Il s’agit d’un message privé sur FB, écrit vers 14h30 à une amie qui me pose la question : comment ça a commencé ? Ma réponse porte sur un instant précis. Elle ne décrit ni ce qui précède, ni ce qui va suivre, ni la nature plus générale de la situation.
Which political system for Tunisia?
As the work of the constituent assembly progresses, the debate appears strained when it comes to the different forms of political system on offer. At stake are, most importantly, the role and mode of election of the Head of State. There has been talk of a modified parliamentary system, a mixed system and a semi-presidential system.
Quel régime politique pour la Tunisie ?
Alors que les travaux de la Constituante progressent, le débat s’annonce tendu sur la nature du régime. En jeu, notamment le rôle et le mode d’élection du Chef de l’Etat. On parle de régime parlementaire modifié, de régime mixte, de régime semi-présidentiel. La Tunisie s’apprête à se lancer dans un grand débat, autant essayer d’en comprendre les tenants et les aboutissants.
Derrière la laïcité, des débats nécessaires
Laïcité. Le mot a enflammé les débats politiques. Diabolisé par ceux qui y voit le synonyme de l’impiété, de la débauche et de la corruption. Fétichisé par ceux qui y voient l’antithèse de la dictature religieuse. Les plus sages préfèrent s’attacher davantage à la chose qu’à son nom. Mais alors que la question de la référence islamique dans la Constitution et le Droit est débattue à l’Assemblée Constituante, la notion revient dans une réflexion qui ne cesse de s’approfondir.