Since the president’s sweeping decisions announced on July 25, Ennahdha member Radwan Masmoudi has waged a media war against Kais Saied. A controversial figure, Masmoudi has long juggled between his activities in civil society and in politics. And this is not the first time that his statements have elicited so much controversy and raised questions about his connections both within and outside of Tunisia.
Radwan Masmoudi : Visage du soft power des islamistes tunisiens
Membre d’Ennahdha, Radwan Masmoudi mène depuis le Virage 80 du 25 juillet une guerre médiatique acharnée contre le président de la République. Personnage controversé, Masmoudi a longtemps jonglé entre vie associative et politique. Et ce n’est pas la première fois que ses déclarations attisent autant la polémique et soulèvent des interrogations sur ses liaisons à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Virage 80 : Comment expliquer la myopie de la côte est-américaine ?
Le 30 juillet 2021, Kaïs Saïed a reçu trois journalistes du New York Times au palais de Carthage. Dans un discours fleuve dont il a le secret, ponctué par des références à la Constitution des Etats-Unis, le président s’est voulu rassurant quant à son respect des droits et libertés. Cet épisode intervient après une semaine de couverture médiatique d’une presse américaine largement acquise aux positions d’Ennahda et incapable de comprendre le hiatus entre la joie d’une partie importante des Tunisiens et des menaces sérieuses qui pèsent sur le processus démocratique en Tunisie.
Political Islam/Political Prudence: Ennahda in the First and Second Elections of Transition
Taking an inventory of reports over the past two weeks that convey the clamor and chaos of Tunisia’s party politics gearing up for elections in October, one can appreciate a newfound irony in the attribution of—and the granting of an award for—’consensus’ to the Ennahda (or, for that matter, any other political) party.
Dialogue Stratégique entre la Tunisie et les USA : Une lettre et des questions
Pour la plupart des signataires que nous avons pu contacter, de telles lettres adressées à leurs gouvernements ont déjà eu échos par le passé et peuvent contribuer à changer la politique étrangère américaine en Tunisie, cette dernière s’étant focalisée sur plusieurs autres fronts, délaissant « le laboratoire démocratique » qu’est la Tunisie.
An ‘Open’ Letter to Inform the Tunisia-US Strategic Dialogue
The ‘open’ letter to Secretary Kerry, endorsed by and intended for US government officials, is written accordingly, in polished diplomatic terms where the return of every initiative is measured in dollars and proposed projects and investments perpetuate the image of the US abroad as a benevolent (soft) power.