قضت مساء اليوم محكمة الناحية بأريانة بسجن المخرجة إيناس بن عثمان لمة شهرين نافذين مع تخطئتها بالمليم الرمزي على خلفية القضية التي كانت قد رفعت ضدها من طرف نائبة رئيس مركز أمن بحي النصر. وقد شهدت محكمة الناحية بأريانة صباح اليوم الأربعاء حالة من التوتر خلال الجلسة المخصصة لمحاكمة المخرجة السينمائية إيناس بن عثمان بتهمة هضم حق موظف عمومي، وقد قضت القاضية برفع الجلسة قبل استكمالها.
المرصد التونسي لاستقلال القضاء ينفي فتح بحث تحقيقي ضد المنصف المرزوقي وعدنان منصر
اعلام صحفي بتاريخ 12 ديسمبر 2014 حول ما نشر شأن قتح بحث تحقيقي ضد السيدين محمد المنصف المرزوقي وعدنان منصر […]
Weld El-15 et El-Haqed parmi les 7 candidats au “Prix Sakharov 2014 pour la liberté de l’esprit”.
L’un est Tunisien, il s’appelle Alaa Yahcoubi, plus connu par son nom d’artiste Weld El 15. L’autre est Marocain, il s’appelle Mouad Belghouate alias El Haqed (El7a9ed). Les deux ont en commun des démêlés avec la justice de leurs pays respectifs pour leurs chansons contestataires. Des chansons pointant les comportements illégaux de la police. Et les deux viennent d’être honorés le 23 septembre 2014 en figurant parmi les sept candidats au “Prix Sakharov 2014 pour la liberté de l’esprit” du Parlement européen […]
« Boulissia Kleb » n’en finit pas de faire enrager les policiers : les poursuites contre l’artiste Dhafer Ghrissa
L’acharnement de la police sur les artistes qui critiquent le système, l’injustice et la violence policière n’ont pas l’air de vouloir s’arrêter, surtout dans un contexte sécuritaire complexe et délicat. Après le rap, le graffiti et l’engagement de la société civile, la police s’acharne, à présent, sur le théâtre sous prétexte de protéger le prestige de l’État. Même en admettant que leur motivation soit sincère, il n’est pas acceptable d’adhérer à cette conception surannée du «prestige» qui nie les droits et les libertés pour lesquelles nous nous sommes battus et nous nous battrons encore.
À propos de l’arrestation de notre équipe à Bizerte suite à la couverture de l’affaire Dhafer Ghrissa
Sans vraiment comprendre ce qui lui arrive, notre équipe fut appréhendée et enfermée. Après moult protestations et des explications sur les faits précis reprochés à notre équipe, cette dernière a été enfin libérée. Officieusement, il lui a été indiqué qu’il est interdit de filmer à l’extérieur de l’enceinte du Tribunal sans autorisation ! À noter un dernier détail (et non des moindres) : Le comédien Dhaffer Ghrissa est également un futur magistrat. Il est à la veille de l’achèvement de son cursus à l’Ecole Nationale de la Magistrature (Nous y reviendrons…) !
أيّ دور للمكلف العام بنزاعات الدولة؟
باردو في 15 سبتمبر 2014 توصيات الندوة العلمية حول تمثيل الدولة لدى القضاء: أيّ دور للمكلف العام بنزاعات الدولة؟ (تونس- […]
Global Surveillance Monitoring – Nawaat Partners with Privacy International for Legal Reform in Tunisia
Defining the core of Nawaat’s collaborations with Privacy International, Sami Ben Gharbia points to the present legal battle that encompasses the Technical Telecommunications Agency mandated by decree and the (leaked) draft law concerning cybercrime, both of which must be addressed by «deconstructing the legal discourse of these threats and coming up with a proposal that will respect human rights.»
الإرهاب يدفع حكومة جمعة إلى اختراق القانون : تجميد نشاط 157 جمعية دينية مثالا
يبدو أنّ مكافحة الإرهاب في تونس أصبح “الشماعة” التي تعلّق عليها الحكومات المتعاقبة قرارات وتصدر على أساسها قوانين تصب أغلبها في خانة خنق الحقوق والحريات والتضييق قدر الإمكان على كل الجهات التي يمكن أن تتسرب من خلالها حرية الرأي والتعبير. ويبدو أن قانون الإرهاب الذي تتمّ مناقشته بالمجلس التأسيسي حاليا غير شامل بما يكفي مما دفع الحكومة إنشاء مؤسسة لمراقبة جرائم الانترنت ومشروع قانون لذات الغرض إضافة إلى اتخاذ قرارات ارتجالية من بينها إغلاق جمعيات دينية دون سند قانوني.
Tunisie : torture et violences policières: A quand la fin de l’impunité policière ?
La recrudescence des abus de pouvoir et de la violence de plusieurs policiers devient alarmante , ces derniers mois, dans un contexte où le ministère de l’Intérieur tente de se refaire une crédibilité, allant jusqu’à solliciter le soutien populaire pour lutter contre le terrorisme.
Suspension de 157 associations : quand Mehdi Jomaa préfère les lois liberticides au détriment de la justice
En agissant de la sorte, Mehdi Jomaa et sa cellule de crise, retombent dans les travées d’un passé récent au cours duquel la présomption a force d’accusation. Pire encore, la loi liberticide de 1975 utilisée ici nous rappelle encore une fois combien les bribes du passé peuvent être vivaces et leur utilisation, oh combien dommageable pour notre processus démocratique en bas âge au sein duquel l’appareil judiciaire, force vive de toute démocratie, est malgré lui mis en retrait.