Dénonciation de l’exclusion de la Tunisie de l’accès au traitement de l’hépatite C dans le cadre de la licence accordée […]
Droit de Réponse de la CNAM suite à l’article “La CNAM ou la punition collective”
Les faits remontent au 21 mai 2013 suite à une réclamation formulée par une assurée sociale auprès du centre de la CNAM de Menzel Bourguiba souhaitant informer la CNAM sur la réquisition de sa prise en charge pour intervention sur la vésicule biliaire (cholécystectomie) par les services administratifs de la clinique RAOUEBI.
La CNAM ou la punition collective
Toute une région en ébullition, une entreprise de santé menacée de fermeture, des centaines d’emploi en péril : c’est le CNAM GATE à Bizerte ou Comment un simple litige qui aurait pu être réglé par les voies conventionnelles peut-il évoluer en un « drame » régional aux retombés socio-économiques imprévisibles?
Exercer la profession de médecin en Tunisie, sans jamais avoir mis les pieds dans une fac de médecine !
Pour exercer la profession d’un « docteur en médecine », il suffit de s’installer en Tunisie et… peu importe les diplômes. Ceci en montant, comme s’il s’agissait d’une simple gargote, un « cabinet » donnant pignon sur rue à la vue de tous, surtout ceux du Conseil de l’ordre des médecins et du ministère de la Santé. Point de diplômes requis, ni de code de déontologie à respecter, ni assurance, ni la moindre garantie en cas de catastrophe. Et des catastrophes, il y en a eu une, récemment dans la région de Bizerte, qui fut fatale à une personne décédée entre les mains d’un charlatan !
Lettre ouverte : À votre santé Messieurs les présidents et ministres médecins…
Par le Dr. Ramzi Bouzidi – Le secteur de la santé est un domaine où l’art et le plaisir de servir les autres se manifeste dans toute sa splendeur. La politique n’a pas de place dans la santé; Quand on tombe malade on ne choisit pas son médecin en fonction de ses tendances politiques.
Chef de service au Centre des grands brûlés de Ben Arous : “Il faut éviter de trop médiatiser les immolations”
Les immolations sont devenu le quotidien du professeur Amen Allah Messadi, chef du service de réanimation au Centre de traumatologie des grands brûlés de Ben Arous. Selon lui, le phénomène des immolations en Tunisie n’est pas prêt de s’arrêter si chaque cas est médiatisé de façon sensationnel.
Quand le travail forcé devient institutionnalisé … Grève des internes et résidents en médecine
Face à l’autisme du ministère de la santé publique, les internes et résidents en médecine de Tunis, Zaghouan, Nabeul, Bizerte, Menzel Temime, Menzel Bourguiba et Jendouba entrent en grève à partir du 13 novembre et ce, pendant une semaine. Le motif de la grève est le non-respect par le ministère de la santé publique des accords précédemment signés le 24 juillet 2012 et qui suspendait le service.
Pourquoi nos médecins font la grève ?
Suite au non respect des conventions signées par entre le syndicat des internes et résidents en médecine (SIRT) et le ministère de la santé publique, une grève s’est tenue le 30 et 31 octobre 2012.
Internes et résidents, dindon de la farce du ministère de la santé publique
Le syndicat des internes et résidents en médecine de Tunis a décidé à l’unanimité une grève qui se déroulera le 30 et 31 octobre 2012.
Tunisie : La révolution des blouses blanches
Cette rubrique en deux parties exposera puis analysera les conditions insoutenables de travail et la bataille quotidienne des médecins du secteur public pour accomplir leur mission. Deux chapitres pour parler de la situation des hospitalo-universitaires, des résidents et des internes en médecine…
La médecine tunisienne en prison : L’affaire Dr Ben Mansour
Les médecins qui ont assurés leur devoir les jours des incidents sont des héros dont Dr Ben Mansour. Malgré l’absence totale de sécurité, ils ont bravés le danger et on assuré leur devoir de médecins. Malgré l’inadaptation de l’équipement et l’absence de formation pour les situations de crise […]
La médecine tunisienne serait elle malade.
Par Dr Badr Miled – L’hôpital Tunisien. Structure normalement formatrice des générations futures de médecins, souffrant depuis des années d’inégalités affreuse entre les grandes villes (Tunis, Sousse, Sfax et Monastir) et les autres. Inégalité qu’a essayé de combler le ministère depuis deux ans en obligeant les nouveaux assistants hospitalo-universitaires à passer une année à l’intérieur sans se soucier de leur offrir les conditions de transport nécessaire dans une situation qui coïncide pour une majorité d’entre eux avec un besoin familial