Le budget de l’état a été estimé à 26 692 MD, soit une légère augmentation de 5,6%, qui démontre que le gouvernement commence à s’inquiéter pour le déficit public qui a augmenté de 2 400 MD (10% du PIB) en seulement 3 ans ce qui est insoutenable sur le long terme.
L’Eco-Revue : FMI et phosphates: les dangers imminents
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Samir Dilou démissionne de son poste de porte-parole du gouvernement
Après une première annonce en décembre 2012, le ministre des Droits de l’Homme et de la Justice transitionnelle a confirmé qu’il ne souhaite plus être porte-parole officiel du gouvernement. Dans ses déclarations faites ce lundi à Mosaique FM et Shems FM, Samir Dilou a annoncé qu’il ne sera plus porte-parole officiel du gouvernement.
Les préconisations du FMI pour la Tunisie : Prêts en échange de réformes libérales
Du 12 au 20 Novembre 2012, Le FMI a effectué une mission afin d’analyser la situation économique et financière de la Tunisie. Nous avons pu obtenir le rapport préliminaire de cette mission, qui essaie de résumer la situation économique et financière du pays…
Fiasco retentissant du Ministère des Affaires Etrangères pour clore 2012 “en beauté”.
Le 31 décembre 2012, un grand fait est passé presqu’inaperçu; il est pourtant de taille et influe sur notre image panarabe, tout en témoignant d’un échec aux conséquences négatives pour les quatre (sinon les huit) années à venir. Il s’agit de l’élection du Directeur Général de l’ALESCO dont le siège est à Tunis.
« Sheratongate » : Olfa Riahi persiste et signe contre Rafik Abdessalem
Un ministre en particulier est dans le collimateur de la jeune femme : Rafik Abdessalem, chef de la diplomatie tunisienne. Le 26 décembre, Olfa Riahi publie sur son blog un brulot accusant entre les lignes le ministre de dépenser dans un hôtel de luxe les deniers de son ministère et d’y inviter par la même occasion une femme pour des motifs peu clairs.
Camp de Choucha : Le gouvernement tunisien doit prendre la relève
Le camp de Choucha est encore ouvert pour quelques mois. En juin 2013 il fermera. D’ici là la plupart des personnes ayant le statut de réfugié et ayant bénéficié d’un programme de réinstallation seront parties. Restera à régler la situation des réfugiés non réinstallés et celle des personnes déboutées.
…ثورة بلا عدالة
ليس من الصعب اليوم استشعار من سيكون الضحية و من سيصبح الجلاد. فالوضع في أقصى حالاته لن يتجاوز مجرد تبادل أدوار و لو أن الصراع لم يحسم حاليا على حساب النظام القديم. فالنظام القديم في بنيته الأساسية باق في كل الأحوال مادامت العدالة غائبة و لن تتجاوز نتيجة الصراع القائم حاليا تحديد الوجوه التي ستتصدر السلطة في حالة الإستتباب.
Le remaniement gouvernemental : l’Arlésienne de la politique en 2012
Voilà des mois qu’on en parle sans le voir venir. Le remaniement ministériel tant attendu est évoqué avec insistance depuis l’été. En juillet déjà, plusieurs articles se faisaient l’écho de la nomination imminente d’un nouveau gouvernement. Les rumeurs et les paris allaient bon train quant aux ministres qui seraient démis de leurs fonctions et aux nouvelles nominations.
Tunisie : Un « Sheratongate » pour le ministre des affaires étrangères, Rafik Abdessalem ?
Un pavé qui risque de faire des remous. C’est ce que semble devenir un article de la blogueuse Olfa Riahi mis en ligne le 26 décembre. Au terme de deux mois d’investigation sur des malversations présumées du ministre des Affaires étrangères, l’article n’y va pas avec le dos de la cuillère.
Lecture critique du décret n°97/2011 relatif aux martyrs et blessés de la révolution
Le décret n°97/2011 du 24 octobre 2011 relatif à l’indemnisation des Martyrs de la révolution et de ses blessés tel que modifié et complété par le projet de loi présenté par le Chef du gouvernement : traduction de l’arabe au français et commentaires.
L’État et ses devoirs dans la Tunisie postrévolutionnaire
Les événements de Siliana ont touché le fond du paradoxe de la Tunisie postrévolutionnaire. Certes ce mouvement protestataire contre la pauvreté et la quasi absence d’une claire politique du développement régionale ne peut être qualifié de spontané
OpenGov : Ensemble c’est mieux!
Le 19 décembre à Bizerte aura lieu une rencontre pour créer du lien entre le gouvernement tunisien, la société civile et le secteur privé, afin de créer de façon durable de l’Open Data, de l’e-participation et des projets de e-services en Tunisie.
FTDES : Migrants disparus en mer : « Un silence insupportable »
le FTDES a tenu aujourd’hui une conférence de presse pour présenter un bilan de son action de l’année 2011. Une conférence qui a permis de parler, entre autres, des migrants tunisiens disparus en mer et exiger des réponses de la part d’un gouvernement qui reste muet.
La Polit-Revue: Faucons, colombes et pigeons
Avons-nous assisté à une nouvelle domestication en règle de l’UGTT durant l’intense semaine politique qui vient de s’écouler ? L’Histoire dira si la semaine du 10 au 15 décembre fut celle d’un « apaisement responsable » où plutôt d’une réconciliation forcée, entre deux belligérants ayant agité précipitamment leurs dissuasions nucléaires respectives.
L’Eco Revue : 15,5% des Tunisiens sont pauvres…
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Le message de Siliana : pour une politique régionale définie localement et démocratiquement
Les heurts récents à Siliana, face au mécontentement vis-à-vis de la situation sociale en générale et de l’état de sous-développement de la région en particuliers, portaient parmi leurs principales revendications la démission du gouverneur. Cette revendication ne manque pas d’étonner : comment imaginer que l’éviction d’un haut fonctionnaire pourrait résoudre une situation de dénuement économique et social ?
De l’utilité de la crise et de la nécessité d’une politique magnétique
Ainsi, la crise entre l’UGTT et le gouvernement aura été résorbée avec un minimum de sérieux et de bonne foi ! Mais qui en aurait douté, connaissant la nature des fils de qualité supérieure formant le tissu de la société tunisienne ?