Au fond, on ne sait franchement plus à quoi ressemble « Majadhib ». Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un documentaire sans épaisseur. Sur toute la chaîne de sa mise en œuvre, la réalisatrice Chiraz Bouzidi fait preuve d’une non-maîtrise flagrante de son sujet. Le film a été projeté en avant-première le mardi 26 février 2016 à la Cinémathèque Tunisienne.
قمرت: طلبة السينما في إضراب من أجل موارد أكثر وتكوين أفضل
عادت الدروس إلى نسقها الطبيعي في المدرسة العليا للسمعي البصري و السينما، اليوم الإثنين، بعد إضراب الطلبة منذ 8 فيفري. وذلك اثر التوصل إلى اتفاق مع الإدارة حول جملة من النقاط المتعلقة بظروف الدراسة والموارد المرصودة لها. نواة زارت الطلبة، يوم الجمعة الفارط، لتقف على أهم أسباب و مطالب الإضراب.
Cinéma : « Porto Farina » de Brahim Letaief, le rire dopé
Avec une galerie de figures improbables, à l’échelle d’un huit clos familial à ciel ouvert, « Porto Farina » de Brahim Letaief dope un scénario à bout de souffle en misant tout sur une palette flamboyante. Le film est en salles en Tunisie depuis le 19 janvier 2018.
Cinéma : « Yomeddine », émouvante claque à une société hypocrite
Echapper aux règles de la normalité et ne pas ressembler à ces centaines de visages qu’on rencontre sur le chemin de la vie n’est qu’un mal au sein d’une société hypocrite prétendant chérir les différences. Ce film en est la preuve ultime! Yomeddine est à l’affiche des salles du Cinémadart à Carthage et Amilcar à El Manar.
Les 5 pires films tunisiens de 2018: une nullité, un ratage et trois déceptions
La cueillette des mauvais films pour cette année 2018 est maigre – fort heureusement. On se contente alors d’une petite mise au point nuancée.
Les 5 meilleurs films tunisiens de 2018: une claque, une pépite et trois propositions
Bien modeste, la cuvée des bons films pour l’année 2018 a de quoi nous rassurer. Après tout, c’est mieux que rien.
Cinéma : « Weldi » de Mohamed Ben Attia, touché au coeur
D’où « Weldi » tire-t-il sa justesse ? De ce qu’il n’appuie pas trop sur le drame qu’il met en scène : un fils part, et le film s’arrange avec délicatesse pour que ce départ ne soit pas aussi simple pour les parents. C’est de cette étoffe-là que Mohamed Ben Attia veut que notre sympathie soit faite, au risque de ne pas dépasser l’argument du drame. Actuellement en salles, le film est en compétition officielle au Tozeur International Film Festival.
Cinéma : « Astra » de Nidhal Guiga, difficile différence
Entre réalisme psychologique et bifurcation vers la fantaisie, « Astra » livre une parabole sur le refus de la différence, sans se départir d’une part d’opacité qui pénalise son propos. Tanit de Bronze des JCC 2018, ce court-métrage de Nidhal Guiga sera en compétition officielle au Tozeur International Film Festival, du 05 au 08 décembre 2018.
Cinéma : « Subutex » de Nasreddine Shili, dur comme fer
Attendu de pied ferme, « Subutex » de Nasreddine Shili est un documentaire clivant. Le pouvoir double qu’a sa caméra de porter au jour ce que la société relègue hors-champ, marque la force du geste en même temps que ses limites. Le film a été projeté dans le cadre des Journées Cinématographiques de Carthage 2018.
“يا حاجّة بَرّا صلّي”: جملة تختزل برشة حاجات
نهار السّبت 10 نوفمبر 2018، حضرت لإختتام أيّام قرطاج السّينمائية لسبب واحد هو أنّني نكون حاضر مع أمّي منى الماجري في أوّل دورة ليها للمهرجان كممثّلة في فيلم مشارك في المسابقة الرّسمية، فيلم ولدي لمحمّد بن عطيّة. وقتلّي خرجنا من وتيل الأفريكا بش نطلعوا في الكرهبة إلّي بش تهزّنا لمدينة الثّقافة، فمّا برشا ناس واقفين مقابلين أغلبهم مالشّباب الأولاد، فيهم شكون قام يعيّط: “يا حاجّة، برّا صلّي” و الجملة هاذي تختزل برشا حاجات مع بعضها.