Ali Laarayedh 131

Quand Femen dévoile les seins de la révolution tunisienne !

Les trois activistes européennes de Femen pensaient qu’en montrant leurs seins vont être considérées, en cas de poursuite, comme militantes, ce qui est le cas partout dans les pays démocrates. Elles auront peut-être accès à une prison de santé tunisienne avec thalasso et une connexion wifi. Hélas, elles en avaient tort. En effet, elles n’ont fait que découvrir la face cachée de l’iceberg de la réalité de l’incarcération en Tunisie, toujours d’actualités.

Front Populaire ou « Front Démocratique »

Le front n’a pas soufflé sa première bougie, et il n’a même pas encore trouvé son rythme de croisière en se dotant d’une structuration permettant à l’ensemble de ses militants venant d’horizons divers, et dont c’est, pour la majorité d’entre eux, la première immersion dans une activité politique partisane.

EL Teatro: Sauvons notre constitution, sauvons nos libertés et nos droits.

Lors de mon très court séjour en Tunisie, j’ai répondu à l’appel du comité de soutien de weld el 15 et je me suis rendu à El Teatro mardi matin. La nuit de lundi à mardi, et ayant pensé et repensé à cet épisode tragique qui est la condamnation d’un artiste à 2 ans de prison ferme pour une chanson, j’ai décidé de préparer un petit mot afin d’exposer ma vision de la manière dont il faut soutenir la victime de l’appareil de répression tunisienne qui n’a jamais disparu.

La Polit-Revue : Foot business et politique spectacle

La semaine du 15 au 21 avril est marquée par ce qui constitue en partie une survivance de l’ancien régime. Un vestige de l’ère bénaliste se rappelle au bon souvenir des Tunisiens : en l’absence d’intérêt de la jeunesse pour le débat politique, le football capte et cristallise une fougue et une énergie potentiellement insurrectionnelles

La Polit-Revue : Rive droite, rive gauche

Un an après une répression aussi féroce qu’incompréhensible, le 9 avril était cette année particulièrement attendu. De l’eau a coulé sous les ponts depuis, mais la veille de la 75ème commémoration de martyrs, les déclarations d’Ali Larayedh, totalement dans le déni, ne font rien pour apaiser le traumatisme d’un épisode noir de l’après révolution.