Après les 23 ans du règne d’un Ben Ali qui s’est servi des forces de l’ordre comme des hommes de main au service d’une mafia, l’une des tâches les plus urgentes fut de restaurer cette image de voyous que certains éléments de la police nationale, au comportement indigne de l’uniforme qu’ils portent, ont pu donner aux agents du ministère de l’Intérieur.
رسالة مفتوحة إلى السيد وزير الداخلية الحبيب الصيد
De la révolution à la partitocratie
Par Dahi Saber Qu’est-ce qu’une contre révolution politique ? C’est le fait de noyer le caractère social d’une révolution à […]
3- Un projet de société = un Etat de droit, et non un droit d’entrée pour certains…
Où est le libre arbitre ? Est-on obligé de penser comme d’autres veulent nous l’imposer ? Est-on dans un nouvel Islam clérical où des Imams et des Cheikhs prétendent prêcher le vrai du faux, le juste du partial, le bon du mauvais, le musulman du non musulman…? Prendraient-ils leurs concitoyennes et concitoyens pour des objets téléguidés ? Se mettraient-ils à la place de leur divinité pour dicter la marche à suivre ? L’attitude à prendre ? Ne serait-ce pas blasphématoire ?
Tunisie : Politique du bon sens
Depuis quelques semaines, j’observe avec inquiétude les divisions profondes (genre qui impliquent la haine d’autrui) qui s’installent progressivement dans notre société civile et dans le débat politique et intellectuel. Je voulais donc réagir pour exprimer mon point de vue sur le sujet et essayer de suggérer humblement quelques solutions. Cet article aurait pu être intitulé «politique du compromis».
2- Un projet de société = un Etat de droit, et non un droit d’entrée pour certains…
Interdiction des images : voici les dernières revendications de certaines personnes extrémistes, ou plutôt orthodoxes de l’Islam. Même si ces commandements sont encore timides ils demeurent foncièrement à visées intimidatrices. Cela nous pousse sérieusement à réfléchir à l’attitude que nous devrions prendre face à ces amalgames et incompréhensions des un(e)s et des autres.
1- Un projet de société = un Etat de droit, et non un droit d’entrée pour certains…
Par Dorra Ismaïl, Wafa Khlif & Mehdi Dellagi – L’échéance du 24 juillet est de plus en plus proche. Notre maturité politique présuppose une conscience de ce qui fait notre être en tant qu’entité ayant une histoire, une culture et une durée géopolitique. Or les discours des un(e)s et des autres sur les termes tels que Laïcité, Islam, État, Modernité, Démocratie…mettent en exergue les amalgames et les confusions de tous bords.
« L’Islam religion d’État », disposition constitutionnelle garante du processus séculariste de la démocratie tunisienne
L’enjeu démocratique réside au niveau des mécanismes qui vont garantir les libertés fondamentales et l’État de droit. Des mécanismes pour lesquels aucune concession ne devrait être tolérée. Dès lors, la disposition constitutionnelle “Islam religion d’État” doit se juxtaposer à ces mécanismes pour les reconnaître et garantir leur compatibilité et non point pour les défaire. D’autant plus que des approches à la logique analogue ont remarquablement bien réussi.
العدالة الانتقالية أو اللبنة الأساسية للبناء الديمقراطي
بقلم بسام بونني – تهرّب رئيس الوزراء المؤقت، الباجي قائد السبسي، من توضيح موقف حكومته من الملفّ القضائي، تماما مثلما فعل قبله وزير العدل، الأزهر القروي الشابي […]
الديمقراطية: حكم الشارع أم حكم الأغلبية ؟
أنه يجوز في الثورات ما لا يجوز في غيرها. من ذلك ما يتعلق بما اصطلح عليه بديمقراطية الشارع أو كما يسميه البعض أيضا بديكتاتورية الشارع. والأمر في نظري يحتاج إلى أن نقف عنده بكل مسؤولية. فما مدى مشروعية النزول إلى الشارع من أجل انتزاع الحقوق؟ […]