Tout un ensemble de manquements qui affectent le fonctionnement de nos universités, et qui ne semblent visiblement pas alarmer grand monde. A commencer par les universitaires eux-mêmes qui restent hermétiques à toute critique, et dont certains n’ont pas attendu longtemps pour se joindre à la surenchère revendicative qui ne cesse de miner le pays
Patriotes de tous bords, unissons-nous. La Bête est de retour !
Le scénario paraissait au départ fort improbable. Impensable même ! Mais les jours passant, ses contours se mettent pourtant peu à peu à se préciser. Et il apparaît alors clair qu’un tel scénario a bien été pensé, réfléchi, et mis à exécution à grands renforts de ‘liquidités’.
Le bla-bla, seul et unique acquis ‘révolutionnaire’ à ce jour !
Deux ans passés, nous devons tous en convenir, les désillusions sont là. Et elles sont énormes. Douloureuses ! Et ce n’est nullement verser dans le pessimisme que d’en faire le constat. Des approximations et des ratages nombreux que l’on peut légitimement imputer, en grande partie, à une gouvernance qui reste marquée par le népotisme, par un manque flagrant de courage politique, et par une forme de ‘Médiocratie’ toujours à l’œuvre
De la culture de l’islam, la vraie… et de celle des faussaires !
Par souci de justesse, il convient de se garder de mettre tout ce petit monde de prédicateurs «made in Arabia» dans un même sac. Si quelqu’un comme Cheikh Kardhaoui, qu’il m’arrive d’écouter sur Al-Jazeera, reste un théologien digne de respect, je ne peux par contre qu’exprimer toute ma réserve s’agissant d’autres, ce Wajdi Ghanim en tête. Ce dernier, avec sa panoplie complète du parfait prestidigitateur, son jeu de mimiques et ses discours qui frisent le délire, serait à mes yeux à rattacher plutôt à la confrérie des charlatans et autres guignols…
‘’Méfie-toi de lui, il te vendrait pour un dinar !’’
Le grand William Shakespeare n’était pas le premier à s’être crié que l’on pouvait être malade de pouvoir. Il ne devrait, hélas, pas être le dernier non plus. Monsieur Caïd Essebsi vient de lui donner la réplique ! Ne consentant visiblement toujours pas à aller se reposer, et restant, à bientôt quatre-vingt-dix ans, toujours accroché à son diadème d’homme politique comme le ferait un enfant pour son nounours.
Ils n’ont rien à nous apprendre. Nous avons tout à leur apprendre…
L’anecdote se passait sur un trottoir de Tunis par une fin d’après-midi ensoleillée. En compagnie de ma femme, nous partions […]
Congrès de Tabarka: A quand la Réforme de l’UGTT benaliste?
Par Habib Kaltoum- “Eh oui, l’histoire gagne à être toujours revue et corrigée ; la révolte de 2008 a bien été d’abord dirigée contre « les pourris » de l’UGTT, avant de se muer par la suite en un soulèvement contestataire de tout le système benaliste […]
Déçu, pour avoir peut-être trop rêvé !
Par Habib Kaltoum. A la date du 09-11-2011, un article intitulé ‘’On nous a volés une fois… pas deux !’’ […]
Des crimes en général, et de la déculturation des peuples en particulier !
Par Habib Kaltoum , microbiologiste, docteur ès-sciences. Résidant à Metlaoui, il est actuellement à la recherche d’emploi L’ami à qui […]
Salauds d’hier, faites-vous petits !
Par Habib Kaltoum. Cela s’est passé le 15 janvier au soir. Soit au lendemain du jour où Ben Ali prenait […]
On nous a volés une fois… Pas deux !
La démocratie, nous devons tous en convenir, ne peut aucunement se décréter d’un trait de plume. Elle ne peut non plus prendre pleinement forme du jour au lendemain. Il s’agit là d’un processus “civilisationel”, lent et long, impliquant un profond changement dans les mentalités comme dans les pratiques, et devant faire appel à des institutions aptes à le conduire.