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Tunisie : Non à l’endettement auprès du FMI

La Tunisie va emprunter 1.78 milliard de dollars au FMI. Le FMI exige une réforme douloureuses pour assurer le remboursement de son crédit. Nous passerons 40 ans de notre vie à travailler pour payer l’ensemble de ces dettes. Non à l’hypothèque de deux générations. Non à la suppression des subventions (pain, farine, médicaments, livres, transport …)

La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2010. Par II : Du Mensonge à l’appauvrissement de la Tunisie

La seconde partie, éminemment plus technique aborde désormais les mécanismes d’appauvrissement par la dette extérieure sous et après le régime dictatorial de Ben Ali. Il est également question de révéler, outre les responsabilités du despote, de pointer du doigt les créanciers qui se sont outrageusement enrichi sur le compte des tunisien.

Un Etat mendiant et un peuple qui s’appauvrit : Explication très simplifiée du prêt FMI

Dans cette spirale infernale de la dette, où nous contractons une dette pour en payer une autre avec des taux d’intérêt de plus en plus élevés – compte tenu de la dégradation de la note par les agence de notations comme Moody’s, Standard and Poor’s and Fitch rating – il est important de se poser les questions suivantes : Jusqu’où allons-nous avec l’endettement et où va l’argent ? Les cessions que le gouvernement est en train de faire ne sont-elles pas suffisantes ?

La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2011. Part I : Du Mensonge à la vérité

Le gouvernement de Beji Caid Essebsi, suivi de celui dominé par Ennahdha ont tous les deux poursuivi inexorablement les crimes de la dictature en matière d’endettement. Ils ont tous les deux ignoré la volonté du peuple tunisien et les objectifs de sa révolution qui lui a été confisquée dans une stratégie de choc sociaal et de contre révolution. Ben Ali en a rêvé, Beji Caid Essebsi et les salafistes d’Ennahda l’ont fait.

La Tunisie doit honorer sa dette

Par Slim Dali – Un article paru sur Nawaat est en faveur de l’annulation de la dette en Tunisie. Les limites de cette demande ainsi que la situation budgétaire de la Tunisie, amènent à concevoir que le pays doit payer sa dette et solliciter plutôt de nouveaux prêts pour des investissements productifs et créateurs de richesse.