La Polit-Revue : La logique de l’affrontement

La semaine politique s’ouvrait le 4 novembre sur la convocation et, fait inédit, l’apparition au grand jour de l’homme d’affaires Kamel Letaïef, figure de l’ombre à l’influence romancée pour les uns, encore largement effective pour les autres, accusé de complot contre la sûreté de l’Etat.

La Polit-Revue : Aux playoffs du dialogue, les candidats se neutralisent

Y a-t-il une fin aux vains bavardages du dialogue national ? Cette semaine la sélection d’un futur Premier ministre n’a […]

La polit-Revue : Petits arrangements entre ennemis

Cette semaine a vu s’accomplir un fait quasi miraculeux : le départ « réellement effectif » du dialogue national, vendredi […]

La Polit-Revue : Le terrorisme s’invite dans le débat politique national

Au moment où les blocages politiques requièrent une grande part de rationalisme, l’émotion suscitée par le martyr supplémentaire d’agents en uniforme vient accentuer les clivages entre adversaires politiques, tandis que les syndicats des forces de l’ordre se politisent à leur tour. Alors que tous les regards se tournent vers la date fatidique du 23 octobre…

La polit-Revue : Dialogue national ou les champions de la tergiversation

D’atermoiements en reports, même après son pseudo lancement, le dialogue national se perd en conjectures. De « sessions préparatoires du […]

La Polit-Revue : Dialogue national, l’enfer est pavé de bonnes intentions

La semaine politique du 1er au 6 octobre fut dominée par deux évènements majeurs théoriquement indépendants l’un de l’autre, mais qui en réalité sont intimement liés, voire corrélés. Entre la conférence de presse de l’IRVA qui ouvre la semaine et la tenue de la session inaugurale du dialogue national qui la clôt, s’il n’y a pas de relation de cause à effet entre les deux happenings, la pression exercée par le premier sur le second est indéniable.

La Polit-Revue : L’avant dialogue national, ou la grande guéguerre pour le pouvoir

Le coup d’envoi effectif du dialogue national n’engage plus que ceux qui y croient encore. Plus de 2 mois de blocage, des belligérants qui se tournent le dos et même une intervention américaine en coulisses feraient presque passer la crise tunisienne pour un nouveau casse-tête type Proche-Orient. Une lueur d’espoir est cependant venue apporter samedi la promesse de mettre fin aux querelles politiciennes.

La Polit-Revue : Retour à la case départ

Le quartet rejette l’approbation de son initiative par Ennahdha ». Par sa seule ambiguïté, cette affirmation datée de samedi rend compte de l’inextricable bourbier dans lequel s’enlisent les différents acteurs du « futur ex » dialogue national.

La Polit-Revue : L’inquisition fait sa rentrée

Il y avait de quoi devenir superstitieux vendredi 13 septembre, pour peu que l’on soit un professionnel des médias. Hasard du calendrier ou cabale méthodique, la rentrée politico-judiciaire avait un air de déjà vu…

La Polit-Revue : Echec du dialogue, le bon grain de l’ivraie

Les fins de semaine sur le mode vendredis du plébiscite VS samedis de l’opposition se suivent et se ressemblent en Tunisie. Face à une opposition incapable de transformer l’essai, le nouveau credo du pouvoir semble se résumer désormais à « cause toujours ». Nous sommes face à ce qui ressemble de plus en plus à une authentique guerre d’usure.

La Polit-Revue : « Une sortie de crise, c’est combien ? »

Alors que l’opposition continue de mener des actions à caractère essentiellement symbolique, le marasme politique est toujours de mise, 5 semaines après l’assassinat de Mohamed Brahmi. Nous sommes le 1er septembre, et le cataclysme promis par l’opposition n’a pas eu lieu.

La Polit-Revue : la lutte finale ?

La semaine politique s’ouvrait sur une note insolite. Lundi, le mystère du « 3ème homme » est élucidé. Les effets personnels remarqués sur la table parisienne autour de laquelle se sont assis Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi appartiennent au milliardaire Slim Riahi. La crise politique se « peoplise ».

La polit-revue : l’anachronisme répressif égyptien au secours du pouvoir tunisien

Si la tragédie égyptienne qui se déroule sous nos yeux aura à n’en pas douter une incidence bénéfique à long terme pour les pro Morsi, les exactions de la junte militaire d’al Sissi ont une incidence positive immédiate inespérée, à quelques milliers de kilomètres de là, pour Ennahdha en quête de sortie de crise.

La Polit-Revue : Du neuf avec du vieux, ou la faillite des projets sociétaux

Au terme de deux semaines de rassemblements non-stop au Bardo, une question tautologique s’impose : « et maintenant ? ». Si les foules pro et anti pouvoir semblent s’être neutralisées, si la marée humaine du 6 août n’a pas été en mesure de transformer l’essai, c’est probablement parce que la contestation, encadrée par des élites politiques orthodoxes, n’a pas su se réinventer un discours.

La Polit-Revue – Tunis : Le Caire, comme si vous y étiez

Libre de tout vivre », disait le slogan de l’ONTT. « Y compris le scénario égyptien », serait-on tenté d’ajouter. A Tunis cette semaine, l’accélération des évènements et l’émulation avec le Caire sont telles que de nombreux médias se sont emmêlés les pinceaux entre les Places : la Kasbah est prise pour Rabia al Adawiyya et le Bardo est confondu avec Place Tahrir.

La Polit-Revue : Le Républicide

La République et le vivre ensemble peuvent-ils endurer un deuxième assassinat politique non élucidé ? Moins de 6 mois après le meurtre de Belaïd, cette fois c’est un « élucide » qui vient ébranler la foi en un processus de transition déjà bien mal en point, au pire moment qui soit. Mohamed Brahmi est mort sous les balles de la lâcheté, qu’elles soient celles du mercenariat ou du « mandat divin ».

Polit-Revue : Grand malaise au Caire, mansuétude judiciaire à Tunis

Quasiment passée au second plan, la discussion du projet de Constitution se poursuit dans un climat géopolitique et national tendu, annonciateur pour certains d’une reconfiguration globale. Alors que l’impasse politique se poursuit en Egypte, quelques centaines de partisans d’Ennahdha ont bravé jeûne et chaleur pour manifester samedi en soutien à la cause des Frères. Une cause « légitime », à défaut d’être une cause juste aux yeux de tous. Prévisible, la teneur revancharde à la tribune fait déjà polémique.