Hatem Nafti, essayiste et collaborateur de Nawaat, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé « Tunisie. Vers un populisme autoritaire ? » (Riveneuve/Nirvana, octobre 2022). A la veille de la commémoration du 14 janvier, nous vous proposons cet extrait de l’ouvrage où Nafti analyse la lecture de Kais Saied de la révolution et l’influence théorique de son entourage.
نواة في دقيقة: المنعرج 117، مشروع قيس سعيد القديم الجديد
ثمانية أسابيع بعد منعرج 25 جويلية، أفصح الرئيس قيس سعيد عن ملامح خارطة طريقه بإصدار الامر الرئاسي 117. تراتيب و قرارات ذكرت بمشروع الرجل كما أعلن عنه قبل سنوات مخلفا ردود أفعال متباينة.
المنعرج 80: قيس سعيّد وثنائيّة ”الشّعب يريد“ و”الدستور ينصّ“
في ظلّ غياب خارطة طريق وعدم تعيين رئيس حكومة إلى حين كتابة هذا المقال، تظلّ عديد السّيناريوهات مطروحة فيما يتعلّق بمصير البرلمان ومنظومة الحكم، خاصّة مع أفول عدد من الأحزاب الكلاسيكيّة وظهور مكوّنات سياسيّة جديدة. فهل يُهيئ قيس سعيّد الأرضيّة لتنزيل برنامجه الانتخابي “الشّعب يريد”، بعد تجميد المجلس التشريعي وإقالة رئيس الحكومة؟
Tunisie. Régime des partis ou vicissitudes du régime parlementaire
Présenté souvent comme un des systèmes les plus démocratiques du monde, le régime parlementaire ne manque toutefois pas de complications, ni même d’inconvénients. Les innombrables et imprévisibles bouleversements auxquels il peut donner lieu ont toujours suscité beaucoup de controverses. Le fait qu’il permette une représentativité démocratique du corps électoral d’une société et qu’il assure une organisation équilibrée des organes du pouvoir, ne l’empêche pas en pratique de présenter un grand risque d’instabilité gouvernementale et politique. S’il ne pose aucun problème en Angleterre, les exemples de ses vicissitudes dans d’autres pays ne manquent pas, à commencer par celui de la tristement célèbre 4ème République en France.
البرلمان يريد إسقاط النظام؟
عندما نظّم الرئيس الاسبق بن علي استفتاء سنة 2002 للموافقة على حصوله على ولاية رابعة، اقترح الرّاحل زهيّر اليحياوي في موقع TUNeZINE استفتاءه الخاص: ”هل تونس جمهورية أم مملكة أم حديقة حيوانات أم سجن؟.“ وذلك في مواجهة ساخرة لعبثيّة نظام بن علي آنذاك. كان كل العالم وقتها، يعرف جيّدا أن بن علي يحكم البلاد بقبضة من حديد، وأنّه غير مستعد للتخلّي عن السلطة تحت أي ظرف. ومع ذلك كان النظام وزبانيته يسوّقون لمسرحية الاستفتاء، ولم يجد زهيّر اليحياوي غير السخرية للرد على هذا العبث. فهل ينطبق توصيف الراحل زهيّر اليحياوي على ما يجري حالياً في البرلمان؟
نواة في دقيقة: 8 سنوات بعد الثورة، رجال بن علي على كل الموائد
بعد أن اختفت الوجوه التّي ساهمت في صناعة حقبة الرئيس الاسبق زين العابدين بن عليّ وتصدّرت المشهد الإعلاميّ والسياسيّ في عهده، عقب 14 جانفي 2011، عادت تلك الأسماء لتكون مرّة أخرى صانعة للمرحلة الجديدة وعلى رأس أجهزة الدولة التنفيذيّة. هؤلاء الذّين استماتوا في الدفاع عن بن وسياساته لم يجدوا حرجا بعد هروب هذا الأخير في عرض خدماتهم على الحكّام الجدد والاقتيات من موائدهم.
Béji Caïd Essebsi déclare la guerre au parlementarisme
Dans son interview paru le 06 septembre dans les journaux Essahafa et La Presse, l’idée maîtresse autour de laquelle s’articule tout le propos de Béji Caïd Essebsi est de réviser la constitution de façon à affaiblir la représentation parlementaire pour renforcer les pouvoirs de l’Exécutif et notamment ceux du président de la République.
Which political system for Tunisia?
As the work of the constituent assembly progresses, the debate appears strained when it comes to the different forms of political system on offer. At stake are, most importantly, the role and mode of election of the Head of State. There has been talk of a modified parliamentary system, a mixed system and a semi-presidential system.
Quel régime politique pour la Tunisie ?
Alors que les travaux de la Constituante progressent, le débat s’annonce tendu sur la nature du régime. En jeu, notamment le rôle et le mode d’élection du Chef de l’Etat. On parle de régime parlementaire modifié, de régime mixte, de régime semi-présidentiel. La Tunisie s’apprête à se lancer dans un grand débat, autant essayer d’en comprendre les tenants et les aboutissants.
Un régime parlementaire…pour quoi faire ?
Par Youssef Ben Slamia – Le buzz médiatique évolue chaque jour à la vitesse de la lumière en Tunisie. Dans ce billet j’ai quand même choisi de revenir à ma manière sur l’une des dernières controverses de la Tunisie post révolutionnaire : le choix, ou non, d’un régime parlementaire
Quelques précisions sur la Commission Nationale tunisienne sur la Réforme
Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.
تونسيون متورطون في سرقة أمتعة الصحفي أحمد منصور بباريس
La question tunisienne à la veille des élections de 2009 : 4e et 5e parties [vidéos]
Avec un peu de retard sur ce qui a été prévu, nous publions aujourd’hui les 4e et 5e parties du […]
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The International Federation of Journalists (IFJ) today protested to the Tunisian government over the action of police who laid siege […]