Cette note est une réponse à une attitude des « Tunisiens autochtones » à l’encontre des Tunisiens vivant à l’étranger qui consiste à les exhorter au silence sous couvert qu’ils sont à l’étranger, et par conséquent incapables de comprendre la situation en Tunisie… voire pire encore, n’ont aucune légitimité à exprimer leur opinion et encore moins de condamner certains abus comme par exemple la dernière vague de violences policières. Certains souhaiteraient même la passer sous silence ou pire encore la justifier au nom du maintien de l’ordre
شهادة المحامي سامي الطريقي حول القمع البوليسي يوم 5 ماي
Voilà, entre autres, pourquoi le ministre de l’Intérieur devrait démissionner
Après les 23 ans du règne d’un Ben Ali qui s’est servi des forces de l’ordre comme des hommes de main au service d’une mafia, l’une des tâches les plus urgentes fut de restaurer cette image de voyous que certains éléments de la police nationale, au comportement indigne de l’uniforme qu’ils portent, ont pu donner aux agents du ministère de l’Intérieur.
رسالة مفتوحة إلى السيد وزير الداخلية الحبيب الصيد
Le prestige de l’État : Témoignage sur les évènements du 6 mai sur l’Avenue H. Bourguiba
Par Shiran Ben Abderrazak – […] un attroupement de jeunes et de moins jeunes, une cinquantaine de personne, qui scande des slogans anti-gouvernementaux, une manifestation populaire tout ce qu’il y a de plus bon enfant. […]
و يتواصل القمع البوليسي….
Une petite fouille dans les égouts de l’histoire,.. ou donnons à Sebsi ce qui revient à Sebsi
Par Yassine Ayari – Après sa nomination, après ses beaux discours, après ses actions qui n’ont rien a voir avec ses discours, après ses pas vers le développement d’un culte de personnalité […]
القذافي حليف أمريكا وأوروبا!!
Le retour de la police de Ben Ali
Par Kamel Tlili. Lundi matin , j’allais retrouver un ami travaillant rue de Marseille , afin de déjeuner dans son […]
Ali Seriati : “Peut-être on partira, mais on brûlera Tunis”
Conseiller de Zine El-Abidine Ben Ali au palais de Carthage, il avait pris contact de sa propre initiative quelques jours avant la chute de l’ex-président parce que, disait-il, il ne voulait pas “être complice des massacres”. Pour le rencontrer, ce dimanche 16 janvier, il faut suivre des émissaires à travers un dédale de rues.