TrackTour se veut une locomotive médiatique pour la musique tunisienne émergente. Qu’elles viennent des milieux underground, des formations expérimentales ou tout simplement des musiques actuelles, les playlists proposées ont l’ambition d’être l’écho d’une scène productive et riche en diversité évoluant davantage sur le web plutôt que dans les médias dominants. Chaque semaine, nous vous proposons une playlist thématique de cinq titres, au gré de l’actualité.
Les titres sont classés dans un ordre décroissant selon leurs dates de parution.
TrackTour #3 : Hommage aux villes révoltées
TrackTour se veut une locomotive médiatique pour la musique tunisienne émergente. Qu’elles viennent des milieux underground, des formations expérimentales ou tout simplement des musiques actuelles, les playlists proposées ont l’ambition d’être l’écho d’une scène productive et riche en diversité évoluant davantage sur le web plutôt que dans les médias dominants. Chaque semaine, nous vous proposons une playlist thématique de cinq titres, au gré de l’actualité.
Art Is An Arm, contre la carte professionnelle
« Art is an Arm » est un groupe de musiciens autodidactes. Leurs instruments sur le dos, les jeunes artistes sillonnent les rues de Tunis et se produisent dans les stations de transports en commun pour défendre l’art de la rue.
TrackTour #2 : Rap anti-loi 52 [Déconseillé aux mineurs]
TrackTour se veut une locomotive médiatique pour la musique tunisienne émergente. Qu’elles viennent des milieux underground, des formations expérimentales ou tout simplement des musiques actuelles, les playlists proposées ont l’ambition d’être l’écho d’une scène productive et riche en diversité évoluant davantage sur le web plutôt que dans les médias dominants. Chaque semaine, nous vous proposons une playlist thématique de cinq titres, au gré de l’actualité.
L’appareil sécuritaire de l’État: un récit officieux
Le Musée national de l’appareil sécuritaire de l’Etat est l’une des œuvres artistiques que la dramaturge-metteure en scène égyptienne Laila Soliman et l’acteur-metteur en scène belge Ruud Gielens ont créés ensemble. Les artistes ont été sollicités par les organisateurs de Dream City afin de créer un projet pour la cinquième édition de la manifestation (4-8 Novembre). Nawaat a rencontré Laila Soliman pour parler du processus créatif à l’origine de cette œuvre. Un aperçu sur le récit officieux de l’appareil de sécurité de l’Etat qui opérait sous le régime de Ben Ali.
TrackTour #1 : 2016, déjà des nouveautés !
TrackTour se veut une locomotive médiatique pour la musique tunisienne émergente. Qu’elles viennent des milieux underground, des formations expérimentales ou tout simplement des musiques actuelles, les playlists proposées ont l’ambition d’être l’écho d’une scène productive et riche en diversité évoluant davantage sur le web plutôt que dans les médias dominants. Chaque vendredi soir, nous vous proposerons une playlist thématique de cinq titres, au gré de l’actualité.
Tunisia’s State Security Apparatus: an unofficial narrative
The National Museum of the State Security System is one of several artistic works that Egyptian playwright-director Laila Soliman and Belgian actor-director Ruud Gielens have created together. The artists were approached by the organizers of Dream City to create a project for the fifth edition of the event (November 4-8). Soliman shared some time with Nawaat to talk about the creative process behind their creation, a glimpse into the unofficial narrative of the state security apparatus that operated under the Ben Ali regime.
La colère gronde contre Mokded Shili
Le 17 décembre, Halim Yousfi, musicien et chanteur, a été empêché par la police touristique de chanter dans un restaurant de la Goulette. Selon l’artiste, les policiers ont interdit à son groupe de chanter faute de cartes professionnelles. Conduits au poste, Halim et ses amis ont été relâchés mais leurs équipements ont été confisqués. A l’origine de cette bavure, Mokded Shili, président d’un syndicat minoritaire. Depuis, la colère gronde dans le milieu musical.
Théâtre pour enfants : un vaccin culturel pour le citoyen de demain
À Nabeul, le Festival ne s’est pas limité aux cinq espaces confinés (le Centre culturel Néapolis de Nabeul, la Maison de culture de Hédi Chaker, la salle Ediwan à l’hôtel Khéops, le théâtre de poche de l’ATAS et l’espace Sidi Ali Azzouz). En effet, les organisateurs ont animés les artères de la capitale du Cap par des spectacles de théâtre de rue et des animations même dans les bus du transport en commun de la ville.
Cinéma Amilcar: movies and resistance
In a political context where cultural expression is stifled as security measures are intensified, going out to see a movie becomes an act of resistance.
A Gafsa, la culture est dans le café
Dans le désert culturel de Gafsa, le café Downtown est rapidement devenu le repère des jeunes avides de cinéma, de musique et de lecture. Une initiative pionnière dans la région qui entend remettre la culture au cœur de la cité.
بيروقراطية الوزارة شلَّت دُور الثقافة
“كيف يريدوننا أن نتصدّى لأمثال كمال زرّوق من دون ميزانيّة؟” بهذه الإشارة الاستنكاريّة إلى القيادي السابق في تنظيم أنصار الشريعة، لخّص سفيان الڨاسمي، مدير دار الثقافة ابن زيدون بالعمران، الأوضاع المزرية التي تعاني منها مؤسّسته منذ حوالي السنة. فهذه الدار كغيرها من دور الثقافة، خاصّة بالأحياء الشعبية والجهات الداخلية، تعاني من تداعيات قرار إلغاء العمل باللجان الثقافية
تمويل الثقافة بين الأرقام وخطاب “الحرب على الإرهاب”
تثبت مقارنة تطوّر ميزانية هذه الوزارة مقارنة بوزارتي الدفاع والداخلية، وبميزانية الدين العمومي، أنّ الحكومة مواصلة في نفس النهج المتبّع منذ 2012. وهو يتميّز بالتعويل أكثر على “الجبهة الأمنية” منه على “الجبهة الثقافية”. ويكفي للتدليل على ذلك ملاحظة أنّ وزارة الداخلية، استفادت من ترفيع ميزانيتها بما قيمته 281.181 مليون دينار. وهو ما يفوق ميزانية وزارة الثقافة برمّتها، التي خصّص لها السنة القادمة 228.068 مليون دينار.
Taoufik Jebali : Nage en eaux troubles d’un ténor du théâtre tunisien
Metteur-en-scène, comédien et dramaturge tunisien, Jebali est l’une des figures phares du quatrième art tunisien. Il dirige El Teatro, le premier théâtre indépendant du monde arabe qu’il a fondé en octobre 1987. Récemment paru chez Sud Editions à Tunis, l’ouvrage collectif « Théâtre dans le monde arabe » revient, en partie, sur son parcours. Extrait.
Nadia El Fani fait son Cinéma ?
Une lettre ouverte signée par Nadia El Feni a été adressée à la direction du Festival International de Carthage. Dans sa lettre, Nadia El Feni accuse le directeur du festival, Ibrahim Letaïef, d’avoir ignoré son film « Même pas peur », grand prix du documentaire au festival Fespaco 2013 et d’avoir censuré sa projection aux JCC.
كلام شارع: التونسي و دورة 2015 لأيام قرطاج السينمائية
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة موقف التونسي من الدورة 26 لأيام قرطاج السينمائية 2015.
En Tunisie, des salles de cinéma renaissent de leurs cendres
Alors que s’achèvent demain les Journées Cinématographiques de Carthage, nous sommes allés découvrir deux salles de cinéma, qui, plongées dans l’oubli depuis de nombreuses années, ont rouvert leurs portes en octobre et novembre 2015. Reportage.
« Tunisien et je n’ai pas peur » par Zwewla et Khatt à Tunis
Sur fond de violoncelle et de slam, de jeunes graffeurs ont dessiné « Votre terrorisme ne nous fait pas peur » et « Je n’ai pas peur ». Zwewla ont réalisé leur performance sur les murs d’ « El Kherba » [ les ruines ], un QG nocturne des jeunes du quartier, face au marché de Bab El Jazira.