Dans ce contexte difficile, le gouvernement tunisien passe un énième accord avec le FMI. Mais, cette fois-ci, il s’agit plus d’une affaire de « transparence ». Apparemment, les créanciers valent plus que les Tunisiens quand il s’agit d’explications et d’intérêts.
Lettre ouverte à l’Etat tunisien : « J’accuse ! »
Des élections viennent, par ordre constitutionnel, compléter le topo du théâtre politique, laissant libre cours aux machinations les plus sordides. Et c’est fini, la Tunisie a sur la joue cette souillure, l’histoire écrira que c’est sous votre présidence et celles de vos prédécesseurs qu’un tel crime social a pu être commis.
Présidentielles : Les vrais joueurs sont sous la table
Venons-en aux choses sérieuses : le prochain président élu, serait-il capable de sortir le pays du cul-de-sac, en osant affronter les vrais joueurs qui ne sont pas sur, mais sous la table ?