Bouazizi, ou la fin possible de la post-colonie

Dans chaque révolution il y a trois moments : le premier est la nécessité d’agir parce qu’on n’a Rien et on est réduit à Rien, le second est de vouloir réaliser quelque chose qui reste de l’ordre de l’absolu pour palier tout ce qu’on n’avait pas et donc on cherche un Tout et on devient Tout