Par Yusra Ghannouchi,
Une assemblée pluraliste pleine de débats véritables et de discussions passionnées; des Tunisiens de tous âges qui suivent de prés et avec beaucoup d’intérêt les séances de l’assemblée constituante, diffusées en direct sur la première chaîne de télévision nationale, et qui en font des analyses et commentaires que ce soit dans les sphères médiatiques et virtuelles ou dans la vie réelle; des politiciens authentiques dont les discours sont suivis par des millions de Tunisiens qui les écoutent (même discrètement au bureau) en Tunisie ou à l’étranger; des accords et désaccords fervents. Il est en effet rafraîchissant de voir enfin une société pluraliste en Tunisie et une nouvelle culture de la discussion qui se développent à tous les niveaux de la société et dans toutes ses sphères.
Lors de cette nouvelle phase de l’histoire de la Tunisie, durant laquelle un débat national sur l’avenir de ce pays est ouvert et après des élections véritablement pluralistes, il est naturel que des différences entre les visions et points de vue deviennent manifestes. Il est aussi naturel et nécessaire, que les partis politiques – en particulier ceux qui vont participer à la formation du gouvernement – reçoivent une attention particulière, et qu’ils soient soumis à un examen minutieux et critique.
Les questions de développement économique et de justice sociale sont au premier plan des priorités soulignées dans tous les débats actuels sur l’avenir de la Tunisie. Elles sont à la tête des revendications des manifestants, et ont été au cœur même de la révolution. C’est pourquoi, comme l’auteur d’un article récent de Nawaat le confirme, «Ennahdha a fondé sa campagne électorale principalement sur la justice sociale et l’emploi, répondant ainsi aux préoccupations majeures de la majorité des Tunisiens» (Emna El-Hammi, Nawaat, le 8 décembre 2011).
Ce fut après tout, cette revendication qui a allumé la flamme de la révolution, celle-là même que Mohamed Bouazizi a exprimée à travers son geste de protestation ultime contre la marginalisation de pans entiers de la société tunisienne, causée par l’inégalité de la distribution des richesses, l’absence de débouchés et la corruption d’une élite, qui a très longtemps ignoré les souffrances, humiliations, et luttes quotidiennes des gens ordinaires. Ces oubliés du « miracle tunisien » sont si nombreux qu’ils finissent par ne plus pouvoir être pensés en termes de résidus du développement et de la croissance. Ils constituent plutôt l’écrasante majorité de la société.
Ayant écouté attentivement les préoccupations de l’électorat et fait ses devoirs sur le terrain, le parti Ennahdha est profondément conscient de l’urgence de ces priorités. Ainsi, il a agi rapidement après les élections afin d’éviter une nouvelle détérioration de la situation économique du pays. Reconnaissant qu’il y avait un besoin urgent d’une action décisive sur l’économie, Ennahdha a tenu à rassurer et encourager les investisseurs locaux et étrangers à investir dans l’économie tunisienne, se concentrant particulièrement sur la stimulation des investissements dans nos régions les plus défavorisées.
Cette attitude responsable est présentée par ses détracteurs comme relevant d’un «libéralisme quasi sauvage » qu’Ennahdha serait en train de promouvoir. Il semble que ceux qui défendent ce point de vue n’ont même pas pris la peine de lire les programmes sociaux et économiques d’Ennahdha (disponibles en tant que tels en arabe, français et anglais), qui mettent l’accent sur le rôle de l’État et son implication dans une économie qui donne une place à l’initiative et l’investissement privés pour impulser la croissance, mais également sur le rôle important qu’il doit jouer pour assurer la mise en œuvre de politiques et de mesures de protection sociale (la gratuité de l’éduction, les soins de santé universels, des services et un soutien adéquats pour les communautés les plus démunies, etc.).
Ce que nous trouvons au cœur de la vision qui anime le programme économique et social d’Ennahdha ce n’est pas un plaidoyer pour l’affranchissement de l’économique à l’égard de toutes les normes sociales et politiques concrètes (c’est cela finalement le capitalisme sauvage) mais plutôt une « intégration contrôlée » du mode de production capitaliste, qui a fonctionné jusqu’à maintenant seulement au service de l’investisseur, dans le « mode de reproduction » plus général de la société. C’est-à-dire de socialiser l’économie, de la rendre au service d’un développement humain respectueux des droits sociaux et économiques de tous et non seulement des droits politiques formels. Il s’agit dans cette vision de mettre au cœur du développement économique les besoins de la société de telle sorte à ce que ce développement ne fonctionne pas simplement et uniquement au service de la logique marchande.
L’emprise de la logique économique sur la vie des sociétés modernes a après tout pu être limitée à travers les formes modernes de régulation sociopolitique de l’économie qui « mettaient (…) en jeu un pouvoir collectif exigeant une reconnaissance de légitimité»*. C’est cette régulation politique du capitalisme qui a donné lieu à ce compromis social-démocratique durement acquis dans les social-démocraties européennes et qui a empêché l’emprise totale du capitalisme sur la société. C’est le démantèlement de cette social-démocratie qui a amené le retour du capitalisme sauvage sous la forme du néolibéralisme.
Les accusations de «libéralisme quasi-sauvage» envers le programme économique et social d’Ennahdha n’ont guère de sens en vue de ses promesses (exprimées dans son programme électoral) d’établir un système économique équitable qui doit «réaliser la justice sociale par la lutte contre la pauvreté, l’amélioration du niveau de vie et le rétablissement du rôle de la classe moyenne comme le moteur principal du développement ».
Le programme d’Ennahdha, développé par un ensemble d’experts économiques, juridiques et des spécialistes en politiques sociales, s’engage à la mise en place d’un système qui va « alléger la charge fiscale pour les citoyens à revenu faible et moyen », augmenter les « subventions pour les familles nécessiteuses afin de les aider à satisfaire leurs besoins fondamentaux», «augmenter le salaire minimum industriel et agricole par au moins un point au-dessus du niveau de l’inflation », « développer des coopératives d’habitation pour les familles à faible revenu » et « offrir gratuitement des soins médicaux aux familles à faible revenu ainsi qu’aux familles des martyrs ». Il est difficile de qualifier ces mesures de « politiques » relevant d’un libéralisme pur ou du «capitalisme sauvage » à moins d’une torsion majeure de leur logique.
Par ailleurs, il est largement reconnu qu’une politique économique responsable doit se pencher d’urgence sur le problème de l’endettement chronique de la Tunisie ainsi que sa dépendance des prêts à intérêt élevé. L’accent mis par Ennahdha sur l’investissement fait partie de son engagement à réduire cette dépendance et à instaurer un système économique stable. La crise du chômage ne peut être résolue et des réformes sérieuses, en vue d’une plus grande protection sociale, ne peuvent être mises en place au moyen d’emprunts. Ils nécessitent des investissements et une stimulation de la croissance plutôt que davantage de dettes. Les détracteurs des efforts déployés par Ennahdha en vue d’encourager l’investissement n’ont pas réussi à proposer leurs propres solutions au financement de ces réformes.
Ces critiques affirment qu’une économie fondée sur l’initiative privée ne fera, très certainement, qu’accentuer les disparités déjà existantes entre les classes sociales (El-Hammi). Cela laisse supposer que les sociétés les plus égalitaires sont celles qui limitent l’initiative privée et que la justice sociale et l’entreprise privée sont mutuellement exclusives. Or cela est loin d’être le cas dans la réalité. Ces affirmations ne sont nullement étayées par des preuves réelles. Dans les comparaisons internationales de l’indice du développement humain, les pays nordiques, qui marient un partenariat entre le public et le privé en termes d’investissement ainsi que des politiques sociales, sont pratiquement toujours au niveau ou près du sommet en termes d’indices de croissance et du développement humain et durable.
Jugés à partir d’un certain nombre d’indices mondiaux qui se penchent sur un ensemble de facteurs (la compétitivité, la productivité, la croissance, la qualité de vie, la prospérité, l’égalité, etc.), les quatre principaux pays scandinaves – Suède, Norvège, Danemark et la Finlande – sont constamment en tête de liste. Ces pays scandinaves sont caractérisés par une croissance stable, une longue la stabilité politique, des institutions transparentes, l’adaptabilité technologique, des marchés du travail flexibles, des économies ouvertes et des niveaux élevés de l’éducation.
S’il est vrai que ces économies encouragent l’entreprise privée, elles ont, néanmoins, aussi réussi à préserver la société des «aspects socialement destructeurs du capitalisme sauvage ». Cela ne veut pas dire qu’il y a nécessairement un modèle unique et spécifique que la Tunisie devrait reproduire. Cela nous permet simplement de signaler qu’il est simpliste et erroné d’assimiler l’initiative privée et les incitatifs financiers à l’investissement avec le capitalisme sauvage, comme il est tout autant fallacieux d’établir une équivalence entre le vieux communisme avec l’égalitarisme pur. Du reste, si le débat sur le fond des programmes économiques doit être salué, ce débat pourrait devenir plus fructueux si l’auteur évitait de déformer les citations et de recourir à des présomptions imposées comme étant indiscutables et évidentes au sujet des choix socio-économiques que la Tunisie peut faire aujourd’hui alors que ces choix devraient être l’objet d’un débat.
Il y a aussi un autre angle d’attaque contre le parti Ennahdha, qui est souvent pris pour l’accuser de poursuivre un désir ultime de monopoliser le pouvoir quand bien même il ne disposerait pas d’un véritable soutien populaire. Cette conclusion fallacieuse est tirée d’une série d’acrobaties mathématiques douteuses appliquées aux résultats des élections. Cependant, quand on met de l’avant le fait qu’Ennahdha a constamment souligné et démontré son engagement à collaborer, pour le bien national, avec d’autres partenaires politiques, peu importe leurs positions idéologiques, un nouvel argument contradictoire est soudainement brandi. Selon cet argument alambiqué, le parti Ennahdha aurait reçu le mandat de gouverner à lui seul, mais il serait réticent à le faire, car il voudrait mettre en cause les autres afin de ne pas recevoir tout le blâme s’il devait échouer. En d’autres termes, selon cette logique « quoi que le parti Ennahdha fasse, il aura toujours tort! ».
Ces arguments contradictoires choisissent d’ignorer toutes les déclarations faites explicitement et régulièrement par Ennahdha depuis le 14 janvier. En fait, même M. Yadh Ben Achour, au lendemain des élections, a admis avoir été surpris qu’Ennahdha ait accepté un système électoral qui n’était pas à son avantage et qui lui était fondamentalement injuste. En réalité, si ce parti cherchait à monopoliser le pouvoir, il aurait légitimement remis en question ce système électoral injuste. Or, ce parti est resté attaché au principe de coopération indépendamment des résultats des élections. D’où la déclaration du 19 octobre: « si nous devions recevoir la confiance du peuple, nous serions toujours attachés à l’édification d’un consensus et au partenariat dans la gestion des affaires du pays avec les principaux partis politiques» et nous travaillerons certainement à impliquer « toutes les compétences et l’expertise dont notre société est riche dans tous les domaines. » (Communiqué de presse d’Ennahdha, le 19 octobre 2011).
Ceux qui ont suivi un tant soit peu l’historique de ce parti politique, peuvent objectivement témoigner sans grande peine de la disposition d’Ennahdha à collaborer avec d’autres partenaires politiques, en dépit des différences idéologico-politiques. Il ne s’agit nullement d’un nouveau trait de la ligne de ce parti. Il a en fait ouvertement travaillé avec les démocrates socialistes, des syndicalistes, des nationalistes, des libéraux et des militants de la gauche, pour la réalisation d’objectifs communs. Un des exemples les plus significatifs des réalisations communes est le « Mouvement du 18 octobre», qui a réuni un large spectre de mouvements d’opposition, non seulement en vue de dénoncer la dictature de Ben Ali, mais aussi pour engager un dialogue profond et réel, sur les plans politique et intellectuel, permettant d’élaborer une vision commune pour une démocratie pluraliste en Tunisie. Plusieurs personnalités et figures politiques ont pris part à ce mouvement tels le Dr Moncef Marzouki et le Dr Mostapha Ben Jaafar, ainsi que M. Nejib Chebbi, M. Hamma Hammami et bien d’autres. La volonté manifestée d’Ennahdha de coopérer avec les autres partis pour former un gouvernement est, en ce sens, simplement une continuation de son ouverture aux autres. Elle est conforme à son engagement à travailler avec des partenaires disposés à promouvoir et faire avancer les intérêts nationaux. Coopération et travail conjoint nécessitent de la souplesse et des compromis de tous les côtés, et c’est ce qu’Ennahdha a démontré constamment cette année comme les années précédentes. N’importe quel observateur objectif peut voir cela, sauf s’il est déterminé à voir autrement.
Quand l’amnésie sélective ou la méconnaissance des déclarations d’Ennahdha ne sont pas suffisantes comme subterfuges servant à discréditer Ennahdha, alors la déformation des citations devient une autre voie privilégiée. Une citation récente m’a été, notamment, attribuée où j’aurais affirmé qu’Ennahdha aurait reçu seulement un tiers des suffrages et c’est pour cela qu’il serait à la recherche d’une coalition. Or cette pseudo-citation n’avait pas de source, de date et ne fut de surcroît jamais prononcée par moi. Je peux affirmer catégoriquement que cette citation qui m’est attribuée ne représente pas mon opinion.
Il semblerait que pour certains commentateurs, lorsque les faits ne correspondent pas à leurs théories préconçues, ils pensent être en droit d’aller chercher plus loin ce qui conforterait leurs convictions profondément ancrées. Ainsi, la proposition que le gouvernement doit être dirigé par le parti qui a reçu les voix du plus grand nombre de Tunisiens (sur la base d’un programme faisant clairement la promotion d’un système parlementaire) devient la preuve ultime et recherchée qu’Ennahdha souhaiterait instituer une dictature. Cependant, ces accusations ignorent délibérément les faits: les propositions claires d’Ennahdha, son travail avec ses partenaires pour parvenir à des accords mutuellement acceptables, son ouverture continue à tous les points de vue et sa volonté de proposer des compromis, même contre ses propres intérêts.
Par ailleurs, les détracteurs d’Ennahdha semblent être conscients de la faiblesse de leurs arguments. En conséquence, leur tendance a été plus récemment plutôt de s’éloigner de se concentrer sur les déclarations officielles et les actions concrètes pour se baser plutôt sur de faux commentaires ou fausses actions par des présumés partisans radicaux de ce parti. Ainsi, sans se baser sur des statistiques ou des analyses véritables, on nous dit qu’Ennahdha aurait gagné des voix, grâce à l’instrumentalisation de cette présumée base, mais que cette base « n’apprécie pas réellement » le discours modéré maintenu par les leaders de ce parti et à travers lequel, ils ne cessent de « rassurer les Tunisiens, et principalement les modernistes, quant à la préservation de leurs libertés et à l’instauration d’un État civil » (El-Hammi).
Cette ligne d’argumentation repose sur plusieurs hypothèses non fondées et sur très peu sinon aucune preuve. Sur quelle base conclut-on que les électeurs d’Ennahdha sont radicaux et qu’ils ne sont pas en mesure de comprendre ou d’apprécier le discours des libertés et de l’État civil? En réalité cette hypothèse, non conforme à la réalité, repose sur le postulat que ces libertés, droits et principes sont l’apanage des «modernistes». Dans cette logique, les droits et libertés ne sont pas universels ni communs à tous les tunisiens mais le privilège de quelques uns, d’une minorité qui aurait le monopole du sens de la modernité, de la rationalité, et du sens de l’histoire tout court.
Nos modernistes n’imaginent pas que «l’autre», qui ne constitue pas un simple résidu de l’histoire (censé disparaitre avec plus de progrès), et auquel ils ne reconnaissent pas le droit d’exister, d’être et de se constituer en sujet de son histoire, peut également croire aux droits humains et s’attacher à maintenir les libertés qui leur sont chères et qu’ils voudraient protéger. Ils oublient que les libertés de tous les Tunisiens – résistant ou non à la dictature, actifs politiquement ou non, islamistes, laïques, libéraux, gauchistes, etc. – ont été confisquées et leurs droits fondamentaux violés pendant des décennies, et qu’à travers ces violations de leurs droits fondamentaux, tous les Tunisiens ont appris à apprécier d’autant plus ces droits et libertés dont ils ont été privés. Ce ne sont pas seulement les modernistes qui défendent ces valeurs et ils ne sont nullement les seuls à avoir besoin d‘être rassurés au sujet du fait que l’on ne retournera jamais à la dictature. Ils ne sont pas les seuls à avoir besoin de garanties à ce sujet. Ce ne sont donc pas uniquement les islamistes qui sont appelés à rassurer et à proclamer leur engagement envers le respect et la préservation des droits et libertés des Tunisiens.
La critique et l’examen attentif des discours et politiques d’Ennahdha vont – et devront – se poursuivre et probablement s’intensifieront à mesure que le nouveau gouvernement est formé. Les Tunisiens ont, heureusement, laissé derrière eux l’ère du parti unique, intouchable et irréprochable. Mais ils devraient aussi, néanmoins, abandonner les réflexes de la diabolisation des adversaires politiques acquis sous le joug de la dictature ainsi que toutes les pratiques qui servent à les discréditer : allégations sans fondement, déformation des citations, exagération irrationnelle et préjugés aveugles et biaisés,..etc. Nous avons à présent une occasion d’établir une nouvelle culture de la reconnaissance et de l’acceptation de l’autre, au-delà de nos différences. C’est une opportunité historique pour nous tous, Tunisiens, de se reconnaitre mutuellement le droit d’exister et de nous exprimer librement, tout en s’engageant dans un dialogue constructif et significatif qui s’inscrit en ligne avec l’esprit de la révolution. Sans la coopération de tous, la vision d’une société prospère, pluraliste et égalitaire qui a animé la révolution ne pourra pas devenir réalité.
* Michel Freitag, « La globalisation contre les sociétés », in Michel Freitag et Éric Pineault, Le monde enchaîné, Nota Bene, 1999, pp, 231-318, p. 277.
Droit de réponse de Yusra Ghannouchi à mon article : “Voter pour #Ennahdha était-ce une arnaque?”: http://t.co/9I4KhN6H
pour une question claire, une reponse ‘pret à porter’, produit d’une stratégie bien ficelée, muette flou qui fait plutot perdre du temps.
Faites le parallèle avec les interventions sans fin de B’hiri (nouv. Min Justice) et le long discours d’hier de Jebali. Sont tous longs, répétitifs, généralistes, plein de promesses. En en sort bredouilles. C’est stratégique.
Réponse de Yusra Ghannouchi à l’article”Voter pour Ennahdha était-ce une arnaque?” http://t.co/cEuLkj7Y via @nawaat by @yusraghkh cc @Psycke
Excellente réponse de @yusraghkh à l’article “Voter pour #Ennahdha était-ce une arnaque?” http://t.co/Hs2WADuJ #TnAc
Chère Madame,
une phrase attire mon attention
“Ainsi, il [Ennahda] a agi rapidement après les élections afin d’éviter une nouvelle détérioration de la situation économique du pays”
Pouvez-vous nous expliquer en détails les actions des dirigeants d’Ennahda en faveur de l’économie depuis le 23 octobre et quelles sont leurs impacts à court-terme, moyen-terme?
Merci beaucoup!
Ghanouchi ennahda quatar pays du golf “garbage” aussi simple que ça l’avenir le dira et le confirmera.l’hypocrisie (nifak)paye pour un certain et après ça fait pshiiiiiiiit.
…certain temps…
@veritas,
je vois qu’a chaque commentaire t’est obligé de rectifier ton comm suite a un oublie , chose qui laisse deviner ta crispation et ta haine qui t’échappent entre les doigts . ai-je tort ? je sent que c’est non .
Pour un droit de réponse s’est une diarrhée verbale que nous livre la fille du Cheikh et la belle soeur du nouveau MAE : la sacro-sainte famille. Un droit de réponse trois fois plus long que le texte auquel il cherche à répondre. J’ai personnellement parcouru la version courte du programme, je n’ai pas pu accéder à la version complète et je peux affirmer que le parti Nahdha s’est largement inspiré du XII plan de ZABA et que son orientation est libérale avec un léger penchant pour la réforme et qu’il n’y a aucune rupture avec le modèle qui a généré la pauvreté et le déséquilibre régional. Quant aux questions se rapportant au double langage et aux libertés individuelles aucune réponse n’est apportée sur le positionnement de ce parti, dont le double langage se confirme de jour en jour comme en témoignent par ailleurs ses positions sur les libertés académiques et les troubles qui secouent l’université tunisienne.
@ELLOU,
ce diarrhée verbal ne vaux rien devant ta constipation linguistique que je sache .
ENNHDA EST UNE NAKBA 7ALLET BIL BLED NIFE9 DOUBLE LANGAGE VERBIAGE LE PEUPLE VOS DEGAGERA
@SOUHAIL….., bonjour,
t’as dégagé qui avant pour prétendre pouvoir dégager annahdha ?
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Ennahdha se doit de protéger les libertés individuelles et assurer la sécurité au sein de nos universités puisqu’ils ont le pouvoir . Ils doivent protéger nos facs de ces barbus qui terrorisent les étudiants .Il ne faut surtout pas qu’ils utilisent ces fanatiques pour nous imposer cette secte idolâtre qu’est le wahabisme, parce que ils ne réussiront pas! tout ce qu’ils réussiront à faire c le chaos,et dans ce cas l’armée ne restera pas les bras croisés !
C’est Dalida qui chantait “Paroles, paroles paroles”, “rien que des mots, toujours des mots les mêmes mots” …la suite? Une deuxième Révolution !
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Logorrhée sans queue ni tête ! Lorsque l’on à rien à dire,on noie son
interlocuteur sous un flot de paroles,vieille tactique éprouvée de
tous ceux qui parlent pour ne rien dire !
Ennahdah n’a pas obtenu une majorité et loin s’en faut et Ennahdah savait qu’elle ne pouvait pas gouverner seule,c’est pourquoi elle s’est empressée de faire les yeux doux à d’autres partis et pas par bonté d’âme ! Ensuite,elle sait que si en gouvernant,elle se plante,
lors des prochaines élections,elle risque de perdre et il lui sera facile alors de dire,”mais nous n’étions pas seuls”!
Alors oui ! Sans contestation possible :
“Voter pour Ennahdha était une arnaque !”
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يا يسرى…هؤلاء قوم ختم الله على قلوبهم…صم بكم لا يفقهون… النفاق في أجلى مضاهره…محاولة رائعة ولكن …هات شكون يفهمك؟؟؟؟؟
enahdha n avait aucun programme economique 15 jour avant les elections,puis ils ont repris en le changeant un peu le programme de Ben ali .Quand a l esprit d ouverture soyons francs,s ils partagent le pouvoir c est parcequ ils savent qu ils sont incapable de gerer le pays et sous couvert d ouverture,ils veulent diluer leur responsabilite.Ca ne marchera pas,ils devront affronter le resultat de tout ce qui va se passer maintenant.Personnellement je vois mal comment un parti qui emet autant de signaux negatifs peut reussir.Le premier signal negatif c est qu ils ont deja divise le pays en deux a tous les niveaux:les islamistes et les autres.les hommes et les femmes.l occident et l orient,les voilees et les non voilees,les francophones et les arabisants.C est ce qui s appelle se tirer une balle dans le pieds
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@fairouz
Les salafistes c’est la guestepo d’ennahda qui fait style ni vu ni connu.
C’est plus que triste, mais c’est vrai que ça m’y fait très sérieusement penser. Même tactique de terreur que la SA au début du national socialisme….
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Marzou9i obnubilé par le pouvoir (Legitiment ou pas on s’en branle) va se faire rétamer la gueule par les nahdhaoui… En tous cas pour une fois je suis daccord avec les Nahdhawi lui remettent les idées en place et lui montrent (comme a Benja3fir) qui commande ce peuple de dégénérés… Fammech mayi trabba wou yirja3 yi39al et surtout se réconcile avec ceux qui portent les memes valeures que lui…
Tout a été dit sur le double langage, le faux partage et les négociations machiavéliques d’ennahdha avec des partis dont les chefs sont avides de pouvoir.
Je vais quant à moi juste reprendre votre dernière phrase pour vous démontrer, en y insérant ce qui ne va pas entre parenthèses, qu’ennahdha a beaucoup de progrès à faire :
“Sans la coopération de tous (ce n’est pas possible : ennahdha ne coopère pas, elle impose ; chaque fois qu’une proposition hors troïka est sxposée, elle était systématiquement refusée et son auteur raillé), la vision d’une société prospère, pluraliste (à condition qu’on pense comme la troïka ; votre complice Abbou était clair dans l’assemblée : ou on pense comme vous ou on est traître et ces propos sont applaudis par les vôtres) et égalitaire (tous les présidents des partis politiques ne sont pas les égaux de votre père. D’ailleurs à quel titre se déplace-t-il dans divers pays pour parler et entreprendre des accords au nom de la Tunisie. Qui paye ses déplacements ?) qui a animé la révolution ne pourra pas devenir réalité.”
Quand vous serez prêts à travailler pour la Tunisie et uniquement pour la Tunisie, je me battrai pour vous-même si vous n’avez pas besoin de moi.
Pour l’instant, les signes que votre père et les siens nous envoient ne sont guère rassurants. Par exemple, il aurait pu nous éviter la nomination de son gendre à un ministère important. Même si ce gendre est compétent cela nous rappelle une histoire encore présente d’un népotisme détestable.
Bref, je vais m’arrêter là. J’ai dit l’essentiel et je n’ai aucune envie de paraître outrancier ou désobligeant.
@yusra gannouchi ou peut être on devrait dire yusra kheriji de vrai nom c’est quoi cet manie chez vous de changer tout même le nom double language dans ce partie comme double nom ,même votre beau frère c’est pareil de rafik bouchlaka il devient rafik abdessalem ? vous avez tout fait comme ben ali lui aussi à changer son nom ,lui aussi à embaucher toute sa famille et la famille de sa femme dans des postes ,vous comme lui vous parlez au gens de réconiliation et de démocratie et derrière vous lacher les salafistes sur les manifestants de bardo comme lui il lacher ses flics pourrit ,lui aussi il fesait des déplaçement secret comme gannouchi le père il y a quelque semaine aux usa ,et vous demander que le peuple tunisiens vous croit ,pourquoi ? doit je vous croire quand je voit que vous tracer les mêmes chemins que lui ,même sur internet votre partie lache ses detracteurs sur les blogueurs comme zaba la fait avant vous avec son ammar 404.POURQUOI LE PEUPLE DOIT VOUS CROIRE?
AH oui ,une question de plus comme tout tunisien on aimerait bien savoir ,les ventes des palais c’est vraiment pour payer les ministres 30000dinars par mois ,parce que personnellement je voit pas pourquoi on devrait payer ses ministres et des enfants dans tout les tirritoirs tunisien ont faim ?ils ont qu’a être payer quand ils auront redresser le bilan économique du pays et comme on a plus de 500 miles chômeurs ont devrait construire des usines avec ce fric ,et dire au tunisiens d’acheter made in tunisien ou lieu de paiement de ministre ,ils devrait être volontaire s’ils aiment vraiment les tunisiens plus que leur amours au pouvoir.
tres juste
recruiting agents ?
J’ai essayé de lire avec indulgence, mais ce texte est vraiment trop vide et insipide. De plus il sent la traduction à plein nez.
Ce gouvernement est navrant, et le mot est faible. Non seulement c’est une copie de l’ancien régime avec la trio du père de la fille et du beau-fils, mais même leur programme risible inexistant et/ou fallacieux est une copie de ce que pouvait nous servir l’ancien régime.
Ce qui est moins drôle par contre, c’est qu’au moins Bourguiba tout comme Ben Ali étaient des purs produits made in Tunisia dans leurs manières et leurs cultures, alors que l’actuel gouvernement tunisien semble directement importé du moyen-orient, (même la coupe de leur barbe). Quand à Marzouki il semble lui directement importé des années soixante-dix! Ce gouvernement est en dehors de l’histoire et de la géographie tunisienne et ne représentent même pas le 14 janvier, vu qu’ils n’y étaient pas!
La majorité des nouveaux vizirs, califes et autres ont passé les dernières décennies en France ou à Londres, et ils ont cotoyé les milieux islamiques moyen-orientaux très éloignés par leur culture et leur religion de la société tunisienne. Et non, n’en déplaise aux incultes la Tunisie n’est pas vraiment arabe et pas du tout moyen-orientale.
D’autre part il serait utile de rappeler que tous ces accoutrement dont les nouveaus vizirs raffolent, niqab, hijab, tchador ou burqa ne font pas partis de l’identité tunisienne.
En Tunisie c’est le sefsari ou la tenue occidentale, et ça depuis presque 100 ans!
@Monica, tu prêches dans le désert mais tu n’es pas seule!
Droit de réponse de Yusra Ghannouchi à l’article : “Voter pour Ennahdha était-ce une arnaque?”: http://t.co/BnvKohKs
monica tu preches pour moi aussi.
madame ganouchi pourquoi prenez vous comme exemple des pays nordiques
c pays sont tres riches .
Je me suis infligée une sacrée torture en lisant ce texte jusqu’au bout. Si vous vouliez. Je crois que vous n’auriez pas trouvé meilleur test pour éprouver notre résistance à la souffrance(un ami maso l’a gardé pour le relire pendant les longues soirées d’hiver). Par charité, vos amis nahdhaouis auraient dû vous conseiller de vous abstenir d’écrire une… ineptie pareille (et je reste poli quand je m’adresse à une femme, c’est mon côté laïc qui l’emporte !).
Comme dit Monica, ça sent la traduction. Le texte a été rédigé en anglais (avec beaucoup de copier/collé désordonnés à partir des journaux anglais gratuits), puis traduit par un étudiant qui ne maîtrise pas encore le français. Ce n’est pas grave en soi, surtout que vous ignorez le français, mais l’article est tellement constellé de fautes et de non-sens qu’il est devenu un baragouin insupportable. Il faudrait demander au parti de vous payer un bon traducteur, vous en avez les moyens.
Mais la forme de ce texte m’a fait comprendre la raison de la phrase de papa Rchouda : “la langue française est une pollution…” Quand on ne maîtrise pas quelque chose on devient son ennemi ! C’est tout con, mais c’est comme ça. Au fait, qu’en est-il de la langue anglaise ?
Quant au fond… eh ben , il n’y a pas de fond ! Ça vole au ras des pâquerettes. On dirait Monsieur ” Bac moins trois ” qui parle. On a eu droit à des tirades sans tête ni queue, complètement stupides, sur l’économie capitaliste, la social-démocratie et les pays scandinaves…
Et une conclusion qui est un pur chef-d’œuvre de l’esprit de tolérance. Sauf que la tolérance, « la reconnaissance et de l’acceptation de l’autre » ne font pas partie de la culture de Ennahdha. La preuve : l’article 8 de la Constituante fait partie de la fierté des nahdhaouis puisqu’il écarte de la présidence de la République « les tunisiens » qui ont la double nationalité, qui ne sont pas musulmans, qui sont nés d’un parent étranger ou non musulman. Le double langage, la dictature et le rejet de l’autre, c’est ça la réalité de votre idéologie.
P.S : le contraire d’islamiste n’est pas un laïc. Ils sont simplement ennemis !
Encore un effort et vous serez prête pour un poste au gouvernement.
@BOB:tout simplement bravo surtout votre remarque sur l’article 8 ,pendant que des gens essayent de rassembler l’humanité d’autre comme ennahtha essayent de la divisé en prétendant le contraire ,je sais pas que serait l’islam aujourd’hui si les musulmans de l’époque ont refusé aux turcs de gouverner ou aux restes des musulmans non arabes de gouverner ,ce partie est tellement hypocrite et ses partisans est tellement aveugles …….
Madame Yusra Ghannouchi,
Avec tout le respect que l’on vous doit, vous ne semblez pas respecter l’intelligence des Tunisiens/es…
Vous nous chantez les gloires de Nahdha et vous nous remplissez de mots dans ce pamphlet qui reste de LA PURE THEORIE.
La vérité visible et tangible est la suivante:
Votre oncle, Si Ghannouchi va nous amener en Tunisie cette nourriture infecte appelée McDonald: plusieurs personnes gérant des petits restos iront au chômage; nos enfants souffriront d’obésité; Il y aura un monopole sur la viande bovine; les serveurs toucheront une misère; notre patrimoine gastronomique s’appauvrira… Pourquoi? Afin que la multinationale devienne plus riche et que votre oncle -Oh! cet homme pieux!- se remplisse les poches…
Oui chère Madame Yusra Ghannouchi; Les Trabelsia sont partis, les Ghannouchi ont débarqué. Faites ce que vous voulez, vous avez le pouvoir; mais de grâce ne vous couvrez pas de piété et de versets coraniques; vous n’en êtes pas dignes.
Lisez, et regardez les commentaires: http://nawaat.org/portail/2011/06/20/pas-de-mac-donald-en-tunisie-je-garde-mon-casse-croute-et-mon-lablabi-merci/
Et, pendant ce temps là…..
Bonjour Madame Ghannouchi,
Je ne discute pas votre droit de défendre Annahdha. C’est légitime et inconstestable. Même si à titre personnel je n’ai ps voté pour ce parti, je dois m’incliner, néanmoins, devant le verdict des urnes. Cela étant, il est faux de dire qu’Annahdha a fait beaucoup de choses depuis le 23 octobre 2011. Non Madame vous ne pouvez pas dire cela. Oui Annahdha fait des choses mais uniquement dans la gesticulation,et postures contreproductives. Après la tragi-comédie des débats à l’assemblée nationale constituante Annahdha a changé de braquet et occupe désormais les médias pour nous dire ça y est la liste des membres du gouvernement est fin prête, elle va être publiée demain et on va se mettre au travail. On attend toujours. En réalité, les dirigeants de votre parti passent leur temps de conciliabules en conciliabules, ils discutent le “partage équitable” de la “Ghanima”(je trouve que le mot en Arabe est plus porteur que son équivalent en Français- butin) entre prédateurs du suffrage universel. Vous appelez ça faire des choses pour le pays. Non Madame, et avec tout le respect que je vous dois, raisonner ainsi est une imposture doublée d’un mépris total envers celles et ceux (je n’en fais pas partie) qui vous ont accordés leurs suffrages et qui doivent sûrement le regretter à l’heure actuelle tant ce cirque est à mille lieues de leurs préoccupations quotidiennes. La Tunisie n’est pas la Belgique, elle ne peut pas s’offrir le luxe de rester sans gouvernement, sans pouvoir à la merci des aventuriers de tous bords. A cause de cet intermède interminable accentué sans doute par la complicité passive d’un gouvernement Essebsi agonisant, les entreprises étrangères quittent le pays(elles font le bonheur du Maroc voisin- Saha lihom), des grèves et des sit-in paralysent l’économie, des pénuries alimentaires touchent le Tunisien moyen dans son vécu. Désormais, le Tunisien doit s’escrimer pour trouver un pack de lait ou une bouteille de gaz pour se chauffer. Bref, Madame le pays se meurt, le pays est mort. Je n’appelle pas ça Le début d’une bonne gouvernance.
http://www.tiwinoo.com/le-frere-de-rached-ghannouchi-obtient-la-franchise-mc-donald%E2%80%99s-en-tunisie.html
Les tunisiens se seraient plus mobilisés pour aller voter, ça ne se serait pas produit.Vous avez voulu la démocratie et puis vous n’allez pas voter ?? La honte!!!!!
Extrapolation sur un nombre plus grand n’aurait rien changé…si tu crois que la minorité pouvait devenir majorité et vice versa?
Dans une démocratie, on a les dirigeants qu’on mérite …
loncle sam pousse et soutien les partis islamistes dans le monde arabos musulman juste pour que c parti se plantent et decredibilise
l islam , et il va tous faire pour qu il se plante
apres l oncle sam attendra qu on reclame la grande democratie( soit disant grande democratie) c a dire le grand liberalisme
les islamistes et les democrates sont les 2 faces d une meme piece
notre cher oncle sam..
Lettre de Yusra #Ghannouchi aux détracteurs d’ #Ennahda. http://t.co/5NcaiZOS
Droit de réponse de Yusra Ghannouchi à l’article : “Voter pour #Ennahdha était-ce une arnaque?”: http://t.co/MYs5HQAM
Je viens de savoir que l’information qui a circulé au sujet de McDo et du frère de Ghannouchi était une intox; encore une fois nous sommes victimes de cette atmosphère empoisonnée où les menteurs AUSSI ont droit de communiquer leur intox, et créer plus de confusion encore. Sorry et tant mieux
http://www.debatunisie.com/archives/2011/12/22/23029012.html
Une diarrhée verbale. Un texte insipide et indigeste que j’avoue n’avoir pas lu jusqu’au bout. Puisque c’est inutile et sans intérêt.
Mince alors et haut et fort mille fois le mot de Cambronne!
Nous nous sommes débarrassés des Trabelsi et nous voilà maintenant embourbés dans la fange de la tribu des Ghannouchi & associés!!
Parce qu’une brochette de tunisiens abrutis, oui abrutis et incultes, ont cru devoir se laisser abuser par une secte de tarés venus de je ne sais quel orient décadent et obscurantiste (et même de Londres où ils se la coulaient douce avec femmes, enfants et beaucoup d’argent iranien,turque,quatari et d’ailleurs) acheter leur maigre conscience disponible à toutes les braderies.
Arrêtons de gloser!
Chassons les barbus avant qu’ils ne nous chassent de notre belle Tunisie, pour en faire un désert désolé et hors du temps, le seul environnement qu’ils chérissent.
De femme à femme: une Tunisienne ‘Jollanar’ s’adresse à Yusra Ghannouchi. les quatre vérités
http://jolanare.blogspot.com/2011/12/mme-soumeya-ghanoushi-femme-de-m.html
bravo pour ce déballage d’inepties !!!!les grandes facultés de Londres n’ont pas pu faire mieux???bizarre!!!!
je vous invite, vous et votre parti a vous replonger corps et ame dans les anciens plans de réformes de zaba et sa bande rcdiste vous trouverez une excellente matière pour vos prochaines compagnes électorales!!!!!!!!!!!
on le trouve ou le plan Zaba ?