Lors des élections du 17 décembre, «nos observateurs ont été harcelés dans certains bureaux de vote», souligne le président d’ATIDE. Tandis qu’un responsable de Mourakiboun note n’avoir «rencontré aucune difficulté dans le recensement des données le jour du scrutin». Toutefois, les positions des organisations non-gouvernementales observatrices des élections convergent dans la critique du processus électoral dans son intégralité.
هل صحيح أنّ الانتخابات التشريعيّة كانت خالية من المال السياسي؟
في إجابة عن سؤال طرحته صحفيّة خلال الندوة التي عقدتها الهيئة العليا المستقلّة للانتخابات يوم 17 ديسمبر الجاري للإعلان عن نسب المشاركة في التصويت، قال رئيس الهيئة فاروق بو عسكر إنّ ضعف نسبة المشاركة، التي لم تتجاوز 8,8%، يعود إلى تغيّر نظام الاقتراع وغياب المال السياسي في الحملة الانتخابية. فهل صحيح أنّ الانتخابات التشريعيّة لم تشهد محاولات لشراء أصوات الناخبين؟
Combien l’l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE) compte-t-elle d’observateurs ?
Le 3 mai, le président de l’Instance Supérieure Indépendante des Élections (ISIE), Mohamed Tlili Mansri avait déclaré qu’il y avait alors plus de 6 000 observateurs nationaux et étrangers déployés sur le territoire. Il a également précisé que ce chiffre allait continuer d’augmenter puisque l’instance recevait encore des demandes d’accréditation. 350 coordinateurs locaux supervisent leur travail.
Une abstention en hausse, des observateurs en baisse !
La société civile et les partis politiques semblent baisser la garde, estimant que le processus démocratique a atteint une certaine maturité, telle que la présence d’observateurs ne soit plus aussi nécessaire dans certains lieux. Or, ce début de relâchement pourrait être à terme préjudiciable au processus démocratique.
“أحمد المناعي : “لقد قبرت الجامعة العربية تقرير الملاحظين في سوريا
تقرير بعثة المراقبة من الجامعة العربية في سوريا الذي رفض نبيل العربي الأمين العام للجامعة نشره
Ahmed Manaï : “La Ligue arabe a enterré le rapport des observateurs en Syrie”
Etant l’un des 166 observateurs envoyés par la Ligue arabe en Syrie, on a interviewé Ahmed Manaï, ancien expert international auprès de l’ONU, militant en faveur d’une démocratisation de la Tunisie et auteur de « Supplice Tunisien – Le jardin secret du général Ben Ali ». Selon lui la décision de renvoi de l’ambassadeur émane non pas du Président Marzouki mais du chef du parti islamiste Rached Ghannouchi.
مرصد الإنتخابات الرئاسية و التشريعية: هيئة ديماغوجية
Tunise: Nejib Chebbi veut des observateurs internationaux aux élections
Un parti d’opposition tunisien a déclaré mardi avoir invité des organismes internationaux à observer les élections présidentielle et législatives d’octobre en Tunisie et a réclamé leur supervision par une structure nationale “autonome”. “Nous voulons que les élections soient suivies par des institutions d’observation internationalement reconnues”, a déclaré […]