تم الكشف مؤخراً عن مبادرة سياسية جديدة تحت إسم مبادرة “مواطنون”تجمع سياسيين مستقلين على غرار كلثوم كنو ونزيهة رجيبة عرفوا بمعارضة نظام بن علي وبمحافظتهم على مسافة نسبية من الاحزاب والنشاط السياسي المهيكل. نواة حاورت السيدة رجيبة المعروفة بإسم “أم زياد” و وقفت معها على أهم أسباب عودتها للمشهد السياسي بعد غياب سنوات، و أهم دوافع اختيارها لمبادرة “مواطنون”.
حزب المؤتمر من أجل الجمهوريّة: الحزب الذي دفع غاليا ثمن تمسكه بالرئاسة
يستعدّ الرئيس المؤقّت لمغادرة المنصب الذّي أثار الكثير من الجدل طوال ثلاث سنوات، وقد أحدث فيه بلا ريب تغييرات كبرى انعكست على الصورة النمطية لمنصب رئيس الجمهوريّة وفتّتت إلى الأبد صنم الرئيس المُهاب في أذهان التونسيّين. فما كان ثمن بقاء المرزوقي رئيسا للجمهوريّة ؟ وكيف كانت مواقفه، ومن وراءه حزب المؤتمر من أجل الجمهوريّة، من المحطّات السياسيّة الكبرى التي عرفتها البلاد طيلة مكوثه في القصر ؟ وهل كان حزب المؤتمر ورئيسه الحقوقيّ أوفياء للشعارات والمبادئ التي تأسّس عليها حزبهم؟
Eya, 13 ans, brûlée vive par son père : cela s’est pourtant passé en Tunisie… en 2014 !
Mercredi, 4 juin, à la Cité Ibn Khaldoun, un père a brûlé sa fille, Eya, 13 ans, après l’avoir vue dans la rue avec un de ses camarades. Le père qui s’est senti déshonoré a aspergé sa fille d’essence et a mis le feu à son corps. Il est actuellement en état d’arrestation. Admise au Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, Eya a succombé à ses brûlures, après une agonie qui a duré des jours. Pour certains, ce crime terrifiant est un fait divers qui pourrait se passer dans n’importe quelle société et pas seulement en Tunisie. D’autres s’indignent en situant les faits dans un cadre plus général qui fait la lumière sur la posture de la femme dans la société tunisienne.
Conférence de presse de Lotfi Ben Jeddou : Les “preuves irréfutables” de la responsabilité d’Ansar Al-Chariaa
Lors d’une conférence de presse, tenue aujourd’hui mercredi 28 août à midi, le ministre de l’Intérieur, Lotfi Ben Jeddou, a présenté les résultats de l’enquête et les preuves qui confirment l’implication du mouvement d’Ansar Al Charia, dans les assassinats politiques de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi, dans des trafics d’armes en Tunisie, ainsi que dans les attentats du mont Chaâmbi, de la Goulette et de Mhamdia.
La liberté de la presse : un droit des citoyens
En Tunisie la liberté de la presse et la liberté d’expression ne sont toujours pas garanties. Et chaque jour est une bataille. Si ce ne sont pas des dirigeants mis à la tête de médias publics sans concertation, ce sont des violences à l’égard des journalistes, des restrictions dans la pratique professionnelle, des blogueurs et artistes victimes du système judiciaire.
La société civile s’allie pour défendre la liberté d’expression en Tunisie
Aujourd’hui au SNJT une conférence de presse annonçait le lancement d’une coalition civile pour défendre la liberté d’expression en Tunisie. Une manière de montrer au gouvernement que la société civile est unie et qu’elle n’entend pas baisser les bras.
Média : Pourquoi faut-il garantir la liberté de la presse ?
Mercredi 13 mars, jour anniversaire de la mort de Zouhair Yahyaoui, cyberdissident tunisien, l’association Vigilance organisée une conférence sur la liberté de la presse au sein de l’université de la Manouba. Que gagne-t-on en garantissant la liberté de la presse ? Réponses de Om Zied, Hamida El Bour et Kamel Labidi.