بعد استقدام الرئيسة المديرة العامة للقناة الوطنية وتقريعها بسبب خيارات البرمجة وترتيب الأخبار في النشرة الرئيسية، لم ينتظر سعيد كثيرا قبل إعادة الكرّة عبر لقائه رئيس الحكومة ووزيرَي الداخليّة والعدل، في اجتماع هو أقرب إلى دردشة المتقاعدين في المقاهي، انتقد فيه الأداء الإعلامي وغياب الحملات البوليسية عن تصدره.
نواة في دقيقة: أوروبا تريد “غوانتانامو الحرقة” على الأراضي التونسية
بلد متأزم تحاصره الديون، شعبه يهوى التصفيق للاستبداد، يقوده شعبوي نحو المجهول، صحافته الحكومية تنشر قيئا عنصريا، فما ضر لو جعلناه سجنا يحمي بياض أوروبا من الألوان الافريقية: لنقل بصوت مرتفع ما تفكر فيه أوروبا سرا.
Faut-il poursuivre en justice le quotidien « La Presse de Tunisie » ?
Il est extrêmement dommageable de lire qu’une presse publique fasse l’apologie de la doctrine fasciste. En effet, l’article ci-joint paru aujourd’hui dans le journal #LaPresse, signé par un journaliste inconnu nommé « Chawki Rouissi », appelle à poursuivre en justice des représentants du peuple qui ont fait leur devoir, c’est-à-dire qu’ils ont exprimé leur réserve quant à la loi anti –terroriste comme le leur permet la Constitution et le règlement intérieur de l’Assemblée des Représentants du Peuple.
Dans La Presse de Tunisie, la propagande se lâche !
C’est à donner la nausée ! Depuis que l’état d’alerte a été décrété, une forte poussée propagandiste s’est déclarée dans les médias. Le cas de La Presse est déroutant. Ce journal qui accouchait, un certain 30 janvier 2011, d’un exaltant « mea culpa », cède à nouveau le pas aux inflexions honnies d’un « journalisme mauve » pour lequel patriotisme rime avec unanimisme. Du coup, les discours réactionnaires se lâchent sans honte ni complexe !
La Presse de Tunisie : Conflit autour de la nomination d’un nouveau rédacteur en chef
Il y a deux semaines le rédacteur en chef du quotidien francophone La Presse de Tunisie, Mongi Gharbi, démissionnait de son poste après prés de trois ans de fonction. Suite à sa démission il a été remplacé par un nouveau rédacteur en chef nommé et non élu. Une démarche qui n’a pas plu à une partie de la rédaction qui a lancé une pétition, signée par prés de la moitié des journalistes, qui souhaitent revenir au système d’élection.
A La Presse de Tunisie : Détournement d’un acquis de la Révolution
L’abandon des élections pour le choix d’un nouveau rédacteur en chef de La Presse décidé par le président-directeur général de l’entreprise, sur proposition de certains collègues qu’on voit rarement au siège du journal, s’annonce comme un mauvais présage.
“Star Academy” pour les médias?
Un hors série de journal « La Presse », paru le 3 décembre dernier, nous propose de retracer l’histoire du dessin en Tunisie sous le titre « Vive la Révolution ». Chouette ambition et sacré challenge pour le quotidien.
Violences à l’égard des journalistes : le rapport du CTLP
Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Le quotidien La Presse : Querelles internes par communiqués interposés
L’édito de La Presse d’aujourd’hui, vendredi 19 octobre, est-il à prendre au deuxième degré ? L’auteur y parle de « l’effort commun » des journalistes lors de la grève générale du 17 octobre et du fait que la grève a été massivement suivie. Pourtant sa publication a brisée la grève en publiant un numéro quasi complet…
Dar Assabah : déballage de comptes
Alors que le mécontentement des journalistes et employés de Dar Assabah n’en finit plus de grandir, suite à la nomination de Lotfi Touati à la direction de la maison de presse, une autre nouvelle est venue alimenter leur grogne. Le 5 septembre dernier le ministre des finances annonçait que Dar Assabah était en vente.
Les médias associatifs et communautaires : Des outils pour la bonne gouvernance
Quelle place pour les médias communautaires en Tunisie ? Comment réussir à ouvrir la porte à des médias qui peuvent se positionner comme principal chaînon de transmission entre gouvernants et gouvernés ? Il y a quelques jours l’ONG Foundation For the Future a organisé, à Tunis, une conférence sur la bonne gouvernance.
Tunisie : Jeu de pouvoir autour du statut des médias
C’est un jeu de pouvoir autour d’intérêts qui se croisent. Les journalistes attendent qu’une institution en charge de la régulation du secteur audiovisuel soit mise en place, les patrons de presse veulent avoir leur mot à dire et le gouvernement se mêle de tout pour s’assurer de ne pas être contredit…
La Journée mondiale de la liberté de la presse en Tunisie
Parce que des médias libres sont nécessaires pour une société qui avance et que la liberté de la presse est un outil de la démocratie, la Journée mondiale de la liberté de la presse avait un sens particulier en Tunisie.
Rompre avec le passé, dites-vous ?
L’examen des dernières nominations dans les postes névralgiques de l’appareil de l’Etat nous renseignent que le Tunisien a été pris pour niais et même pour un amnésique. Une insulte à son intelligence.
Traque à l’argent sale déposé en Suisse
Suite à l’article publié par “La Presse de Tunisie” en page 4 de sa livraison du 13 mars 2011, relatif à “la traque à l’argent sale déposé en Suisse”, j’aimerais formuler ces quelques observations. Tout d’abord, j’aurais souhaité que l’auteur de l’article, Hichem Benzarti, fournisse un minimum de renseignements sur l’A.T.T.F., car mes recherches sur internet sont restées infructueuses… Qui sont les membres de cette association et comment les contacter (nº de téléphone, adresse email…) voilà qui aurait été très utile comme information. Pour revenir à l’article, permettez-moi d’apporter quelques éclaircissements utiles que le journaliste ainsi que le Dr. Sami Remadi semblent ignorer. Du fait d’une confusion qui a fréquemment lieu […]
La rue dit à Alya Hamza : Dégage !
Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …
Sommes-nous en train de vivre un dérapage médiatique?
par Thouraya Hammami Bekri – Un mois après, que peut-on dire de la mue amorcée par nos médias? Sont-ils en train de relever leurs les défis ou sont-ils en train de succomber à d’autres pièges ? Sont-ils sur la bonne voie ou se trompent-ils d’orientation ?
Le printemps arabe : La parole libérée des journalistes tunisiens
Cinq journalistes tunisiens se sont exprimés pour nonfiction.fr sur les évènements qui ont bouleversé le pays il y a un […]