Par Lilia Bou – Au début lorsque j’ai poussé la porte de Facebook, je me tenais titubante timide et sans grande verve. Je m’y glissais craintivement de peur que cela ne soit empreint de mauvaises rencontres, de dragues ou de farces de mauvais plaisantins. Je me connectais rapidement, envoyais deux ou trois petits messages puis me rétractais lasse tellement que mon espace d’amis était restreint et sans grand intérêt.
