En prélude au débat public au Parlement Européen, le 19 janvier 2010, sur les relations UE-Tunisie et l’état des libertés et des droits de l’homme en Tunisie.
Comme prévu, et en dépit des pressions multiformes exercées par le gouvernement tunisien depuis plusieurs semaines pour tenter d’entraver ce projet, la question des relations UE-Tunisie et l’état des libertés et des droits de l’homme en Tunisie fera l’objet, le 19 juin 2010, d’un débat public au Parlement européen lors de sa session ordinaire à Strasbourg du 18 au 22 janvier 2010.
Les principaux groupes parlementaires – PPE, Socialistes, Libéraux, verts et gauche Unie- en avaient décidé le principe dés le 10 décembre 2009 et les multiples démarches diplomatiques tunisiennes auprès des Etats membres ( de l’Union européenne –UE), du Conseil, de la Commission et du Parlement n’ont pas abouti à une « dé-programmation » de cette proposition décidée conformément à l’article 110 du règlement intérieur du Parlement européen.
L’Etat-RCD : « enfant gâté » de l’Euromed : appuis économique et financier considérables et un bilan plutôt médiocre en matière de réforme politique.
Au-delà de la question d’un éventuel « rehaussement »( «le statut avancé ») des relations UE- Tunisie, ce qui n’est toujours pas de facto immédiatement à l’ordre du jour et qui suppose des avancées et des engagements réels en matière de réforme politiques, c’est la dérive policière et répressive très marquée en Tunisie depuis le début septembre, à la veille des « élections » présidentielle et législatives du 25 octobre 2009, à ce jour, qui justifie ce débat public . Ce débat a , de surcroit , été rendu nécessaire par la crispation politique et diplomatique provoquée par cette dérive dans les rapports avec l’UE et ave certains Etats membres pourtant, connus jusqu’ici par leur soutien inconditionnel à la politique de l’Etat-RCD ( rassemblement constitutionnel démocratique, parti au pouvoir depuis 1956). Celui-ci , cédant de façon outrancière à la logique despotique qui en est l’une des principales caractéristiques, n’a pu tolérer les réserves ou les prises de distance- pourtant le plus souvent modérées- manifestées par ses partenaires européens privilégiés. Des partenaires à qui il était parvenu à imposer, au cours des 15 dernières années ( 1995, amorce du processus Euromed et Accords d’association, puis politique européenne de voisinage –PEV…), ses « diktats » en matière de « dialogue politique » en contre partie d’un engagement sans faille et même zélé dans a mise en ouvre de l’accord d’établissement d’une zone de libre échange (des biens et des services mais pas des personnes) ! Mettant en avant , et instrumentalisant, les thèmes de « stabilité », des « performances économiques » présumées, des acquis en matière d’égalité hommes-femmes et de la « lutte contre le terrorisme » , le gouvernement tunisien a bénéficié d’une connivence et d’une complicité d’autant plus marquées, du coté européen, que les intérêts commerciaux et économiques des principaux Etats membres de l’UE en Tunisie ne sont guère négligeables.
« Enfant gâté de l’Euromed », l’Etat-RCD a ainsi bénéficié d’appuis financiers considérables (programmes MEDA pour lesquels il a enregistré un record de soutiens financiers rapportés au nombre d’habitants (10 millions et demi d’habitants). Cet engagement économique et financier s’est doublé, dans le même temps, d’un bilan pour le moins médiocre s’agissant des réformes politiques (démocratie, Etat de droit, droits humains, gouvernance et lutte contre la corruption) ; les autorités tunisiennes mettant en avant – en dépit de leur soumission aux exigences de la libéralisation économique- et à des fins de consommation inférieure, le thème usé jusqu’à la corde du « refus de l’ingérence étrangère » pour justifier leur politique frileuse voire hostile à toute réforme politique substantielle et effective.
La mise en œuvre de certains programmes importants de la coopération UE-Tunisie- notamment en matière de justice et de médias- a été ainsi marquée par de graves dérives politiques et financières (l’objectif en matière de renforcement de l’indépendance de la justice a été pervertie), qui devraient faire l’objet d’investigation parlementaires européennes, aujourd’hui rendues possibles avec l’élargissement, dans le cadre du «Traité de Lisbonne », des prérogatives du Parlement européen.
A la veille de l’organisation de ce débat au Parlement européen une délégation parlementaire tunisienne s’est rendue à Bruxelles accompagnée de hauts fonctionnaires du ministère tunisien des affaires étrangères. Délaissant toute retenue, cette délégation qui sera probablement présente à Strasbourg, a fait les couloirs de la Commission , du Conseil et du Parlement, oubliant les grands discours démagogiques et de circonstances sur le thème de la « souveraineté tunisienne» au dessus de toutes les tractations, pour implorer compréhension et sollicitude. Le plus graves et que les deux députés RCD ( parti gouvernemental) ont tenu des propos moins indignes que ceux de l’ «opposition» de décor : Ismaïl Boulahya, président du MDS, Hichem Hajji, du PUP, Khadija Mebaziaa, transfuge du PUP, ralliée au Parti des Verts (parti officiel) et membre du comité directeur de la LTDH
Le remaniement ministériel : un « relookage » et un « lifting » ne règlent en rien les problèmes de fond
Le remaniement ministériel tant attendu et qui n’avait pu être « concocté » depuis le 4 novembre 2009, a eu lieu le jeudi 14 janvier 2010. Le premier ministre, Mohamed Ghannouchi, voit son bail renouvelé alors que certaines rumeurs avaient prédit un départ programmé pour Abou Dhabi. Les trois principaux « prétendants», Mondher Znaïdi (Santé), favori de Madame Leila Trabelsi, épouse du Président ben Ali, est maintenu. Mais les deux autres « poulains présidentiels » sont promus : Kamel Morjane aux Affaires étrangères et Ridha Grira à la Défense nationale. L’âme damnée du « Clan Trabelsi » (celui de l’épouse du Président), grand Chamberlain de la diplomatie tunisienne depuis 2005 et exécutant de toujours des basses besognes de la presse à caniveau et de la diffamation, Abdelwahab Abdallah, fait les frais de ce remaniement.
Nul doute que ce « relookage » et ce « lifting » technocratique, doublés du « départ du bouc émissaire » et du « fusible » de circonstances, est destiné à convaincre les alliés internationaux – européens et nord américains notamment- que ce remaniement constitue l’amorce d’un commencement d’ouverture !
Rien n’est pourtant moins sûr. Le ministre de l’intérieur est toujours en place et la permutation Tekkari-Bououni entre le ministère de la justice et des droits de l’homme et celui de l’enseignement supérieur ne règle rien car le «cœur du système » de coercition, de répression et de traque des défenseurs des droits humains et des démocrates » est bel et bien à Carthage (Palais présidentiel). Et pour le moment aucun indice n’est venu inciter les plus attentifs et les plus complaisants des observateurs à un optimisme raisonné.
La crise entre la LTDH (ligue tunisienne de défense des droits de l’homme) et l’Etat est toujours là. La situation des prisonniers politiques( dont certaine comme Sadok Chourou sont détenus depuis près de seize ans) est toujours aussi inquiétante; les tracasseries policières et le harcèlement des associatifs indépendants et des oppositions non vassalisées toujours aussi insupportables ; les «charrettes» de procès de ces trois dernières semaines parmi les étudiants et étudiantes aussi graves et préoccupantes ; les procès préfabriqués contre d’anciens prisonniers islamistes se chiffrent à 14 procédures depuis le 15 décembre 2009 ; la situation de Hamma Hammami (porte parole du PCOT, contraint à la clandestinité par crainte de représailles policières et judicaires) et de femme Radhia Nassraoui demeure aussi préoccupante et, last but least, les conditions de détention de Zouheir Makhlouf ( qui risque d’être séquestré en prison à partir du 18 janvier 2010 date à laquelle il aurafini de payer sa peine) et Taoufik Ben Brik dont l’état de santé est alarmant, sont aussi déplorables . La condamnation du journaliste Fahem Boukadous (qui reste en liberté contrairement à ce que nous avons indiqué dans notre communiqué joint en date du 14 janvier 2009) est venue, le 13 janvier 2010, confirmer ce tableau menaçant.
Des questions incontournables pour le débat public du mardi 19 janvier 2010 au Parlement européen.
Face à cette situation le CRLDHT rappelle à l’attention des députés européens les termes de la « feuille de route » qu’il avait avancée il y a plus de deux mois en évoquant l’éventuel « rehaussement » en « statut avancé » des relations UE Tunisie
(…) « Il n’est pas trop tard que le gouvernement prenne des initiatives et des mesures urgentes d’apaisement et d’ouverture qui puissent être considérées comme des signaux positifs et significatifs, préludes, à moyen terme, aux indispensables et inéluctables réformes politiques et institutionnelles que les démocrates et les défenseurs des droits humains appellent de leurs vœux. Ces réformes ont trait à la libération des détenus politiques, à une amnistie générale, au retour des exilés, à la confusion entre le parti RCD (Rassemblement constitutionnel et démocratique) et l’Etat, aux garanties d’indépendance de la justice, à la torture et à l’impunité, à la liberté et au pluralisme de la presse, à la réforme en profondeur du code électoral, à l’institution d’une commission électorale indépendante, à l’abrogation des lois, décrets et circulaires scélérats en matière de législation sur les associations, sur le droit de réunion ou sur la lutte contre le terrorisme ainsi que des mesures effectives pour enrayer une corruption galopante et un népotisme ravageur.
Quant aux mesures d’urgence et à court terme, elles concernent la libération des journalistes Tawfiq Ben Brick et Zouhayr Mekhlouf, celle de Mr Sadok Chourou détenu depuis près de 16 ans, la cessation des tracasseries, des agressions ( Slim Boukhdhir, Sihem Ben Sédrine ) et du harcèlement dont sont victimes des opposants et des défenseurs (Khémaîs Chammari, Sihem Ben Sedrine, Omar Mestiri, Hamma Hammami, M° Radhia Nasraoui, M° Raouf Ayadi, Ali Laaridh, Abdelkrim Harouni, M°Mohamed Nouri, Lotfi Hidouri etc…),la cessation des campagnes de diffalation det « d’appel au meurtres » orchestrées par les journaux à la soldes du pouvoir, la libération des étudiants arrêtés début novembre et arbitrairement condanés, la levée des mesures arbitraires de retrait ou de non renouvellement de passeports et d’interdiction de sortie sous des prétextes judiciaires fallacieux, la réintégration professionnelle des militants de Redeyef libérés le 5 novembre 2009 et le recouvrement de leurs droits ainsi que l’annulation des procédures ayant entrainé dans l’affaire de Redeyef la condamnation arbitraire par contumace de Mohieddine Cherbib, président de la FTCR (fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives) , et l’avis de recherche lancé contre Fahem Boukadous, correspondant à l’époque de la chaine tunisienne Hiwar.
Dans le même temps, se pose la question des conditions de vie et/ou de survie des associations et de composantes autonomes de la société civile. A la crise des relations entre le pouvoir et la LTDH- ligue tunisienne de défense des droits de l’homme- qui a, entre autres conséquences de blocage, le fait que le siège central de cette dernière n’est accessible qu’aux seuls membres du comité directeur et que onze sections locataires de locaux ne peuvent s’y réunir ; s’ajoutent les situations créées par les « coups de force » contre les directions légitimes de l’association des magistrats et du Syndicat national des journalistes. Par ailleurs, Toutes les associations autonomes et reconnues légalement ne peuvent tenir de réunions dans les lieux publics (hôtels, maison des jeunes, maisons de la culture…). Les militantes de l’ATFD –association tunisienne des femmes démocrates- (Sihem Ben Sedrine , Zakya Dhifaoui… ) sont interdites d’accès au siège de leur association qui déplore, de surcroît, que depuis l’intervention de la police à l’université féminine «Ilhem Marzouki » (à l’occasion de la session de formation au « monitoring » le 20 octobre 2009, le siège de ce programme novateur est cerné en permanence par la police qui en filtre l’entrée. La demi douzaine d’associations autonomes actives mais non reconnues subissent, quant à elles, d’incessantes tracasseries (Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT), Liberté-Equité (EL), Association internationale de soutien aux prisonniers politiques (AISPP), OPELC, Association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT)…) ; les sièges d’E.L. et surtout du CNLT étant soumis à un strict contrôle policier pour en interdire l’accès aux visiteurs.
Il y a enfin les engagements pris par les autorités tunisiennes, et jusqu’ici restés lettre morte, concernant les visites en Tunisie des rapporteurs spéciaux thématiques des Nations Unies en matière de droits humains et d’exercice des libertés ainsi que la présentation des rapports périodiques de la Tunisie devant les instances des Nations Unies de suivi de la mise en œuvre des pactes et des traités relatifs aux droits humains. Ces rapports, notamment ceux sur la torture, la liberté d’expression, l’indépendance de la justice, les défenseurs des droits de l’homme et les droits économiques et sociaux, accusent un retard de plusieurs années!
Ce sont là autant de questions incontournables pour le débat public du mardi 19 janvier 2010 au Parlement européen ainsi que pour la négociation des conditions de l’octroi éventuel à la Tunisie de ce « statut avancé » tant convoité. »
Le Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme
Paris, le 17 janvier 2010
Le Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme a été fondé à Paris en 1996 par un groupe de militantes et de militants, tunisiens et non tunisiens dans le but d’élargir le domaine de la lutte pour le respect des libertés et des droits de l’homme et de gagner l’approbation et la solidarité européenne et internationale en faveur du combat contre le despotisme en Tunisie.
I still don t understand people who use others for tunisien rights.
Europe is only interested to its interest in tunisia,especially france.IT is innacceptable to use a country like france who distroyed tunisia and killed thousand in the name of democracy in the 19 century to fight for local rights.
As a proof , france is looking now to sell its nuclear business to tunisia and they did sign the contrac.this technology will cause a lot of damages to the country.We should absolutely refuse it and relay on other sources like solar and wind.
the goverment approval prouve that both sides( governement,opposition) are selling their country for their own interest.Ben ali looking to stay as president need france support .
opposition needs overseas support for their own agenda.
the nuclear matter should be forwarded to an independant body of professionals who write a report and deliver to the public.
the public should have the opportunity to vote yes or no.
I absolutely believe it will never happens for many reasons:
dictatorship, corrupted elite,corrupted governement, corrupted opposition, dead public,no press or media freedom, bribe,
Tunisian are the losers as nuclear power will turn the green tunisia to a complete sahara.
at the end, stop using europe for anything and start teaching the public to talk,understand, refuse, revolt,and change their behavour from an inactive dead public to a positive acting public.
change must come from the inside without any outside help:that sindependance.
Esperons que ce debat de demain sera la premiere etape pour une reconciliation nationale.
Nous voulons des debats et des plateaux tel que Stade 7 ou on discute du sport et de l Equipe nationale et c est votre droit de le faire meme si vous exagerez au niveau des depenses et des envois des avions charters en direction de Luanda,peut etre on aurait investir ces montants pour octroyer ne serait ce qu une indeminite de chomage pour les 100.000 diplomes en superieur sans emploi,le debat que nous exigeons si Ali,est un plateau dans lequel y participe toute la classe politique de toutes tendance confondue,et certainement ce perroquet de Mouldi Fethi ce theoricien de la demagogie et le praticien de la propagande aura sa place,mais en face.il n y aura pas Mghirbi et Ziad, Belloumi, il y aura Hamami , Ben Sedrine,Marzouki,Makhloufi,Chemari, Gendoubi,Chebbi, et en face vous avez le choix d opter pour l armada et la milice intellectuelle que vous avez en reserve,et le sujet ne sera pas comment mettre un morceau de cuir dans des filets, non ,il s agira du destin politique de 12Millions d habitants,et la ya si Fethi Mouldi le public Tunisien tu ne pourras pas l induire dans des erreurs avec des slogans vaseux et du discours du patriotisme affairiste, tu vas avoir affaires a des faits et les faits sont tetus disait Lenine
tout ca ne mene a rien ben ali et sa bande de mafieux sont protege par l’occident qui decide du sort de la tunisie et un peuple qui danse et chante jour et nuit ne merite que ben ali et leila
vieux couple Tunisien victime d’une escroquerie
C’est une histoire d’un vieux couple Tunisien qui vivait a Mornag et qui avait une terre agricole de 120 hec, qui ont été victime d’une escroquerie auprès du neveu du président de la république Tunisienne et le fils de Naima Ben Ali Imed Ltaeyf , cette terre vaut plus-que 4 million de dinars ,ils se sont trouver dans la rue , après qu’il a falsifié leur titre bleu, même la justice Tunisienne na pas osées de donné leurs droit, malheureusement Hram alih
vieux couple Tunisien victime d’une escroquerie
Merci pour votre commentaire. J’ai vu que vous l’avez également envoyé par la page “Publiez sur nawaat”. Pour être publié en tant que post il faut que votre contribution soit un peu plus fournie. L’injustice que vous relatez mérite d’être dénoncée et nous sommes prêts à publier un article qui en parle plus en détail.
Cordialement,
Vieille femme,22 ans, cherche homme 38 ans de préférence motorise et habite un cartier chic… Voila la situation actuelle de la tunisie, faudrait peut être écrire sur les murs et mentionner l’urgence de cette annonce, on a besoin de souffle, une espérance, une raison pour la quelle chaque tunisiens se réveillerait le matin, une raison qui redonnerait le sourire aux tunisiens, on est tunisiens avant tout, n’est ce pas? certains ont oublie cela, et comment se rappeler de son appartenance si on est rejeté, et comment être fière si on a pas de fierté, comment dire a tête levée JE SUIS TUNISIEN!!! ce n’est pas en jetant l’argent,c’est pas en faisant une compagne de sensibilisation, nous on a besoin de plus que ca, on a besoin de faites, de décision, d’aides, d’enseignement, de santé, de LIBERTÉ, on a tout simplement besoin d’être traite en tant qu’HOMME, l’EU décide du sort de la tunisie, c’est une honte, un gouvernement, aussi vieux, “solide”,n’arrive pas a voir ces crimes en face et a résoudre ses problème, un gouvernement impulsif, qui agit comme la petite fille et sa maman dans une super marche, la maman qui fait taire la fifille, no no no pas de joujou aujourd’hui, ayya tu te tait si non c’est la punition!!!
c’est quoi ca? c’est quoi cette relation primaire et superficielle
avec notre gouvernement?
Ah yara7mek ya bourguiba, que ton ame nous protege, je me demande si moi je connais bourguiba si peu et je pense que tout l’amour que j’ai pour ma Tunisie est grâce a cette Homme unique, mes enfants aimeront-ils la Tunsie?
Merci
Avec des hommes politique de la nature de Berlusconi et Sarkosy je crois qu on peut pas esperer grand chose.
a mr tunisien
Au lieu de denier a la tunisie le droit a la technologie nucleaire,et ainsi participer a la politique genocidaire des forces imperialistes qui n ont aucun interet a ce que les pays en developpement se developpent,en essayant avec beaucoup de succes d ailleur a promouvoir les sources d energie soit disant vertes,vous devriez plutot militer pour que la tunisie fasse appel a des pays tels que la coree ou la russie pour se doter de la technologie nucleaire qui est aussi performante que la francaise et beaucoup moins chere.Et vous devriez aussi vous informer un peu plus sur la fraude du rechauffement climatique et de l environementalisme et des desseins qui se cachent derriere .
Nuclear power will cause massive damage to the country.What are they going to do with a nuclear rubbish???
Anyway the future is for the native countries ,countries never use nuclear for any reason,
Tunisia is being frauded by the frensh by signing a contract to sell their shit to tunisia.The govermement is an idiot if not who are the experts in nuclear technology who gave the permission to buy it, ganoushi, ben ali ????
why don t they tell the public about it explain the good and the bad about it, why don t they give the people the choice to say yes or no??
Nuclear power is a cancer.
في شكون تكلم؟ غاضك مولد باش يبنيوهولنا؟ و خايف من تبعاتو؟ تي تونس كلها مصب للنفايات. و أخيرا خرج خبر قلك عندنا مكبات متاع نفايات نووية في تونس. آش مازلت تلوج أو تحذر؟ أصلا في تونس عندنا الشمس و الطاقة الجيوحرارية ممكن نستعملوهم و هوما طاقات نظيفة و كيف باش تحط شطر الصحراء مرايات موش باش يقلق حد لكن قلك لا لازم مفاعل نووي. لعلل باش من بعد يقلك لا الزبلة إلي عندكم هذيكة إنتم إلي صنعتوها موش فرنسا؟ بالله ثماش واحد فيكم يعرف أو ينجم يطلعلنا بقعة مصب النفايات النووية المراقب في تونس؟ تي الحكاية موش صعيبة برشة نتصور تشري جهاز قياس متاع إشعاع ب ميتين أورو و تعمل بيه دورة في تونس أو تشوف البقعة إلي فيها برشة مواليد معاقين أو نسألو النائب إلي طرح السؤال على الوزير. تعرفوا علاش يا جماعة ؟ على خاطر هذه معركة يمكن ربحها. لأنو كيف تطلع فرنسا أو بلد أوروبي هو إلي لوح هاك الزبلة عندنا إنجموا نرفعوا عليه دعوى و نطالبو بوقف ذلك و بتعويضات و في نفس الوقت نفضحوا نظام بن علي أكثر.
Ben Brik, Boukhdir, Ben Sédrine et les autres….faut-il être “hors la loi” pour figurer dans le “martyrologe” de RSF ???
Slim Boukhdir : victime expiatoire d’un régime, prétendument, dictatorial, dont des policiers, dans l’exercice de leurs fonctions, ont “osé” décider de “contrôler” l’identité , lui, « l’éminent » , représentant du si puissant “4ème pouvoir”.
Selon RSF, jamais, au grand jamais, en pays démocratique, on ne se permettrait de promulguer des lois aussi discrétionnaires, arbitraires, despotiques que celles dont a été victime Slim Boukhdir, par atrabilaire contrôle d’identité interposé ‘à un représentant de ce si puissant 4ème pouvoir, tel que défini comme « porte-parole de la…rue (éch chéraa ettounsi) », par l’éminent Me Féthi Mouldi). Et pourtant !!!
Non, un journaliste, cela ne se…contrôle pas (???) !
“Reporters Sans Frontières”, menés par ce “trouble” Ménard, et suite à ce qui précède, se déclare, donc, scandalisés??? Pouvait-il en être autrement, venant d’une ONG aux contours mal définis, aux ressources opaques,aux fallacieuses accusations et contre vérités à l’endroit de la Tunisie, de son peuple, de son régime, de son Présidentet , et, enregistrée, ès qualité (ONG), dans un pays, La France , »berceau de la fameuse Déclaration des Droits de l’Homme , dont la législation, en le cas d’espèce, et quant au “contrôle d’identité”, est, pourtant, on ne peut plus, nette,claire et précise .
Et voici quelques extraits de ladite législation (française), inhérents au contrôle d’identité :
Contrôle d’identité à caractère préventif. Circonstances.. Le contrôle pour toute personne, à tout moment et en tout lieu, « quel que soit son comportement ».
Justification d’identité : 1o) en présentant tout document comportant une photographie et attestant de son identité : carte nationale d’identité, passeport, permis de conduire, cartes d’identité professionnelle, d’étudiant, d’abonnement aux transports collectifs, etc. 2o) Par tout autre moyen (art. 78-2 du CPP) y compris par le témoignage de commerçants ou de voisins.
Le refus de s’y soumettre est passible de 3 mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende. Tout propos ou geste déplacé est outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique ; de même, tout acte de résistance physique constitue une rébellion. Outrage et rébellion peuvent être punis de 6 mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende (art. 435-5 et 433-6 du Code pénal).
Elle doit être présentée dans tous les cas et immédiatement à l’officier de police judiciaire et peut prévenir ou faire prévenir le procureur de la République , sa famille et un avocat, bien que ce dernier ne puisse être légalement présent pendant la vérification. La prise d’empreintes digitales ou de photographies, interdite par la loi du 2-2-1981, peut être autorisée par le procureur de la République ou le juge d’instruction, si elle constitue l’unique moyen d’établir l’identité de la personne (loi du 10-6-1983) ;
Quant au contrôle d’identité, en Tunisie, même les personnes qui se prévalent, le clamant haut et fort, voire tapant du poing sur la table pour le faire admettre, d’appartenir à ce fameux «4ème pouvoir » (un Etat dans l’Etat ???), elles ne sont pas moins tenues de l’admettre, ce qui n’a rien d’humiliant ou d’avilissant, et de condescendre à s’y soumettre.
Et si notre estimé journaliste avait eu la sagesse, le civisme, le bon sens d’exhiber une pièce d’identité, rien de tout cela ne serait arrivé. Certes, mais notre « héros » serait demeuré un illustre inconnu qui n’aurait jamais eu la chance de figurer dans le « martyrologe », sans fin, du grotesque Ménard.
Et de ce Boukhdir, les « défenseurs des fables et des faux brimés » en firent un « martyre ».
Et Ben Brik arriva, fort à propos, pour cette honteuse, autant que caricaturale, mascarade d’opposition (généreusement entretenue pour ce faire)
Et voila que l’hystériaque « pseudo- « défense » des droits de l’homme (celui qui ne sait plus quoi faire pour qu’on parlât de lui) les reprend de plus belle (mais en plus moche !), avec un Ben Brik qui n’en espérait pas tant, dès lors que notre « french doctor », « sans frontières », lui aussi, oublia, pour le défendre, qu’il a cette capacité de changer de camp (PS vers celui au pouvoir), par travestisme avéré, ce qui ne joue guère en sa faveur pour qu’on crût en lui.
Quand Monsieur Kouchner s’oublie, il n’en finit pas de déraper, oubliant que le ministre de souveraineté, qu’il est, se doit de respecter le devoir de réserve ! Le devoir de réserve, tel que défini par le Robert, sauf que le « french doctor » n’en a cure : « Devoir » = obligation morale particulière, définie par le système moral que l’on accepte, par les convenances, par les circonstances (V. charge, fonction, obligation, responsabilité). . « Réserve » = (1664, déjà !) Attitude, qualité qui consiste à ne pas se livrer indiscrètement, à ne pas s’engager imprudemment, à se garder de tout excès dans les propos, les jugements. Ce qui précède implique qu’on se comportât, par appartenance gouvernementale interposée, et, a fortiori, qu’on y soit ministre dit « de souveraineté », avec circonspection, diplomatie, retenue, réserve, prudence, et ce pour éviter, par fragilité émotive, tout dérapage aux dépens d’un système, d’un homme, d’un Etat. Et Monsieur Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, avec le zèle néophyte qu’on lui connaît, s’oublia, es qualité, s’imaginant s’adresser aux responsables de l’une des « républiques bananières » qu’il a la sale habitude d’admonester, et, partant, s’empêtra, lamentablement, dans une situation fort embarrassante, dès lors que cela risque d’avoir des retombées négatives sur les relations d’amitié séculaire entre la France et la Tunisie. […] Cher Monsieur Kouchner, De grâce, faites l’effort de tempérer vos fantasmes humanitaires ! Ils vous font faire des dérapages, difficiles à rattraper ! La condamnation à six mois de prison de M. Ben Brik ne vous autorise pas à vous immiscer dans des affaires tuniso-tunisiennes, tout comme notre ministre des Affaires étrangères, M. Morjane, ne se permettrait pas de commenter la décision du Parquet parisien de faire appel dans le procès où est impliqué, à tort ou à raison, M. de Villepin, sous prétexte, disent les mauvaises langues, que cet appel est fortement « suggéré » par l’?Elysée. Bien sûr que M. Morjane s’abstiendrait de le faire : lui, il sait faire preuve da sagesse, de savoir-faire diplomatique, de pudeur.
hamadi khammar
Ya hammadi khammar, tu oublies que ton president ben ali est un ignorant et qu’il n’est pas capable de lire et pire de comprendre ce que tu ecris. Tu veux l’orner par ton discours et tu sais et tout l’univers sait que Ben Brik, Boughdir et la liste est trop longue pour toi, ne sont que des patriotes et des nationalistes qui ont ose defendre l’injustice, la corruption et l’abus de pouvoir. Tu veux defendre ta bassesse, je suis d’accord.
Ya Hamadi Khamar,meme si Boukhdir n a pas montre sa piece d identite,ce n est pas une raison de l agresser,et de toute facon votre version officielle des faits en absence de toute transparence et de toute liberte de presse ,aux yeux de l opinion nationale et internationale ,n est plus credible,est ce qu un journaliste peut avoir acces a l information a Tunis, ici en France et en Deutschland et aux USA ;le journaliste penetre partout au parlement ,il interpelle tous les ministres et les “importune ,les embarasse, aux conseils ministeriels , a l elysee,a la maison Blanche,il peut provoquer la chute du President des USA, le journaliste ici enquete des les prisons,ils posent des questions aux palais de justice a tout le monde il fouille pour trouver la verite meme dans la Garde robe de Lewinsky,un journaliste a Tunis peut rentrer dans un commissariat de police? repond sincerement ya si Khamar wa sibik min addiya,Tarak Dhiab aussi n a pas voulu montrer son ausweis,n a pas d aasurance?TAHKIO FI KHOURAFET WA TLAFKOU FI TOUHAM LINASS MA TJDICH ALA AOUMMI SISSI,Boukadous pourquoi il est condamne, les membres de la societe civile le jour de l Aid pourquoi ont ils ete agresse,et DR Marzouki qui l a contraint a l asile,qui l a traque,et Bouajila et les milliers sans Passeport et demenu de ces droits elementaires civiques,Slim Boughdir,pourquoi son domicile est encercle ?pourquoi les parents des detenus font l objet de surveillance ? quand on jouis d une popularite et quand on a accompli des miracles economique et quand beneficie de 89% des suffrages ,alors pourquoi craigne t on un Monsieur qui pese 70 kilo et qui est malade en plus , il vous fait tant peur un Ben Brik ou un Boukadous, ou un Tarak Diab.vous etes si fragile que ca ?il y a proverbe qui dit ” celui qui veut faire noyer son chien il dit qu il a rage,en tout vous avez contribue a reconcilier contre vous le courant de gauche et l islamisme ,et la vous devez reviser tous vos choix.wa sibik min Mennar, c est avec vos jeunes qu il faut discuter et les convaincre et aussi leur procurer un travail et une vie decente.
Yé Melek, il s’agissait, d’abord, d’un contrôle, d’un “simple” contrôle d’identité.
J’ai beaucoup de respect pour vos écrits,autant que pour votre honnêteté intellectuelle, et, par ricochet, pour vous, quand bien même nous ne soyons pas du même bord.C’est, d’ailleurs, on ne peut plus enrichissant, d’autant que cela ouvre la porte au dialogue, vrai.
Pour en revenir à Boukhdir, pouvez-vous,en toute honnêteté, être affirmatif quant à ce que vous avancez, d’autant que vous ne faites que rapporter ce qu’on vous a rapporté, pour peu que vous n’avez pas été un témoin direct de ce qui s’est passé ???
Puis-je, dorénavant, vous tutoyer ?
Mon pauvre “Hnifa”.
“…ne sont que des patriotes et des nationalistes qui ont ose defendre l’injustice, la corruption et l’abus de pouvoir”.
Une question, une seule ???
Ça paye, ce qu’ils font de si “noble” ?
Quels sont leurs “généreux donateurs” ?
Tu resteras, hélas, égal à toi même : le spécialiste number one en fallacieuse argumentation, l’inépuisable insulteur. Je m’arrête là pour éviter de continuer sur ta lancée…
hamadi khammar
Ya si Hamadi tu peux me tutoyer,en premier lieu je suis le seul ici dans le site qui n a pas un pseudonyme, je n ai rien a cacher, je cherche l interet de la Nation Tunisienne,Slim Boughdir, je lui ai ecrit une fois pour lui dire ne t attaque pas au chef de l Etat,je suis celui qui affirme que la dignite et l honneur du chef de l Etat et son epouse sont des lignes rougers, en fait chaque citoyen a droit au repect et de toute facon meme ici la loi punit les calomnie , les isultes,les diffamations,et je suis pour une severe condamnation pour tout undividu qui se laisse aller a designer l epouse de chef de l Etat de “coiffeuse”,ma position m en a procure des attaques et des accusations de traitrise, mais par principe je ne changerai pas d opinion, parce qu un militant de gauche doit etre un exemple de correction et de decence,par contre il y a un derappage au niveau des pratiques de la securite d Etat,a l encontre de la societe civile et ceci porte un tres grand prejudice pour les interets de la nation, vous faites fuir les invistisseurs ,car il faut une democratie et une stabilite politique, l equilibre politique d une nation reside dans la presence d une opposition credible et representative.