Droit-musulman 8

Non, l’abolition de la peine de mort n’est pas incompatible avec l’islam !

Des voix prétendument autorisées se sont élevées au sein de l’Assemblée Nationale Constituante contre le principe de l’abolition de la peine de mort dans la nouvelle constitution prétextant qu’il serait incompatible avec l’islam. Contre cet avis, une pure ineptie, nous nous élevons le plus vigoureusement

Un homme égale deux femmes

Par Zina Roumi – Une révolution ne fait jamais table rase du passé. Le lien qui nous unit dans l’espace et dans le temps à la pensée des générations d’hommes disparues s’appelle une tradition. La Tunisie est un pays de tradition musulmane. Je ne parlerai pas de Dieu, car c’est une question de foi, mais de religion, c’est-à-dire de la façon dont les hommes interprètent, diversement au fil des siècles, le contenu d’une révélation.

Le Multipartisme d’État en Tunisie : La débâcle

[Note : cet article a été publié par Astrubal en 2002 sous un autre pseudonyme] C’est après la Grande guerre que l’on observe en Tunisie des partis politiques éclorent et dont plusieurs sont issus d’une matrice commune : le Parti Tunisien créé en 1919. Ce parti, issu du mouvement associatif « Jeunes Tunisiens », s’est caractérisé essentielleme […].

Le Maghreb et le Monde arabe : entre gloire, décadence et espoir (1re partie)

Notre réflexion essaiera de s’interroger sur le procédé qui a permis à une peuplade du fin fond de l’Arabie de conquérir le monde puis, subitement, de tomber dans une décadence terrible (I). Cette réflexion n’aurait pas de sens si elle ne cherchait pas à situer l’expérience civilisationnelle du monde musulman dans un cadre théorique qui la dépasse, c’est-à-dire un modèle d’explication du processus de développement politique des nations. En somme, vérifier si les difficultés actuelles du monde musulman peuvent être expliquées par un paradigme de développement universel (II)

Le Maghreb et le Monde arabe : entre gloire, décadence et espoir (2e partie)

Notre réflexion essaiera de s’interroger sur le procédé qui a permis à une peuplade du fin fond de l’Arabie de conquérir le monde puis, subitement, de tomber dans une décadence terrible (I). Cette réflexion n’aurait pas de sens si elle ne cherchait pas à situer l’expérience civilisationnelle du monde musulman dans un cadre théorique qui la dépasse, c’est-à-dire un modèle d’explication du processus de développement politique des nations. En somme, vérifier si les difficultés actuelles du monde musulman peuvent être expliquées par un paradigme de développement universel (II)