L’alcool coule à flot en Tunisie. Le pays en est le plus gros consommateur parmi les Etats arabes, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’offre et la demande s’accroît. Mais le consommateur est de plus en plus lésé. La hausse des prix met en péril son porte-monnaie et sa santé.
Les prix des boissons alcoolisées vont être augmentés de 40% a déclaré un professionnel du secteur, avant la promulgation de la loi de Finances 2023. Dans les faits, les boissons alcoolisées connaitront-elles donc une hausse des prix aussi importante?
تداولت مواقع إخبارية وصفحات على فايسبوك خبرا يفيد بإقرار زيادة مرتقبة بنسبة 40% على سعر المشروبات الكحولية، وهي زيادة تحدث عنها رئيس الغرفة النقابية لتجارة المشروبات بالجملة حمدي الدامي في تصريحات إعلامية، قبل نشر قانون المالية لسنة 2023 في الرائد الرسمي. فما حقيقة هذه الزيادة؟
Ils sont serveurs, cuisiniers, musiciens, femmes de ménages, travaillant la nuit dans les restaurants touristiques et les bars pour gagner leur vie. Avec l’instauration du couvre-feu, ils se sont retrouvés démunis. Les mesures restrictives liées au Covid-19 ont donné un coup de massue à un secteur déjà caractérisé par la précarité de ses employés.
نشرت البورصة التونسية ووزارة الصناعة منتصف شهر جانفي أرقام معاملات عدد من الشركات سنة 2018 ومن ضمنها المنتجة للخمور والجعة. وقد بلغت إيرادات الشركة التونسية للتبريد والجعة سنة 2018 قرابة 650 مليون دينار في حين بلغت إيرادات شركة كروم قرطاج 25 مليون دينار سنة 2018. وتعتبر هذه الصناعة التّي تدّر سنويا أكثر من 80 مليون دينار لحساب خزينة الدولة وتوفّر بشكل مباشر وغير مباشر 105 ألف موطن شغل، من أقدم النشاطات الاقتصاديّة. إذ تعود صناعة الخمور في تونس إلى 2800 سنة.
Mr Talbi, avec son association de salafistes (voir article précédent), certes relativement modérés, nous explique qu’il est permis de boire de l’alcool, tout en disant que l’alcool est “la mère des maux”, ce qui n’est évidemment pas une citation coranique. Monsieur Talbi donne l’exemple de la recommandation supposé être coranique de “ajtanibouh” (évitez le) et affirme qu’il n’a jamais bu et ne boira jamais une goutte d’alcool. Dès lors, à la version salafiste modérée du “vous pouvez en boire mais il vaut mieux éviter d’ailleurs j’en bois pas”, Jinn Dukhani se doit de rectifier le tir par un franc “buvez avec modération, mais ce n’est pas obligatoire”, en ajoutant, “j’en ai bu, j’en bois et j’en boirai encore”.
Le problème de notre religion, aujourd’hui plus que jamais, C’est qu’on l’appréhende avec autre chose que nos propres yeux. Pour certains, c’est avec les yeux de nos ancêtres et pour d’autres, avec les yeux des juifs et des chrétiens; et d’autres encore, avec ceux d’athées. Dans tous les cas, on ne fournit pas l’effort de l’objectivité en adoptant une attitude qui soit neutre, examinant l’islam en lui-même, d’une manière scientifique.
Une récente enquête intitulée “The World’s Muslims, Religion, Politics and Society”, du réputé Pew Research Center, basé à Washington, a exploré les attitudes et les opinions de musulmans à travers le monde sur le thème de la religion et de son impact sur la politique, les mœurs, ou encore la science. Le sondage, impliquant plus de 38.000 entretiens en face à face, donne un aperçu fascinant et parfois inattendu sur les diverses conceptions morales que tient le monde musulman, dont le peuple tunisien.
شهدت البلاد التونسية مؤخراً إرتفاعاً في أسعار المحروقات والمواد الغذائية إلى جانب إرتفاع في أسعار المشروبات الكحولية …وأمام أهمية إستهلاك هذه المشروبات وإقبال المواطن التونسي عليها فيكفي أن نتجول في حانات شارع الحبيب بورقيبة أو في مطاعم وحانات الضاحية الشمالية بالعاصمة وغيرها من المدن التونسية لنكتشف أهمية الإقبال عليها وأهمية الإستهلاك ناهيك عن المغازات والسوق السوداء وبيعها خلسة في مختلف الأحياء والولايات في كامل ربوع الجمهورية التونسية .
