Le parlement actuel traine encore les casseroles du mandat 2014-2019. Les mêmes chantiers sont encore ouverts, dont l’élection des membres de la Cour constitutionnelle et autres instances constitutionnelles. Zoom sur une session qui peine à démarrer.
Le football, nième instrument du soft power qatari en Tunisie
L’accord de parrainage et de partenariat conclu entre Qatar Airways et le Club Africain, avec à la clé des investissements à hauteurs de 24 millions de dinars tunisiens, suscite des interrogations sur les intentions réelles de Doha. Surtout dans un contexte marqué depuis des années par l’influence croissante de l’émirat gazier en Tunisie.
Portrait : Hichem Mechichi, l’ombre désignée de Kais Saied
Plus de trois semaines se sont écoulées depuis la désignation du nouveau chef de gouvernement. Mais les spéculations sur les tendances intellectuelles et politiques de Mechichi se poursuivent de plus belle. D’autant plus que les voies qu’il a empruntées pour atteindre le palais présidentiel paraissent à ce jour, impénétrables.
Hillary Clinton a-t-elle évoqué la fermeture de l’espace aérien tunisien ?
Dans un article intitulé «Hillary Clinton: J’allais fermer l’espace aérien de la Tunisie le 14 janvier 2011 », et diffusé le 1er août 2020, sur son site web, le journal «L’Economiste Maghrébin» a attribué des déclarations explosives à l’ex-Secrétaire d’Etat américaine.
Timeline de la formation d’un gouvernement après la démission de Fakhfakh
Le Chef du gouvernement a remis sa démission au président de la République conformément aux dispositions de l’article 98 de la Constitution. Par conséquent, le président est chargé de désigner la personnalité la mieux à même de former un gouvernement dans un délai maximal de dix jours à compter de la démission de l’équipe gouvernementale. Après la nomination de cette personnalité, le gouvernement doit être formé dans un délai maximal d’un mois, selon la Constitution tunisienne.
“Opération Carthage”: Nabil Karoui et le lobbyiste Lotfi Bel Hadj épinglés par Facebook
« La désinformation en tant que service », c’est par ces termes qu’Atlantic Council a qualifié la prestation fournie par l’agence de communication digitale tunisienne UReputation à Nabil Karoui lors de sa campagne pour les présidentielles de 2019. Hier vendredi, ce think tank américain a publié une investigation conduite par son laboratoire de recherche Digital Forensic Research lab (DFRLab) révélant cette collaboration. « Opération Carthage », ainsi a-t-il baptisé les activités d’UReputation ciblant 10 pays africains pour le compte de 4 hommes politiques candidats aux présidentielles de leurs pays. Au-delà d’une nième affaire révélant les pratiques sulfureuses de Karoui, à qui appartient UReputation, cette entreprise tunisienne si influente à l’échelle continentale?
Quid d’une intervention militaire française dans le Sud tunisien ?
Certaines pages sur les réseaux sociaux ont fait état d’un éventuel « recours à des forces militaires françaises en vue de sécuriser l’exploitation pétrolière dans le désert tunisien », en cas de troubles susceptibles d’arrêter la production dans cette région.
Abdellatif Mekki remercié par l’OMS pour sa stratégie anti-Covid-19 ?
La page Facebook du mouvement Ennahdha et du ministère de la santé ainsi que quelques médias ont relaté une information selon laquelle Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a adressé des remerciements au ministère de la Santé nahdhoui, Abdellatif Mekki pour sa gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19. Qu’en-t-il vraiment?
Covid 19 en Tunisie : Éclairages juridiques sur l’affaire des masques
Lors de son audition à la commission parlementaire de la réforme administrative et de la bonne gouvernance, le ministre de l’Industrie Salah Ben Youssef a présenté ses excuses au peuple tunisien, en raison des soupçons pesant sur le projet de fabrication de masques de protection dans lequel est impliqué un député. Comment tirer l’affaire au clair ? Et quelle a été la réaction du parlement et celle des structures de contrôle?
Covid-19 en Tunisie : Bras de fer entre municipalités et pouvoir central
Dès l’annonce des premiers cas de Coronavirus le 2 mars 2020, le gouvernement a pris des mesures en vue de freiner l’épidémie. Ainsi, l’exécutif a imposé le couvre-feu, le confinement général, et le travail à distance dans certains secteurs. Cependant, malgré leur importance au niveau national, ces mesures ne remettent pas en cause la responsabilité des autorités locales dans la préservation de la santé des citoyens, conformément au principe de libre administration, tel que stipulé dans le Code des collectivités locales. Mais dans quelle mesure l’autorité locale a-t-elle joué son rôle dans la prévention de la propagation du virus? Des différends auraient-ils émergé concernant les prérogatives de l’autorité centrale et les compétences conférées aux municipalités?