La Tunisie, l’Algérie et la Libye sont mis d’accord sur un point : la non reconnaissance des populations amazighes. C’est en tout cas ainsi qu’a été vécu le refus de changement de la dénomination de « Maghreb Arabe » par Rafik Abdessalem, Ministre des Affaires Etrangères tunisien, lors du congrès ministériel des pays du Maghreb Arabe. Réaction d’une Amazigh Tunisienne, membre de l’Association Tunisienne de Culture Amazigh.
Association 37