Au cours d’un récent séjour en Tunisie, Christophe Boltanski, grand reporter au “Nouvel Observateur” et ex co-directeur du service étranger au journal “Libération”, a rendu visite au local de Nawaat. Pendant un entretien avec lui, il a rendu hommage à l’officier de police Samir Feriani
Lettre à Samir Dilou : Pour ne pas être les complices objectifs des violeurs des droits de l’Homme !
Monsieur le Ministre, vous avez en charge les droits de l’homme, et pour en avoir eu aussi la responsabilité, à mon niveau, au sein de l’ambassade de Tunisie, outre ma fonction de Conseiller social, de 1992 à 1995, je sais de quel poids pèse pareille noble mission
هيفاء بن عبد الله تروي تفاصيل اصابتها على يد البوليس
هيفاء بن عبد الله عضو المكتب السياسي لحزب المسار الديمقراطي الاجتماعي تروي تفاصيل و مخلفات اصابتها يوم مسيرة عيد الشهداء و التي تسببت في تمزق عضلة الساق اليسرى وضرر على مستوى كعب الساق اليمنى على اثر تلقيها طلقة عبوة غاز مسيل للدموع من مسافة قريبة
أحداث 9 أفريل: معشر الشقاق و النّفاق… سقطت الأقنعة
الثابتون على مبادئهم لا يحيدون أولائك هم المناضلون, و المنقلبون على ثوابتهم مغيّرون أولئك هم الانتهازيون, و الكادحون عن حقوقهم لا يتنازلون أولئك هم الأعظمون… المتأمّل في تبعات كل تحرّك للشّارع يصاحبه قمع يقف على جملة من الحقائق و الاستنتاجات لتعيد نفس الصّورة فرض نفسها. تأبا كل عصا شرطي تنزل على جسد متظاهر في كل مرّة اﻻّ أن تسقط قناعا و تكشف حقيقة: حقيقة الشّقاق و قناع النّفاق.
Gayday : le premier magazine de la communauté LGBT de Tunisie
En vivant dans une société conservatrice, où l’homosexualité est illégale, la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre de Tunisie doit faire face à d’énormes pressions. De ce fait, en Tunisie, les gays et lesbiennes ne dévoilent pas leurs orientations sexuelles
Aujourd’hui je revois mon bourreau
Je lui demande « tu te rappelles de moi ? Tu te rappelle de moi ? » Là son regard a changé, ses pupilles se sont dilatées et j’ai su qu’il m’avait reconnu. Pourtant, d’un air dédaigneux, il me regarde et feint de ne pas savoir. Je lui rappelle alors, la mort dans l’âme, les mots qu’ils disaient de moi « je suis le traitre, je suis l’israélien, je suis celui qui veut détruire le pays »
Tunisie : Les citoyens et les ‘nouveaux politiciens’.
Tous les membres d’Ennahdha, du CPR, d’Ettakatol (Jebali, Ghannouchi, Dilou, Laaridh, Ben Salem, Marzouki, Ayadi, Ben Jaafar, etc etc), ces ‘nouveaux politiciens’, oui ‘nouveaux’ puisqu’eux même déclarent manquer d’expérience et de pratiques politiques démocratiques, donc ces ‘nouveaux politiciens’ qui ont subi les injustices de l’ancienne dictature ne savent peut-être pas qu’avant la chute de Ben Ali, ils ont toujours bénéficié de la solidarité, de la sympathie et du soutien de simples citoyens tunisiens, des hommes et des femmes qui étaient loin de tout militantisme politique. Certains exprimaient pleinement leur solidarité, d’autres la cachaient. Certains ont aussi pris des risques pour les défendre ou pour faciliter leurs actions en le payant cher à leur tour, immédiatement ou quelques années plus tard.
قضيّة الطاهر الملّيتي : نموذج للإفلات من العقاب بعد تولّي الحكومة الجديدة مهامّها ؟
صدر حديثا. كتاب : قلم ومتاريس. مقالات في تاريخ الزمن الحاضر
En foulard ou en jupe, laissons la femme choisir librement. Sayeb Salha ya 3ammar !
Ce matin, un internaute pensant m’insulter, m’a taclée de féministe enragée, même si je ne me suis jamais prévalue de […]
Musulmans oui, misogynes non !
Inquiètes. Les quelques millions de tunisiennes sont inquiètes. Les militants d’ Ennahdha ont beau essayé de les rassurer du maintient de leurs droit et acquis, personne ne les croit, car la vérité est révélée par les actes et non la parole, et les faits sont là : Ennahdha a non seulement refusé dé s’engager et de signer la charte citoyenne qui garantit les droits de la femme, mais s’est carrément retiré de la haute institution de la transition démocratique pour ne pas avoir à en discuter. La même chose est vraie pour l’argent politique : est-il juste que, grâce au financement de certains partis politiques, des personnalités des pays du golfe viennent nous imposer leur forme d’islam, une forme inadaptée qui néglige le fond et s’accroche à la forme, et exclut la femme de l a société?
La disparition de Khaled Zghal…après la révolution !!
Chaque année, des milliers de personnes sont arrêtées, enlevées ou emprisonnées par des agents de l’État, et «disparaissent» : leurs familles ne parviennent pas à obtenir d’informations sur le sort qui leur a été réservé. Les autorités nient être responsables des disparitions. Le plus souvent, les personnes disparues ne sont pas retrouvées. Il est impératif de faire face à cette tragédie et d’aider les familles des disparus à faire la lumière sur ce qu’il est advenu de leurs proches…
La somme de toutes les peurs
Finalement, Beji Caïd Essebsi, premier ministre du gouvernement de transition s’est décidé à répondre aux critiques émises contre le gouvernement […]
تونس: 20 سؤالاً حول حقوق الإنسان موجهة إلى الأحزاب السياسية التي ستقدم مرشحين لانتخابات المجلس التأسيسي
Quand votre vie tient à un coup de fil d’une coiffeuse !!
Je vous relate le témoignage de la petite sœur de Taher Militi, avec l’émotion d’un citoyen qui vient d’assister à l’enterrement du défunt Tahar au cimetière El Jallez de tunis, le mercredi 3 Août 2011. Taher Militi un jeune homme de 19 ans, nouveau bachelier de cette année, a été roué de coups pour expirer ses derniers souffles à l’hôpital de la Rabta.
La fédération internationale des droits de l’Homme accuse le gouvernement Sebsi… (20.07.2011)
” Par ailleurs, l’ensemble des témoignages recueillis par les chargés de mission, aussi bien à Tunis qu’à Siliana et Kasserine, […]
Pour la protection des Refugiés Economiques Tunisiens
La focalisation sur l’aspect « illégal » de cette immigration diabolise des jeunes, pleins d’énergie et d’ambition, qui n’ont fait qu’exercer leur droit non pas de voyager ( un luxe pour eux ) mais de « survivre ».
Qui peut rendre justice à ce jeune handicapé ?
L’Association de Lutte contre la Torture en Tunisie ( ALTT) a publié le 24 mars dernier un rapport succinct relatant le témoignage d’un handicapé tunisien, victime de torture pour avoir participé au sit-in 2 de la Kasbah. Ce Monsieur s’appelle Mohamed Sedki Hlimi, 35 ans, originaire de la ville de Kasserine, une des bastions de la révolution tunisienne où le lot des martyres a été particulièrement lourd.