A group of Tunisian cyber-activists and netizens decided to lodge a complaint against the Interior Ministry to reveal the identity of web censor “Ammar404”.

A group of Tunisian cyber-activists and netizens decided to lodge a complaint against the Interior Ministry to reveal the identity of web censor “Ammar404”.
Ayoub Massoudi, a former top media advisor to Tunisian President Moncef Marzouki, faces military trial over his televised declarations regarding the extradition of former Libyan Prime Minister Baghdadi Mahmoudi from Tunisia to his country.
Le 16 juillet dernier la radio nationale tunisienne a publié un communiqué niant les dernières accusations de «censure». En effet l’institution publique a récemment fait l’objet de critiques virulentes suite à à l’interdiction faite à la journaliste de RTCI, Nadia Haddaoui Mabkhout, d’accéder au siège de la radio, siège depuis lequel elle anime l’émission de radio “Café Noir”.
On July, 16 the Tunisian National Radio issued a communiqué [Ar] denying recent “censorship” accusations. The public institution was recently subject to harsh criticism when Nadia Haddaoui Mabkhout, a journalist working for RTCI was prohibited from stepping inside the radio’s headquarters to host her radio show “Café Noir”
On July, 2 more than 300 bloggers, netizens, and academics flocked to Westlands in Nairobi, Kenya to take part at the 2012 Global Voices Citizen Media Summit. After welcoming guests, Ethan Zuckerman, co-founder of Global Voices Online gave some historical background, and talke about the first Global Voices Summit.
Le 25 juin dernier, la Cour d’appel de Monastir a confirmé le verdict en première instance de l’affaire Jabeur Mejri. Ce jeune citoyen tunisien avait été reconnu coupable de publication de contenu jugé « insultant » envers l’islam.
On 25 June the Monsatir Court of Appeal confirmed a primary verdict in the case of Jabeur Mejri, a young Tunisian citizen convicted over the publishing of content deemed “insulting” to Islam.
Le 12 Juin, le ministère tunisien de la Culture a décidé de fermer temporairement le Palais El-Abdelia, lieu où s’était tenue la cérémonie de clôture du très controversé Printemps des Arts, le dimanche 10 juin. Dans la nuit du 10 juin des islamistes ultra-conservateurs ont attaqué la galerie,…
Dans son rapport annuel, publié lors de la Journée mondiale de liberté de la presse le 3 mai dernier, le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a annoncé qu’il avait enregistré 60 agressions physiques contre des journalistes au cours de l’année écoulée…
Habib Bourguiba Avenue in Tunis, usually a stage for protests and police crackdown, turned into an open library in the afternoon of 18 April. Armed with their books, adults, teenagers, children, men and women from different social classes occupied the avenue to take part in “the Avenue Reads”.
En vivant dans une société conservatrice, où l’homosexualité est illégale, la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre de Tunisie doit faire face à d’énormes pressions. De ce fait, en Tunisie, les gays et lesbiennes ne dévoilent pas leurs orientations sexuelles
Is free access to internet a human right”? This was the question that I asked to participants at the Democratic Exchange Forum in Malmo, Sweden. All of the interviewees had one and only one answer “Yes”. Internet is knowledge, and knowledge is one of the human rights”, said George Alain from Syria.
Article 1 of Tunisia’s former constitution, adopted in 1959 states that “Islam is the state religion”. Practically speaking, however, and during the regimes of Habib Bourguiba, and Zeine El Abidin Ben Ali, Tunisia was considered as the most secular state in the Arab region. Bourguiba, and his successor Ben Ali (now deposed) were criticized for adopting a French like secularism, which imposed restrictions not only on political Islamist parties and leaders, but also on religious freedom.
La chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali a permis aux internautes tunisiens de profiter d’une période d’accès libre à Internet, ce après que l’Agence Tunisienne d’Internet (ATI) ait désactivé ses machines de filtrage.
Alors que l’ATI essaye de casser cette image de censeur du web, différentes interrogations voient le jour quant au rôle de l’Agence dans la Tunisie post-révolution, à l’avenir du matériel de censure et aux défis d’Internet dans le pays […]
Si la chute de Ben Ali a ouvert les portes de la liberté d’expression et marqué la fin de la censure sur Internet, elle a aussi permis l’émergence d’une censure morale et religieuse. La droite a profité tout autant que la gauche de la chute du mur de la peur. Elle s’est organisée en partis politiques ou en associations, a appelé à des manifestations pour condamner des évènements culturels considérés comme du «harcèlement religieux”, et tenté de traduire en justice ceux dont les actes ont «porté atteinte à l’islam”.
By Afef Abrougui – Tunisians have started to enjoy new freedoms and political rights: freedom of expression, and the right to assembly and protest. More than 100 political parties and hundreds of NGOs made of Tunisia a pluralistic country par excellence. […]