Il est une vérité qui doit être dite : le cannabis doit être dépénalisé, car il fait l’objet d’une criminalisation absurde. Et d’abord, qu’il n’est pas plus dangereux que la cigarette; alors, pourquoi ne pas interdire la cigarette si l’on est vraiment motivé par des raisons de santé publique !
تغطية للتجمع المساند للناشط عزيز عمامي و المصور صبري بن ملوكة في قاعة الحمراء
على خلفيّة إيقاف المدوّن والنّاشط عزيز عمامي و المصور صبري بن ملوكة بتهمة استهلاك مادة مخدّرة والإعتداء عليهما بالعنف الشديد من طرف رجال أمن، قام عدد من المدونين والناشطين السياسيين والحقوقيين وممثلي بعض الأحزاب ونائبتين من المجلس التأسيسي إضافة إلى عائلة عمامي و بن ملوكة وأصدقائهما ومحاميهما بتنظيم جلسة مساندة مساء أمس الثلاثاء بقاعة سينما الحمراء بتونس العاصمة.
Rassemblement pour la libération de 4 artistes en prison
Un rassemblement devant le ministère de la culture a eu lieu, lundi 7 avril, pour demander la libération de quatre artistes en prison depuis six mois en vertu de la loi 52 relative à la consommation des cannabis. Le comité de soutien des artistes ainsi que leurs familles et amis ont demandé de voir le ministre de la culture « Mourad Sakli » pour sensibiliser les autorités et demander la libération des détenus à la date du 9 avril, fête nationale des martyrs.
Le favoritisme révolutionnaire : retour sur une injustice passée sous le silence !
l y a quelques mois, des articles ont été publiés sur la grâce présidentielle accordée à Chiheb Agrebi, frère du fameux militant islamiste, et plus précisément pro-Ennahdha, Mohamed Amine Agrebi, alias « Recoba ». Le jeune, Chiheb Agrebi, 22 ans, condamné à un an de prison et une amende de 1000 dinars pour consommation de cannabis, a été libéré après un mois et dix neuf jours. Son ami, Mejid Ayari, condamné avec lui dans la même affaire est encore en prison.
L’État contre la société, la preuve par le kif
Stupéfiants ! Oui, ils sont bien stupéfiants, nos gouvernants, supposés incarner la Révolution quand ils osent garder en l’état la politique en matière de drogue douce de la dictature. Où est le prétendu esprit révolutionnaire dont ils osent se réclamer ? Et ils sont encore plus stupéfiants en démontrant ainsi qu’ils incarnent un État aussi autoritaire et liberticide que celui de Ben Ali, un État dictatorial qui est foncièrement contre non seulement la jeunesse, mais la société tout entière. La preuve est apportée par cette stupéfiante affaire du kif. Qu’on en juge !
Zatla et la réforme de la loi 52 : la société civile s’implique !
Nawaat a accueilli, samedi dernier, une projection-débat sur la réforme de la loi 52, relative à la consommation des stupéfiants […]
Résumé Vidéo de la rencontre “Projection-débat : Ensemble, réformons la loi 52”
Voici le résumé vidéo de la rencontre “Projection-débat : Ensemble, réformons la loi 52” organisée à l’initiative d’« Al Sajin 52 » ayant eu lieu dans les locaux de Nawaat le samedi 15 mars 2014 (loi 92-52 du 18 mai 1992, relative à la consommation de stupéfiants).
Zatla, loi 92-52 et usage des stupéfiants en Tunisie : contribution au débat public sous un éclairage de ce qui se fait sous d’autres cieux (I).
Il convient, encore une fois, de rappeler qu’il s’agit ici de contribution à un débat public s’appuyant sur une approche au travers des politiques comparées en matière de prévention et de lutte contre l’usage des stupéfiants. Les contributions proposées sont endogènes aux pays d’où elles sont issues. Ainsi, il NE s’agit QUE de proposer des réflexions, loin de ces tentations d’imitation, indigentes par leurs manques d’imagination, ignorant le contexte local tunisien.
L’usage des stupéfiants en Tunisie : contribution au débat au travers du cas français relatif à la distinction entre “l’usager et l’usager-revendeur”.
Au moins, s’il y a une chose sur laquelle il y a une quasi-unanimité en Tunisie, c’est le besoin de […]
كلام شارع : التونسي وقانون 52 الزطلة
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي التونسي في قانون 52 المتعلق باستهلاك الزطلة.
Zatla en Tunisie : Victimes de la loi 52, indignez-vous !
En Tunisie, la pénalisation des stupéfiants est encore un sujet tabou. A l’exception de quelques journaux et une dizaine d’activistes, la question n’est à l’ordre du jour d’aucun de nos politiciens qui ont promis, pourtant, justice et dignité aux Tunisiens. Les prisons surpeuplées de consommateurs de drogue douce ne semblent pas pousser les autorités à poser des questions d’ordre stratégique en termes de prévention et de réforme.
Lutte contre la toxicomanie : El Guettar propose une alternative au tout répressif
Etre toxicomane en Tunisie c’est risquer gros. La sanction pénale est dure : une peine de prison est prévue pour les consommateurs, ce qui est la pire des manières d’essayer de faire sortir les gens de l’addiction.
Madou Mc à l’honneur à Doc à Tunis
Lors de la deuxième journée de Doc à Tunis, le film Golden Man de Hssan Abdélghni a été projeté au Théâtre Municipal vers 19h. Mme Amina Azzouz, directrice artistique de cette manifestation, a présenté le programme.
[Vidéo] وقفة احتجاجية (2) امام وزارة العدل للمطالبة بمراجعة العقوبة السجنية المتعلقة باستهلاك الزطلة
من بينهم ثلاثة فناني راب “مادو” و”امينو” و”ولد ال 15″ يذكر ان هذا التجمع الشبابي هو الثاني من نوعه و كانت قد سبقته وقفة احتجاجية يوم السبت الماضي امام المجلس التاسيسي مطالبة بالغاء العقوبة السجنية المقترنة باستهلاك الزطلة
Les dangers du Cannabis !
Des jeunes Tunisiens se font arrêter chaque jour par les autorités pour consommation de cannabis(zatla), pourtant aucun contexte de sensibilisation ou d’éducation ne les protège du piège de la dépendance. Emprisonner des jeunes dans nos prisons où la torture est encore pratiquée ne résout pas le problème mais le rend encore plus grave… Des solutions doivent être apportées, entre autres, un travail de prévention au sujet des DANGERS du cannabis.