the borders and beyond, whereas few are looking inward to the geographical, social, economic factors associated with terrorism.
In Tunisia, there is a great deal of skepticism regarding the competency and «responsible governance» of the interim government in juxtaposition with Tunisia’s international image as the ‘sole democracy in the Arab world’ as citizens sense that technocrats and politicians are incapable of rising above their own political and electoral trajectories to synchronise a unified, coordinated national response to aggression that is tantamount to a Palestinian holocaust.
The interim government’s approach to addressing terrorism is a continual source of public discontentment, and heightened security issues have directly influenced citizenry’s reticence to participate in political processes, according to several La Presse and Nawaat reports. On the same day that the Ministry of National Defense reported on the Jebel Ouergha explosion, the High Independent Authority for Elections (ISIE) announced the markedly low turnout for voter registration.
انتظمت صباح اليوم الخميس 19 جوان مسيرة بيضاء صامتة انطلقت من ساحة حقوق الإنسان وصولا إلى مقرّ وزارة المرأة بشارع […]
Mercredi, 4 juin, à la Cité Ibn Khaldoun, un père a brûlé sa fille, Eya, 13 ans, après l’avoir vue dans la rue avec un de ses camarades. Le père qui s’est senti déshonoré a aspergé sa fille d’essence et a mis le feu à son corps. Il est actuellement en état d’arrestation. Admise au Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, Eya a succombé à ses brûlures, après une agonie qui a duré des jours. Pour certains, ce crime terrifiant est un fait divers qui pourrait se passer dans n’importe quelle société et pas seulement en Tunisie. D’autres s’indignent en situant les faits dans un cadre plus général qui fait la lumière sur la posture de la femme dans la société tunisienne.