The facts are clear. The trial concerning the assassination of Chokri Belaid has been deferred, not a single terrorist crime has been tried, and the attack in Sousse has exposed security and political failures. Four years after the Rouhia case, it seems that the more insecurity has grown, the more opaque the security institution has become.
Attentat de Sousse : Des défaillances aggravées par les versions hurluberlus des officiels !
Les faits sont têtus. Alors que le procès de l’assassinat de Chokri Belaïd vient d’être reporté et qu’aucun crime terroriste n’est prêt d’être jugé, l’attaque de Sousse révèle son lot de défaillances sécuritaires et politiques. Quatre ans après les affrontements de Rouhia, il semble que plus l’insécurité s’amplifie et plus l’institution sécuritaire s’opacifie.
Liquidation de Kamel El Gadhgadhi : Coup dur à l’intégrisme ou expiration d’un faux jeton
Qu’on le veuille ou non, il parait que le décès de Gadhgadhi, présumé responsable de l’assassinat de Belaid et des combattants de l’armée à Chaâmbi, met de la poudre aux yeux sur « l’armoire noire » de l’assassinat politique en Tunisie. Avec l’achèvement des sept terroristes de L’Ariana, La main « justicière » s’enlise d’avantage dans l’anonymat et la précarité.
La Polit-Revue : Terrorisme, est-ce « la lutte finale » ?
Deux opérations antiterroristes en une semaine ne sont pas sans répercussions politiques. Le coup de filet de samedi à dimanche à Borj Louzir a convaincu les plus sceptiques de la réalité d’une guerre aussi obscure qu’impitoyable.
كلام شارع : التونسي والقضقاضي
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة تفاعل المواطن التونسي مع خبر مقتل كمال القضقاضي.
Kamel Gadhgadhi, impliqué dans l’affaire du dépôt d’armes à Mnihla
Le porte-parole du ministère de l’Intérieur a annoncé aujourd’hui, lors d’une conférence de presse à la caserne de L’Aouina, que l’empreinte digitale de Kamel Gadhgadhi a été retrouvée sur la porte de la voiture de la STEG qui a servi de véhicule à des extrémistes religieux pour transporter des armes de Douar Hicher à un dépôt dans la municipalité de Mnihla.