Bataille de chiffres sur la “meliounya” : Que disent les mathématiques ?

Avec les manifestations et les sit-in qui s’enchaînent depuis l’assassinat le 25 juillet du leader de gauche Mohamed Brahmi, la guerre sur le nombre des manifestants fait rage. Dernière bataille en date : celle sur le nombre de manifestants présents samedi soir 3 août à la Kasbah pour la “milyounya” (mot désignant une manifestation d’un million de personnes) pour “la légitimité”, organisée par le Parti Ennahdha.

EssebsiGate : Deux instructions ouvertes contre Slim Chiboub et ses éventuels complices

Dans un communiqué du ministère de la justice, Le Procureur de la République de Tunis a annoncé qu’il a ordonné, ce mardi 25 juin, l’ouverture de deux instructions judiciaires, l’une concerne l’affaire connue sous le nom de EssebsiGate en relation avec la vente des parts de Slim Chiboub dans la société Voyageur et la deuxième, suite aux accusations portées par Daren Stevenson contre le gendre de Ben Ali et des hauts fonctionnaires publics, lors de son passage dans l’émission Labes sur la chaine Ettounoussya.

La nouvelle “Première dame” de Tunisie : Pourquoi tant de mystère?

A peine deux ans après le départ de Ben Ali, la Tunisie est passée du culte de la Première dame, instauré par Leila Trabelsi et ses zélés thuriféraires, au culte du secret le plus absolu autour de l’état civil du président. En effet, l’état civil de Moncef Marzouki, semble être le secret le plus gardé de la République. Un secret qui alimente les rumeurs les plus folles allant jusqu’à inventer au Président des présumées aspirantes.

Street art in Gafsa: The first victim of Ramadan?

Eighteen months after the popular uprising which put an end to the Ben Ali regime, one of the few tangible signs of this event remains, undeniably, the sense of free speech which it engendered. Graffiti, tags and the different forms expression that can be seen in the art of the streets have come to represent a concrete manifestation of this freedom of speech and thought.

L’art de rue à Gafsa : Première victime du Ramadan ?

Dix-huit mois après le soulèvement populaire qui a mis fin au règne de Ben Ali, l’un des rares signes tangibles de cet événement est incontestablement la libération de la parole. Le Graffiti, le tag et les différentes formes d’expression de l’art de rue ont été une des matérialisations concrètes de cette libération de la parole et de la pensée.

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