Alors que pour les uns, le départ de Ghannouchi aura marqué la fin de la Révolution, pour les autres la journée du 27 février 2011 sera au contraire le véritable point de départ de la Révolution. Du passé, table rase sera faite Plus que tout autre symbole de cette rupture, le départ de M. Ghannouchi va marquer un bouleversement en profondeur de l’histoire du pays.
L’heure est à l’union !
Et voilà Ghannouchi démissionner. Mais, cela peut-il prémunir la Révolution tunisienne contre les tares de l’après-17 décembre ? Les différents protagonistes de la place n’ont pas les moyens de leurs ambitions, aussi sincères et aussi fidèles aux principes de la Révolution soient-elles.
N’ayons pas la mémoire courte
Par Khaznagi Larbi – A lire les articles et à entendre les discussions, je reste tout à fait étonné de constater que nombreux sont ceux qui font remonter le début de la dictature, sous laquelle croulait notre pays, à la prise du pouvoir par Ben Ali. J’avais seize ans en 1956, l’année de l’indépendance. Et depuis, je n’ai jamais vécu sous un régime de liberté dans mon pays, jusqu’au soir du 14 janvier 2011. Alors pourquoi occulter cette période d’absolutisme sous Bourguiba, qui n’a jamais été un démocrate ?
بقايا النظام السابق يبحثون على عذارة سياسية جديدة
La méthodologie de la Haute commission pour la réforme politique est dangereuse pour l’avenir démocratique de la Tunisie
Le soulèvement extraordinaire du peuple tunisien a réussi à faire tomber le dictateur qui a pris la fuite avec son clan […]
رسالة مفتوحة إلى الحكومة التّونسيّة المؤقّتة: لا تَحُولوا بينَنَا وبين القاموس
Tunisie : Chassez La Censure Elle Revient Au Galop
En décidant de créer « une commission chargée de veiller au respect de la déontologie journalistique », ce Conseil illégitime et provisoire, a entamé très rapidement, comme c’était prévisible d’ailleurs, le retour institutionnalisé vers l’ère de Ben Ali.
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali, nommé Président de la Commission Nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
المرحلة الانتقالية في تونس وما نستخلصه من تجارب دول “الكتلة الشرقية” سابقا
من المشروع الديمقراطي إلى الديمقراطية
قراءة في المؤامرة على الثورة و الوطن
Tunisie : Appel du devoir
Notre révolution montre que le pays manque de symboles, qui peut s’avérer un risque potentiel. D’un côté, par la voie démocratique une force politique telle qu’elle soit, finira par l’emporter et qui ne pourra échapper à la tentation de créer son propre symbole. D’un autre côté, l’absence de tout symbolisme risque de déstabiliser le pays et n’importe quel militantisme ne peut être guidé qu’avec un leader
Dix jours de gouvernement provisoire. Dégage ?
Par Amjad Ghazi – Que faire de ce gouvernement que des gens bien intentionnés soutiennent, que des gens raisonnables soutiennent ; certains pleinement, qui expliquent qu’il fait ce qu’il peut, que c’est un moindre mal ; d’autres, j’en fais partie, sont de plus en plus perplexes, inquiets. Il est temps de demander des comptes.
Je suis contre le RCD…mais on s’en fout !
Sortant du Tunnel, la Tunisie d’aujourd’hui doit trouver son chemin vers un avenir prospère. Si le renversement de l’ancien régime […]
Tunisie : De l’urgence d’une démocratie aux assises solides en mesure de contrer toute tentation despotique.
Un ami, ayant la double nationalité m’avait dit un jour : « Tant que je suis sur le sol français, […]
Inventer la Tunisie
« Je suis rendu au sol, avec un devoir à chercher et la réalité rugueuse à étreindre! (…) Enfin, je demanderai […]
Complicité internationale ? non ! plutôt complot international contre les Tunisiens
On est en droit de se demander pourquoi la communauté internationale n’a pas bougé, restant silencieuse, et observant ce qui […]
Tunisie : La route est encore longue – Appel à une transition démocratique unie et réfléchie
Nous vivons aujourd’hui des évènements qui marqueront à jamais notre histoire. La « Révolution du Jasmin » nous ouvre la […]