أثار مشهد توقيع محسن مرزوق يوم 20 ماي الفارط في واشنطن على مذكّرة تفاهم مع وزير الخارجيّة الأمريكي جون كيري، تحت أنظار الرئيس الباجي قائد السبسي، جدالاً واسعًا. وتمحور هذا الجدال حول أمرين/ سؤالين: بأيّ صفة أمضى محسن مرزوق على الوثيقة؟ وما هو مضمونها؟
كلام شارع : التونسي و القاعدة العسكرية الامريكية بتونس
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي التونسي عن ما راج حول إنشاء قاعدة عسكرية امريكية في تونس.
Security Assistance Monitor : Ce que vous devez savoir sur l’aide militaire US à la Tunisie
Le « Security Assistance Monitor » a publié le 21 avril dernier un rapport sur l’aide sécuritaire américaine à la Tunisie. Revenant sur l’aide US à la Tunisie depuis 2011, et se projetant sur l’aide à venir, c’est surtout les ressources contenues par ce site qui sont intéressantes à plus d’un titre.
Comment évolueront les relations tuniso-américaines si Hillary Clinton parvenait à l’investiture suprême en 2016 ?
Si elle ne s’est pas encore exprimée sur sa politique étrangère, et principalement dans la région MENA, il est intéressant de voir comment sa position a évoluée vis-à-vis de la région, mais aussi de la transition démocratique tunisienne. Pour ce faire, Nawaat a contacté un panel d’experts spécialistes des relations tuniso-américaines qui nous livrent les contours de la future politique extérieure US en Tunisie et dans la région si Hillary Clinton accédait à l’investiture suprême.
Quand les “amis” de la Tunisie se partagent le “gâteau sécuritaire” !
Force est de constater que ce « partage » de compétence entre ces pays « amis » est peut être fortuit, mais laisse place à de nombreuses interprétations. Bien que tout porte à croire que c’est à Camp David que ce partage a été décidé, faisant, donc, des opérations terroristes sévissant en Tunisie « un prétexte » pour ces pays de s’ingérer, au plus profond, dans les affaires intérieures d’autrui, voire de s’en servir d’une base arrière, dans ce qui pourrait être la prochaine grande bataille des années à venir : la ruée vers l’Afrique.
South to North and the Sea in Between: Politics of Migration in the Mediterannean
At the beginning of the month, Journalist Farhat Othman criticized the Italian Interior Minister’s visit to Tunisia, observing that an offering of patrol boats, in the guise of support against terrorism and contraband, could only be intended for support against clandestine immigration since it consists of «patrol vessels mandanted by the cooperation agreement linking Tunisia and Italy since 2011 after the massive wave of Tunisians to Italy.» As if to provide a caricature of European politicans obsessed by preserving EU security, Nicolas Sarkozy addressed a cheering crowd of supporters in Nice earlier this week, calling for the «refounding» of the Schengen Area and «a real immigration policy to put an end to social tourism in our country.»
American IRI and NDI Observation Delegations for Tunisia’s 2014 Elections
In Tunisia, public opinion has often questioned the authenticity of foreign initiatives to facilitate the country’s transition to democracy, based largely on skepticism of, for instance, the US’ silence/complicity in (a lack of truly democratic) political processes that kept Ben Ali in power for over two decades. Shortly after the President’s fled the country in January 2011, questions posed during a press conference at the US Embassy in Tunis on 21 February expressed as much; one Tunisian journalist explicitly asked, «How can we trust you?»
Pourquoi Ennahdha a confié sa communication à la très controversée agence de relations publiques Burson-Marsteller ?
Le manque de transparence d’Ennahdha autour de son accord avec Burson-Marsteller suscite des soupçons inévitables sur la transaction qui, au contraire d’encourager des «élections libres et équitables en Tunisie», pourrait, en fait, les miner. L’ambiguïté autour de l’aspect financier de la transaction, (“Frais à déterminer à une date ultérieure,” lit-on dans le document d’enregistrement officiel) est un sujet de préoccupation particulier, après la mauvaise gestion financière des partis, lors des dernières élections. En effet, certaines questions s’imposent : qui a financé ce projet ? De quel fond sera-t-il financé ? Quelles sont les modalités de paiement ?
Why has Ennahdha signed on with controversial American PR firm Burson-Marsteller?
Ennahdha’s lack of transparency around its agreement with Burson-Mersteller gives rise to inevitable suspicion that the transaction, contrary to encouraging «free and fair elections in Tunisia» might in fact undermine them. Ambiguity around the financial aspect of the deal (“Fees and expenses to be determined at a later date,” reads the official registration document) is a particular concern after political parties’ financial mismanagement in past elections.
Daech est une nouvelle arme à double tranchant
Quand on écoute Obama, Cameron, Hollande et ces dirigeants occidentaux fustiger les terroristes et dénoncer la barbarie de l’Etat Islamique, on a envie de leur crier en face : « arrêtez votre comédie et vos bouffonneries, vos mensonges et vos entourloupettes ne leurreront plus personne. »
L’initiative US sur la gouvernance en matière de sécurité : la Tunisie en point de mire
La Maison Blanche a publié, le 6 août dernier, un communiqué de presse relatif à la mise en place par les Etats-Unis d’Amériques d’un nouveau projet appelé « Initiative sur la gouvernance en matière de sécurité » qui ciblera six pays africains : le Ghana, le Kenya, le Mali, le Niger, le Nigeria et la Tunisie. L’initiative US propose une approche globale visant à améliorer la gestion du secteur sécuritaire et les capacités à faire face aux menaces.
Between a Rock and a Hard Place: Tunisia and Israel, Tunisia and the US
As much as Tunisia’s initial, post-independence, political transition was influenced by the extent and nature of economic support from the West, the success of the country’s waning post-revolution «democratic transition» is significantly impacted by the same US and EU powers. A misnomer that diminishes the scope and complexity of international alliances and enmities that it encompasses, the Arab-Israeli conflict bears greatly upon Tunisia’s relations with Western democracies, the primary prospective investors and financial backers of political transition in Tunisia for the past half century.
Marzouki’s Request: Rendering a «Possible Foreign Military Sale to Tunisia» Actual and Immediate
It is perhaps owing to the urgency of his message, the grave threats that political instability in Libya and regional terrorism pose to Tunisia’s political climate in these next three months, the potential dissipation of a democratic alliance in the MENA region, the very straightforward request for military training and equipment, and more specifically twelve Black Hawk helicopters, that Marzouki’s appeal has been so widely diffused across US and international media outlets.
What is pertinent to note is that Marzouki’s request is the precipitous disbursal of materials that the US has already promised Tunisia.
Addressing Terrorism at the Borders and Beyond, Overlooking Its Sources Within
As hightened political instability in Libya threatens to permeate the region, Tunisian media and political figures are preoccupied with issues at the borders and beyond, whereas few are looking inward to the geographical, social, economic factors associated with terrorism.
L’alliance entre le complexe militaro-industriel et le lobby sioniste
Généralement les observateurs qui analysent objectivement tous les bouleversements qui tourmentent les peuples du Monde Arabe d’Orient comme du Maghreb, ont tendance à expliquer ce chaos, qui secoue aussi tant d’autres régions dans le monde, par l’échec supposé des politiques contradictoires, incohérentes et aberrantes des États-Unis. Cependant les évidences irréfutables conduisent à une toute autre vérité. Le chaos et la déstabilisation sont précisément le but recherché et le résultat constitue bel et bien une réussite et non un échec de ces politiques.
Bon pays, Etat fragile : La Tunisie au révélateur des index
Plusieurs études viennent démontrer, aujourd’hui, la position qu’occupe la démocratie tunisienne par rapport à l’ensemble des pays de ce monde. En effet, prenant en compte plusieurs indicateurs, Le « Good Country Index » (l’indice des bons pays) et le « Fragile States index » (l’indice des pays fragiles) situent différemment la place occupée par la démocratie tunisienne au sein du monde.
Good Country, Fragile State, the Arab World’s Sole Democracy : Tunisia by International Measures
Several comparative studies featuring Tunisia have recently caught our attention at Nawaat, and here we reflect on them conjunctively in the context of a sort of comparative examination of our own. The Good Country Index passes as the most engaging for its pragmatic persective and reassuring assertion that the index is one alternative perspective that is to be considered in conjunction other indices and analyses; the Fragile States Index is mildly interesting without presenting any strikingly revelatory insight, while two articles from The Economist that examine the so-called Arab World are flagrantly devoid of research- and critical thinking-based material for relevant, constructive discussion.
Political Islam/Political Prudence: Ennahda in the First and Second Elections of Transition
Taking an inventory of reports over the past two weeks that convey the clamor and chaos of Tunisia’s party politics gearing up for elections in October, one can appreciate a newfound irony in the attribution of—and the granting of an award for—’consensus’ to the Ennahda (or, for that matter, any other political) party.