Opposition 442

Que peut-on apprendre des révolutions des roses ?

La mascarade électorale du 24 octobre 2004, ses conséquences sur la scène politique tunisienne, le piège de « la libération » des prisonniers politique islamistes et ses séquelles dans les rangs d’Annahdha : tous ces événements et non événements ont coïncidé avec les spectacles de la victoire de l’opposition ukrainienne rapportée par des médias q […].

Les roses, seraient-elles fades ?

Cette réponse constitue une réaction à l’article « Que peut-on apprendre des révolutions des roses ? » ainsi qu’à certains échanges qui ont eu lieu sur le forum de Nawaat.org par la suite. Pour commencer, je tiens à remercier Sami pour ce texte fort intéressant et pour le débat que suscite l’article en question. Toutefois, si je suis d’accord […].

Le débat national des privilégiés : Basta, c’est assez !!!

Dr Marzouki, permettez moi de vous remercier de votre lettre qui nous invite au débat national. Nous avons assez de « débat national des privilégiés » ? Beaucoup d’opposants de la diaspora et de l’intérieur de la Tunisie ne peuvent plus se taire, nous vous disons : Basta, c’est assez ! Dr Marzouki, permettez moi de vous remercier de votre lettr […].

A chacun ses convictions et « ses cris et chuchottements ! »

Réaction à chaud à « l’Appel au débat » de Moncef Marzouki Désolé de dire, moi qui ai pour M. MARZOUKI une vraie estime, que ce texte est indigeste. Franchement, pour un « un appel au débat national », ça manque de hauteur et de lucidité pour un trop plein de suffisance et de prétention. Sans doute un effet de « la frustration gé […].

Lettre ouverte à Moncef Marzouki

Le degré de frustration, que ce soit sur le net ou autre part dont parle Moncef Marzouki, a atteint son paroxysme depuis longtemps, y compris et surtout dans la classe politique qui souvent se cherche des repères dans la surenchère et même dans la forfaiture, voire des fois dans la maladresse comme l’affaire de Moncef Marzouki sur Nawaat ou même cet appel […].

De la vraie et de la fausse opposition de décor

Dans la masse des commentaires et des réactions suscités par les résultats des « élections » du 24 octobre dernier, plusieurs positions se sont dégagées. J’aimerai ici réagir au texte de Sihem Ben Sedrine vu le ton autoritaire qu’il emprunte et l’idée fantaisiste qu’il œuvre à imposer sur la nature du débat post 24 octobre. Dans la masse des co […].

Dissidence

الشنقة مع الجماعة خلاعة « Crever avec les autres est une partie de plaisir » si j’ose traduire ce dicton tunisien. Cela veut dire que le Tunisien ne laissera pas tomber la foule et que le courage à la tunisienne se crée s’il y a une masse populaire. Les élections de Novembre 2004 passées, nous voilà retrouver en face d’un déjà-vu, une situation […].

Indépendance et liberté – I –

Pourquoi, actuellement, et dans plusieurs coins du monde arabo-musulman et africain des voix s’élèvent pour solliciter les interventions étrangères ou, dans les meilleurs des cas, les légitimer ? Est-ce que les puissances mondiales sont moins cruelles que nos dictateurs ou s’agit-il là d’une autre idée extravagante que nos fantasmes politiques avaient for […].

Penser nos contradictions, assumer nos divisions.

“Le propre de tout projet émancipateur, de toute émergence d’une possibilité inouïe, est de diviser les consciences. Comment en effet l’incalculable d’une vérité, sa nouveauté, la trouée qu’elle opère dans les savoirs établis, pourraient-ils s’inscrire dans une situation sans y rencontrer des adversaires résolus ?” Alain Badiou [1] « Quels sont, se […].

L’affaire de l’agression contre Ahmed Manaï et Mondher Sfar.

Ordonnance de non-lieu dans les trois agressions contre Mondher Sfar et Ahmed Manaï. […].

La dictature jeunicide

L’été 1992, le jeune Nabil Ouaer, à peine âgé de 18 ans, fut condamné à 17 ans de prison, pour « activités terroristes et complot contre la sûreté de l’État » L’été 1992, le jeune Nabil Ouaer, à peine âgé de 18 ans, fut condamné à 17 ans de prison, pour « activités terroristes et complot contre la sûreté de l’État », comme vient de le […].

Tunisie : désarroi d’un peuple.

Dans à peine six mois le peuple tunisien ira « voter » pour élire comme prévu le général Ben Ali avec les fameux 99%, et comme d’habitude le général béneficera de tous les honneurs, honneurs qui malheureusement demeurerons sans gloires, car et comme le dit la fameuse citation « à vaincre sans péril triompher sans gloire ». Dans à pein […].