11 jeunes de Kélibia ont été condamnés par contumace à 14 ans et un mois de prison ferme suite aux violentes manifestations consécutives à l’assassinat de Chokri Belaid. Depuis 2013, d’autres jeunes ont été condamnés pour des faits similaires à Nassrallah ( gouvernorat de Kairouan ) Gafsa, Douz, Redayef, Mednine, Kef, Monastir ou Ben Guerdane. Mais le jugement rendu par le tribunal de première instance le Nabeul le …17 octobre 2016, est des plus « sévères», selon l’avocat de la défense.
Ksibet El Mediouni : trois manifestants condamnés à deux ans de prison
Mardi 5 janvier 2016, la Cour d’appel de Monastir a condamné les trois accusés, Mohamed Ali Boubaker, Adel Ben Massoud et Maher El Hadji, à deux ans de prison ferme pour avoir manifesté le jour de l’assassinat de Chokri Belaid. Les 21 autres accusés ont été acquittés.
الفصل 37 من الدستور التونسي… إشاعة
العقيدة الأمنيّة ظلّت على حالها، وهو ما أثبتته التحرّكات الجهويّة لحملة “#مانيش_مسامح“، حيث لم تتوان قوّات الأمن على التنكيل بالمحتجّين في العاصمة وصفاقس وسيدي بوزيد والكاف تحت غطاء “قانون الطوارئ” والحرب على الإرهاب.
Procès des jeunes de Ksibet El Mediouni : « Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg » !
Vingt quatre jeunes de Ksibet El Mediouni ont comparu, jeudi dernier, devant le tribunal de Monastir. Ajourné à plusieurs reprises, le procès a été fixé au 26 février 2015. Accusés d’avoir brûlé un poste de police, en février 2013, lors d’une manifestation condamnant l’assassinat de Chokri Belaid, ces jeunes appellent à mettre fin à leur calvaire.
Tunisie : Les mouvements sociaux entre répression sécuritaire et politique d’austérité !
Après avoir rassuré les contestataires avec la création des « chantiers », le gouvernement se rétracte et renie son rôle de protection des classes sociales démunies, en se justifiant de la crise économique. Dans un contexte sécuritaire et politique fragile, le pouvoir pourra-t-il endiguer la colère des affamés ?
Pollution : Baie de Monastir à Ksibet El Mediouni, un «triangle de la mort»
« Le triangle de la mort », c’est ainsi que la population de Ksibet El Mediouni nomment désormais la baie de Monastir, naguère réputée pour la pureté de ses plages et l’abondance de ses poissons. Encerclée par la station d’épuration de Frina au nord, et par celle de Lamta, au sud, leur mer est devenue, au fil d’une vingtaine d’années, un véritable dépotoir toxique où se déversent résidus et produits chimiques non traités.