Après trois siècles d’abolition de l’esclavage, à la suite du décret Beylical promulgué un 23 janvier 1846, le racisme n’a pas disparu de notre société. Cet immense « tabou » pour la plupart des tunisiens, continue à faire des victimes, parfois dans l’indifférence la plus totale. Les violences ont toujours existées, sauf qu’elles peinent à être médiatisées même après la révolution, la faute à une absence de responsabilité quasi-collective.
Association ADAM 2
Noirs Tunisiens : honte noire et déni blanc
Quelle erreur sémantique que de parler de Noirs de Tunisie. Un peu comme si chaque pays devait avoir son lot. Une communauté à part, un peu différente et dont on ne serait pas vraiment sûr du lien ni de l’attachement patriotique. Heureusement il y a toujours une lueur quelque part.