Radwan Masmoudi: Soft Power Arm of Tunisia’s Islamists

Since the president’s sweeping decisions announced on July 25, Ennahdha member Radwan Masmoudi has waged a media war against Kais Saied. A controversial figure, Masmoudi has long juggled between his activities in civil society and in politics. And this is not the first time that his statements have elicited so much controversy and raised questions about his connections both within and outside of Tunisia.

A Tunis et à Sfax: Les travailleuses du sexe, victimes collatérales du Covid-19

La crise du Covid-19 a précarisé beaucoup de Tunisiens. Les travailleuses de sexe œuvrant dans les maisons closes, actives sous l’égide de l’Etat et payant leurs impôts, n’échappent pas à cette calamité depuis l’arrêt de leur activité en mars 2020. Entre pauvreté et clandestinité, la vie des travailleuses du sexe est guettée par toutes sortes de menaces. Nawaat est allée à la rencontre de deux d’entre elles. Des militants associatifs tirent la sonnette d’alarme sur leur situation amenée à s’aggraver.

Radwan Masmoudi : Visage du soft power des islamistes tunisiens

Membre d’Ennahdha, Radwan Masmoudi mène depuis le Virage 80 du 25 juillet une guerre médiatique acharnée contre le président de la République. Personnage controversé, Masmoudi a longtemps jonglé entre vie associative et politique. Et ce n’est pas la première fois que ses déclarations attisent autant la polémique et soulèvent des interrogations sur ses liaisons à l’intérieur et à l’extérieur du pays.

A l’origine des craintes des Tunisiens, l’historique violent d’Ennahdha

Après les mesures exceptionnelles prises par le président Kais Saied, des organisations nationales et des chancelleries ont mis en garde contre une probable escalade des violences. Cette crainte d’un éventuel affrontement, esquissé par le président de la République lui-même, est animée par la violence, sous un habillage religieux, inhérente à la mouvance islamiste depuis sa création jusqu’aujourd’hui.

حوار مع وحيد الفرشيشي حول واقع الحريّات في زمن الكورونا

أصدر الائتلاف المدني من أجل الحريات الفردية تقريره السنوي حول وضع الحريّات الفردية في تونس يوم 30 جوان. تحت عنوان “سنة كل التهديدات”، رصد التقرير الانتهاكات العديدة التي سجّلت هذه السنة والتي كان ضحيتها العديد من الفئات في تونس. وقد أشار التقرير إلى أن هذه التهديدات هي امتداد لما شهدته البلاد من تصاعد للخطابات الشعبوية إلا أنها تكثّفت في ظلّ جائحة كورونا وسياسة الدولة القمعية. للوقوف حول تفاصيل التقرير، حاورت نواة أستاذ القانون ومؤسس الجمعية التونسية للدفاع عن الحريات الفردية، المكوّنة للإتلاف، وحيد الفرشيشي.

Congrès des Femmes Démocrates: Luttes féministes à l’aune des populismes

L’Association Tunisienne des Femmes Démocrates (ATFD) a tenu son 13ème congrès ayant débouché sur l’élection d’un nouveau bureau exécutif. La présidente sortante, Yosra Frawes, a passé le flambeau à Naila Zoghlami. Le regain des populismes en Tunisie, tant décrié par les militantes féministes, opèrera-t-il un revirement dans le positionnement et la stratégie de l’ATFD ?

Clubhouse : focus sur l’appli montante en Tunisie

Fondée en plein confinement, en avril 2020, l’application de réseautage social fait des émules dans le monde et plus récemment en Tunisie. Axée sur les échanges audio, elle s’ajoute à la longue liste des réseaux sociaux en vogue dans le pays. Des personnalités publiques tunisiennes ont afflué sur le réseau. Mais l’engouement pour Clubhouse sera-t-il éphémère ou traduit-il un réel besoin non satisfait par les autres applications ?

Violences contre les femmes : ces Refka Cherni qu’on assassine

Le meurtre de Refka Cherni, tuée par son mari, a suscité une vive émotion dans la société tunisienne. Son assassinat et le calvaire de tant d’autres rappellent une fois de plus que la violence conjugale est endémique, et qu’elle tue parfois. Nawaat a rencontré Sondes, victime de violence perpétrée par son époux. Son parcours et le témoignage des acteurs concernés démontrent qu’une loi inappliquée et une mentalité tolérant la violence ne peuvent enrayer ce fléau.

Amending Law 52 on narcotics: A Mixed Track Record

When three young people were recently sentenced to 30 years in prison in accordance with Law 52 on narcotics, it sparked controversy. A debate has reignited over the repressive nature of the law and the fate of drug consumers locked up for smoking a joint. Meanwhile, collectives and associations have come out calling for the depenalization and decriminalization of drug consumption. Their demand is not a new one, but it remains hostage to political procrastination. In 2017, the law was amended to be less restrictive, but has its application followed suit? What changes have taken place since 2017?

Avec le gouvernement Mechichi, l’Etat policier renaît de ses cendres

Face à la vague de répression qui s’abat sur les Tunisiens allant jusqu’à la mise à mort de deux citoyens et environ 2000 arrestations en deux mois, les craintes d’un retour d’un Etat policier dépassent le stade des appréhensions. Plus de 60 organisations non-gouvernementales ont annoncé hier leur détermination à engager des poursuites pénales contre le chef du gouvernement Hichem Mechichi, également ministre de l’Intérieur par intérim. Et ce, suite aux arrestations arbitraires, agressions et torture subies par des protestataires. Et ces ONG appellent le président Saied à intervenir pour libérer les personnes arrêtées en marge des récentes protestations.

Inscrivez-vous

à notre newsletter

pour ne rien rater de nawaat.org