C’est drôle de voir comment les positions des Tunisiens sur la figure de Bourguiba ne peuvent être qu’extrêmes. D’un côté, on voit un clan qui en arrive à souhaiter joyeux anniversaire à un mort, continuant en quelque sorte le culte de la personnalité instauré par le défunt leader lui-même et perpétué à son compte, mais en pire, par son piètre successeur
3 aout 1