Portrait : Mohamed Issa Meddeb, le roman historique comme éloge de la diversité

A la dernière Foire du livre, tous les exemplaires de Balas Disca ont été épuisés lors des séances de dédicace de l’auteur. Mohamed Issa Meddeb fait partie de ces quelques romanciers dont le lectorat contredit les prévisions sur l’effondrement du livre en Tunisie. De sa voix à la fois grave et chaleureuse, il tente d’expliquer cet engouement, entre deux gorgées de Celtia. Entretien.

Organic products in Tunisia: Why aren’t consumers biting?

Organic has yet to become commonplace in the day-to-day of Tunisian consumers. Even though the surface area of organically-grown crops has increased by 1,000 over the past 25 years, local consumption of organic goods remains minimal. Some point a finger at consumers themselves, while others blame the government. What exactly has prevented organic from taking off in Tunisia?

La masculinité en question : Deux nouvelles parutions bousculent les normes

Deux livres percutants pointent le malaise de la masculinité dans la culture maghrébine et arabe. Il s’agit de King Kong Théorie, l’essai cultissime de Virginie Despentes, enfin traduit en arabe, et Les styles de la masculinité, écrit par de jeunes chercheurs et chercheuses, sous la direction de l’islamologue tunisienne Amel Grami. Objectifs affichés : déconstruire une masculinité mortifère.

«Barg Ellil», nouvelle traduction d’un roman anti-raciste et insolent

Certaines œuvres artistiques et littéraires sont indémodables, à tel point qu’elles ont le pouvoir de ressurgir avec une insolence salutaire dans l’actualité. C’est le cas de Barg Ellil de Béchir Khraïef, roman de 1960 dont le personnage principal est un esclave d’Afrique centrale, et dont la traduction française par Samia Kassab Charfi vient de paraitre chez Sud Editions.

Tunisie : Chiens errants, dans le viseur d’une politique cruelle et contre-productive

Chaque année, des municipalités font abattre des chiens de rue accusés de transmettre la rage et d’attaquer les passants. Des associations de défense des animaux montent au créneau pour alerter l’opinion publique sur cette pratique cruelle. Or si la stérilisation se généralisait dans tout le territoire tunisien, le problème des chiens errants et de la rage serait résolu en 6 ou 7 ans, souligne une vétérinaire.

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