Les articles et reportages de médias étrangers sur l’huile d’olive tunisienne n’ont cessé de fleurir en ce début d’année 2015, s’appuyant sur la facilitation accordée par l’Union Européenne à l’exportation de l’huile d’olive tunisienne mais aussi à travers l’intérêt américain dans la promotion et la facilitation à l’export de celle-ci.
An ‘Excellent Season’ for Tunisian Olive Oil…and the EU and US make ready to soak it up
Articles and reports in foreign media on Tunisian olive oil have been manifold since the beginning of the year, prompted by an EU regulation to accommodate Tunisia’s “excellent season” and US interest in promoting and facilitating the export of Tunisian olive oil to the States. The following is an overview of Tunisia’s olive oil industry and affiliated ministries, institutions, and foreign markets who influence the production and export of Tunisia’s historically symbolic and gastronomically essential commodity, ingredient, source of wealth.
Dialogue Stratégique entre la Tunisie et les USA : Une lettre et des questions
Pour la plupart des signataires que nous avons pu contacter, de telles lettres adressées à leurs gouvernements ont déjà eu échos par le passé et peuvent contribuer à changer la politique étrangère américaine en Tunisie, cette dernière s’étant focalisée sur plusieurs autres fronts, délaissant « le laboratoire démocratique » qu’est la Tunisie.
اليورانيوم في سراورتان: الثروة التي يخبّؤها الفسفاط التونسي
في جلسة العمل الوزاريّة المخصّصة لدراسة جدوى مشروع سراورتان، والتي عقدت في ال26 من فيفري 2013، برئاسة نضال الورفلي، الوزير المكلّف بالتنسيق والمتابعة الشؤون الاقتصاديّة لدى رئيس الحكومة، تقرّر حسب بلاغ صادر عن رئاسة الحكومة عقب الاجتماع إطلاق دراسة جدوى المشروع. في هذا المقال سنحاول تجميع القطع المتناثرة للغز قديم ظلّ مجهولا لدى العديد من التونسيّين.
L’Uranium de Sra Ouertane : Les dessous des cartes du phosphate convoité !
En mai 2011, le gouvernement Béji Caid Essebsi décide de rouvrir le dossier de la mine de Sra Ouertane. Sauf que cette fois, on parle de phosphate sans évoquer l’uranium. Quant au coût du projet, il a été déclaré comme étant d’une valeur de 15 millions de dinars. Quelques mois plus tard, en juillet 2011, le ministre de l’Industrie déclare, lors d’une réunion au Kef, que le projet a une valeur de 19 millions de $. Et comme nous le disions au début de l’article, on ne parle plus de 10 milliard de tonnes de phosphate évoqués lors d’une présentation faite par le GCT au siège de l’AIEA, mais plutôt de 5 milliard de tonnes.