Faisant de l’opposition à l’islam politique son cheval de bataille, l’ancienne RCDiste et présidente du PDL, Abir Moussi est devenue la figure de proue de l’opposition à Ennahdha. Ce positionnement sur l’échiquier politique lui a valu une ascension fulgurante. Cependant, est-elle vraiment opposée à la vision sociétale des islamistes ? Est-elle vraiment progressiste ?
Psycaricatures de -Z- : Abir Moussi
Abir Moussi, présidente du parti destourien libre, est de plus en plus présente sur les petits écrans. Etalant sans cesse sa rhétorique révisionniste tout en clamant haut et fort sa loyauté au dictateur déchu, elle est aujourd’hui le piètre porte-parole d’un autocrate réduit au silence. A travers ses tirades puisant dans le conspirationnisme, Moussi cherche à décrédibiliser l’ordre de valeurs émanant de la révolution en faveur de la restauration d’un autoritarisme d’un temps révolu. Notre psycaricaturiste –Z- l’a ausculté et a découvert ce qu’aucun observateur de la vie politique tunisienne n’a pu entrevoir.
La Polit-Revue : Aux playoffs du dialogue, les candidats se neutralisent
Y a-t-il une fin aux vains bavardages du dialogue national ? Cette semaine la sélection d’un futur Premier ministre n’a […]
Chacun son métier, les vaches seront bien gardées et Bourguiba pour tous.
La relation entre la gauche tunisienne et le Rcd ne date pas d’aujourd’hui. C’est une vieille histoire d’amour qui resurgit au gré des évènements. Elle a toujours été perceptible sous plusieurs aspects. Longtemps amenée à vivre dans la clandestinité, elle refait surface après la révolution.