Mohamed Brahmi, député démissionnaire du parti Echaab et fondateur du parti Courant Populaire, a été assassiné ce matin en sortant de chez lui. Le député, originaire de Sidi Bouzid, aurait été assassiné par 5 14 balles à bout portant. Live blogging des événements de la journée.
Lundi 29 juillet 00h30 – Assemblée constituante, Bardo : Les manifestants continuent à affluer, aussi bien du côté des sit-inneurs que du côté des pro-gouvernement. Selon les estimations des forces de l’ordre, il y aurait 8 000 personnes présentes du côté des sit-inneurs et 4 000 du côté des pro-gouvernement.
21h40 – Assemblée constituante, Bardo : Des partisans pro-gouvernement sont arrivés pour grossir les rangs des manifestants opposés au sit-in. Ils viennent de finir de prier. La police a demandé aux sit-inneurs d’éviter toute provocation. Les partisans pro-gouvernement sont maintenant en train d’entonner des chants généralement chantés à la Mecque.
21h – Assemblée constituante, Bardo : Selon une souce sécuritaire, environ 3 000 personnes seraient présentes au Bardo.
20h30 – Assemblée constituante, Bardo : Une centaine de manifestants pro-gouvernement sont présents au Bardo.
20h05 – Assemblée constituante, Bardo : La fille du défunt Mohamed Brahmi est portée par la foule.
20h – Assemblée constituante, Bardo : Le député Mongi Rahoui, agressé hier par les forces de l’ordre, est présent ce soir dans le sit-in.
19h50 – Assemblée constituante, Bardo : Rupture du jeûne dans une ambiance conviviale au Bardo.
18h40 – Assemblée constituante, Bardo : Environ 300 manifestants encore présents sur la place de l’Assemblée nationale au Bardo. Un appel a été lancé par Bessma Khalfaoui, la veuve de Chokri Belaïd, pour qu’un iftar soit organisé sur la place ce soir.
18h38: quelque 300 manifestants. #TnAc #Bardo #Brahmi pic.twitter.com/Ds2ymqg281
— Ochlocratie (@Ochlocratie) July 28, 2013
Plus tôt dans l’après-midi, une conférence de presse a été organisée par les députés gelant leur activité au sein de l’ANC. Ils sont actuellement 62 élus à geler leur activité. Si ce chiffre atteint les 73 élus, alors ils atteindront un tiers de l’ANC, ce qui bloquera l’activité de l’ANC. Autre possibilité, explique Selma Baccar, le blocage du bureau de la présidence de l’Assemblée. Pour l’instant trois élus se sont retirés. Il ne manque plus que l’accord d’un quatrième membre du bureau, et ainsi le quorum ne sera plus atteint. Le bureau ne sera plus représentatif et ne pourra plus prendre de décision. Or c’est lui qui décide des travaux de l’ANC. Aujourd’hui, lors de la conférence de presse organisée sur l’esplanade face à l’ANC, une quinzaine de députés du groupe se sont réunis pour rappeler les points fondamentaux de leur demande :
- la dissolution de l’ANC
- la dissolution du gouvernement
Nous voulons une dissolution constructive pour le pays explique Selma Baccar
Par ailleurs, deux députés ont rencontré le ministre de l’Intérieur ce matin, rapporte Selma Baccar :
Le ministre de l’Intérieur a exprimé ses regrets pour les événements de la nuit dernière.
En effet, les sit-inneurs avaient reçu l’autorisation de se retrouver sur la place, et l’attaque des forces de l’ordre à 3h du matin reste inexplicable. Les forces de l’ordre auraient réagi en visant d’abord le camp pro-gouvernement, qui aurait jeté des pierres sur les sit-inneurs après que Sahbi Atig, président du groupe parlementaire Ennahdha, a fait un discours. Les forces de l’ordre s’en seraient ensuite pris aux sit-inneurs, dispersant la foule et saccageant les tentes installées sur la place. Selon le ministère, il y aurait eu un problème de communication entre les services, ce qui expliquerait le fait que les sit-inneurs aient été dégagés. Pour Selma Baccar, les agissements des forces de l’ordre restent inexplicables : l’ambiance était calme et la police avait eu l’intelligence de faire une zone franche entre les deux camps. Un tel débordement n’aurai pas dû avoir lieu, de son avis.
3h30 Assemblée constituante, Bardo : Plusieurs témoins oculaires rapportent que les policiers ont chargé les sit-ineurs devant l’Assemblée constituante, après le calme qui a régné après les heurts de cette après-midi. Pour disperser les manifestants, la police fait usage de bombes de gaz lacrymogène, créant un mouvement de panique chez les manifestants. Plusieurs courses-poursuites ont été signalées dans les ruelles adjacentes.
RT: @May_Mouna:Tt a basculé en 30sec chrono.#Bardo est désert. Les flics d’1extrême violence pourchassent les gens ds la rue & les tabassent — Riadh Guerfali (@Astrubaal) July 28, 2013
2h30 – Sidi Bouzid : Retour au calme à Sidi Bouzid. La police s’est repliée après que des affrontement ont eu lieu plus tôt dans la soirée. Vers 22h des jeunes des quartiers populaires de la ville et des policiers se sont affrontés. Les jeunes protestaient contre des arrestations qui ont eu lieu la veille.
2h00 – Sfax, centre ville : Retour au calme et reprise du sit-in face à la mairie. Plus tôt dans la soirée, vers 22h, une manifestation s’est dirigée vers le siège du gouvernorat. Vers 23h des casseurs ayant infiltré la manifestation ont jeté des pierres, causant des blessures à un militaire et à un policier. Vers 23h30 les forces de l’ordre ont alors utilisé du gaz lacrymogène pour disperser la foule.
1h25 – Assemblée constituante, Bardo : Notre reporter Emine Mtiraoui a été menacé par les manifestants pro-Ennahdha, qui l’ont forcé à se déplacer en lui intimant l’ordre de ne pas se servir de sa caméra : “les policiers t’ont laissé passer avec, mais si tu l’allumes ici nous allons la détruire. Pars sinon nous ne sommes pas responsables de ce qui peut se passer”, lui a dit un des manifestants.
1h10 – Sousse : La manifestation, qui avait débuté plus tôt dans la soirée, a été dispersée par la police.
1h10 – Gafsa : Après la dispersion d’une marche qui se dirigeait vers le siège du gouvernorat, les affrontements reprennent avec les forces de l’ordre.
1h05 – Assemblée Constituante, Bardo : Arrivée de six nouveaux fourgons de policiers, qui sont en train de s’équiper avec casque et matraque, alors que les manifestants sont toujours calmes et pacifiques.
1h00 – Gafsa : La situation est calme à Gafsa. Quelques pneus brûlés à la Cité Nour.
00h55 – Assemblée constituante, Bardo : Interrogés par notre reporter sur place, les policiers expliquent être présents pour éviter les débordements et les affrontements entre les pro et anti-gouvernement. Questionnés sur l’usage excessif des gaz lacrymogènes plus tôt dans la journée, ils disent s’être fait agresser par des manifestants et avoir simplement riposté. Au niveau des manifestants, on observe quelques provocations verbales des deux côtés. Du côté des pro-gouvernement un petit groupe de jeunes crient : “Chariâa ! Chariâa !”
00h40 – Assemblée constituante, Bardo : Quelques milliers de personnes sont réunies en ce moment devant l’ANC dans une ambiance pacifique. Du côté des partisans pro-gouvernement, beaucoup moins nombreux que les manifestants anti-gouvernement, beaucoup d’appels à soutenir le gouvernement en place et le parti Ennahdha. Sur l’esplanade en face de l’ANC des tentes ont été montées par des militants de partis et mouvements politiques. Des habitants du quartier ont amené de l’eau et de la nourriture. Le tout est redistribué par les militants aux personnes sur place. Beaucoup de citoyens sont venus en soutien. Les enfants du défunt Mohamed Brahmi ainsi que le frère de Chokri Belaïd ont fait le déplacement. Il y a beaucoup de discussions entre les gens présents. De temps en temps quelques slogans appelant à la chute du gouvernement et d’Ennahdha sont scandés. L’ambiance est bon enfant. Certains manifestants partent se reposer et comptent revenir plus tard, signifiant ainsi que la nuit va durer. Il y a une grande présence policière. Les membres des forces de l’ordre sont calmes, contrairement à cet après-midi. Ils sont installés entre les militants pro et anti-gouvernement, afin d’éviter les affrontements. Une partie de l’éclairage public a été éteint en milieu de soirée.
Un millier de personnes pour le moment, selon une source sécuritaire. #TnAc #Bardo #Brahmi pic.twitter.com/ugUeXmXiRu — Ochlocratie (@Ochlocratie) July 27, 2013
21h00 – Assemblée constituante, Bardo : Après des tractions avec les forces de l’ordre, trois tentes ont finalement pu être montées.
3 tentes viennent d’être montées #Tnac #Bardo#Brahmi pic.twitter.com/SidbgOtN94
— Ochlocratie (@Ochlocratie) July 27, 2013
19h30 – Assemblée constituante, Bardo : Un petit groupe de sit-ineurs à réussi à regagner l’esplanade devant l’assemblée. Le situation reste tendue alors que des groupes d’individus bloquent les rues adjacentes pour empêcher les manifestants d’accéder à l’esplanade. Sur les réseaux sociaux, les appels pour rejoindre l’esplanade après la rupture du jeûne se multiplient.
19h00 – Tunis : Mustapha Ben Jafaar, président de l’Assemblée constituante, s’adresse à la nation sur la télé nationale.
17h20 – Assemblée constituante, Bardo : Bassem Bouguerra, de l’association Réforme pour la réforme du système sécuritaire en Tunisie, a été passé à tabac à l’entrée de l’esplanade du Bardo. Il a des blessures aux jambes et des contusions au visage. Il a été transféré à l’hôpital Charles Nicolle. Un passant, qui avait arrêté sa voiture pour filmer la scène, a été pris à partie par la police.
17h00 – Assemblée constituante, Bardo : Un petit groupe de manifestants est revenu sur l’esplanade en face de l’ANC. La police tente d’empêcher les manifestants qui ont fui dans les rues adjacentes de regagner la place et demande aux commerçants de fermer.
16h20 – Assemblée constituante, Bardo : La police pourchasse les manifestants dans les ruelles adjacentes à l’Assemblée et frappe les manifestants à coups de matraque. Mouvement de panique. Les manifestants essayent de s’échapper. Usage excessif de gaz lacrymogène et usage non justifié de la violence par les forces de l’ordre.
16h05 – Assemblée constituante, Bardo : Les forces de l’ordre viennent de charger pour disperser la foule. Usage excessif de la violence et de gaz lacrymogène. Beaucoup de personnes se sont évanouies, d’après notre reporter sur place.
16h – Assemblée constituante, Bardo : Alors que le nombre de manifestants grandit, la police a interpellé deux individus qui jetaient des pierres. Ayoub Amara, du Front populaire, a pris la parole pour parler des manifestations à Sidi Bouzid et Gafsa.
15h30 – Assemblée constituante, Bardo : Haythem Kannou (membre de la LPR) vient d’être arrêté après avoir eu une altercation avec les forces de l’ordre.
15h20 – Assemblée constituante, Bardo : Environ 300 manifestants reviennent sur la place devant l’Assemblée.
15h10 – Assemblée constituante, Bardo : Le député Mongi Rahoui a été frappé par la police. Il s’est évanoui et vient d’être évacué.
15h – Assemblée constituante, Bardo : Les sit-inneurs encore présents entonnent l’hymne national.
Les affrontements ont principalement eu lieu dans la rue devant le portail d’entrée de l’ANC, qui se trouve sur le côté du bâtiment et non sur la place principale. Un des manifestants dit avoir été blessé par des membres de la Ligue de protection de la révolution.
14h50 – Assemblée constituante, Bardo : La place devant l’ANC a été sécurisée par les forces de l’ordre. Il ne reste plus qu’un petit groupe de sit-inneurs, encerclés par la police.
14h44 – Assemblée constituante, Bardo : Une dizaine de fourgons de police arrivent en renfort devant l’ANC. Il y a des affrontements avec jets de pierres autour de l’Assemblée.
14h40 – Assemblée constituante, Bardo : Des “milices” jettent des pierres sur les manifestants. La police de son côté arrose de gaz lacrymogène les manifestants et ne semble pas s’en prendre aux “milices”. Plusieurs manifestants sur place parlent de complicité entre les forces de l’ordre et ces “milices”.
14h20 – Assemblée constituante, Bardo : Les manifestants scandent : “Pacifique ! Pacifique !” en rapport avec la manifestation. Ils demandent à la police d’arrêter de faire un usage disproportionné de gaz lacrymogène.
14h00 Assemblée constituante, Bardo : La police continue à faire usage des bombes de gaz lacrymogène. La foule s’indigne. Quelques personnes en difficulté respiratoire.
13h40 Assemblée constituante, Bardo : Un groupe d’individus portant des slogans pro-gouvernement tente de casser le sit-in devant l’ANC. La police a tiré du gaz lacrymogène sur la foule.
13h00 – Cimetière Jellaz : Le général Mohamed Salah Hamdi salue le défunt.
12h50 – Cimetière Jellaz : Après la mise en terre, la foule commence à quitter le cimetière. Une partie des personnes présentes se dirige vers l’Assemblée.
12h40 – Cimetière Jellaz : La veuve de Mohamed Brahmi : “Cessez d’applaudir. Vous avez applaudi quand Belaïd est mort et ça n’a servi à rien. Dirigez-vous plutôt vers le gouvernement et envoyez ces rats aux égoûts.”
12h40 – Cimetière Jellaz : Le député démissionnaire Ahmed Khasskhoussi prononce le discours d’hommage au défunt.
12h10 – Cimetière Jellaz : Maître Nacer Laouini, présent dans le cimetière, a fait un discours, durant lequel il a déclaré : “Nous irons manifester pacifiquement après les funérailles pour dissoudre l’ANC. (…) Le chef de l’armée est là, nous demandons à l’armée de rester comme elle a toujours été : à côté du peuple.”
12h05 – Cimetière Jellaz : La foule entonne l’hymne national. La fille de Mohamed Brahmi est arrivée sous les clameurs de la foule. Elle précède le cercueil porté par les militaires.
12h – Cimetière Jellaz : Le général de l’armée, Mohamed Salah Hamdi, est présent dans le cimetière et accompagne la dépouille du défunt jusqu’à sa tombe.
11h55 – Cimetière Jellaz : La foule scande des slogans politiques : “Mohamed Brahmi, Chokri Belaïd : une nouvelle révolution est nécessaire !”, “Le peuple veut la chute du gouvernement !”.
11h45 – Cimetière Jellaz : Les manifestants entonnent l’hymne national.
11h30 – Cimetière Jellaz : Préparation de la tombe dans le Carré des martyrs, au Jellaz. Mohamed Brahmi sera enterré près de Chokri Belaïd.
11h25 – Cimetière Jellaz : Le cortège arrive au cimetière, où des gens l’attendaient.
Vient d’arriver lel jallez #brahmi. Le ileh ella allah. pic.twitter.com/oWqSBbvD95
— Noha G. (@funnypurp) July 27, 2013
11h10 – Rue de Turquie : Un policier salue au passage du cortège. Il est applaudi par la foule. Un manifestant lui a mis une écharpe aux couleurs de la Tunisie autour du cou.
11h – Rue de Turquie : La voiture transportant la dépouille du défunt est tombée en panne. Des personnes présentes dans le cortège sont en train de pousser la voiture pour la faire arriver jusqu’au cimetière.
10h50 – Rue de Turquie : Des habitants ont accroché un extrait d’un poème de Moudhafar Naweb à un balcon, un poème qui exprime son mépris pour le pouvoir.
10h40 – Avenue Habib Bourguiba : Après avoir marqué un arrêt au pied de l’horloge sur l’avenue Habib Bourguiba et avoir entonné l’hymne national devant les nombreux policiers présents, le cortège a repris sa marche.
10h30 – Avenue Mohamed V : Après une pause devant l’ancien siège du RCD, le cortège reprend sa marche en direction du cimetière Jellaz. Au pied de l’horloge, avenue Habib Bourguiba, des policiers sont présents. Un hélicoptère de l’armée suit le cortège.
10h05 – Avenue Mohamed V : Arrivée du cortège sur l’avenue Mohamed V. La foule scande des slogans et demande “la chute du système”.
10h00 – Place des Droits de l’Homme : La foule grossit. Entre mille et mille cinq cent personnes seraient présentes en attente de l’arrivée du cortège. Les manifestants commencent à se déplacer sur l’avenue Mohamed V. Une voiture de l’ armée vient d’arriver. Des policiers en moto font des allers-retours autours de la place.
9h45 – Cité el Ghazella, Ariana : Le cortège funéraire change de trajet pour éviter de passer devant la maison de Rached Ghannouchi.
9h40 – Cité el Ghazella, Ariana : Départ du cortège en direction de la Place des Droits de l’Homme. Environ un millier de personnes présentes dans la rue. Radhia Nasraoui et Hamma Hammami, venus rendre un dernier hommage au défunt, étaient protégés par des gardes du corps.
9h20 – Place des Droits de l’Homme, Tunis : Une centaine de personnes sont déjà présentes à la place des Droits de l’Homme à Tunis. Ils sont installés à l’ombre, se protégeant du soleil, en attendant l’arrivée du cortège.
Samedi 27.07.13 8h30 – Cité el Ghazella, Ariana : Arrivée de la dépouille du défunt à la Cité el Ghazella.
Image du corp de l’activiste dans l’hôpital régional de Gafsa – Crédit Photo : Radio Sawt Manajem
“@karim2k: La police nous a dit que toute tentative de dresser une tente en résultera usage automatique du lacrymogène. #Brahmi” #tnac
— Nawaat ~ Tunisia (@nawaat) July 26, 2013
15h10 – Domicile de Mohamed Brahmi, Cité El Ghazella : Bertrand Delanöe, maire de Paris, et l’ambassadeur de France, sont venus présenter leurs condoléances à Mbarka Brahmi et son fils Adnen.
15h00 – Avenue Habib Bourguiba : Il ne reste pas grand monde sur l’avenue.
14h50 – Le Passage, Tunis : Fin de la manifestation des sympathisants du gouvernement.
Vendredi 26.07.13 14h40 – Assemblée constituante, Bardo : A peu près 200 personnes sont encore présentes après la manifestation ce matin devant l’ANC.
14h10 Domicile de Mohamed Brahmi, Cité El Ghazella : Halima Dhahri, mère de Mohamed Brahmi : “Dieu révélera la vérité et détruira le mensonge.”
Vendredi 26.07.13 14h – Domicile de Mohamed Brahmi, Cité El Ghazella : Fin de la conférence de presse (vidéo à venir). Nourreddine Hached, fils du syndicaliste Farhat Hached, est venu présenter ses condoléances à Mbarka Brahim, la veuve de Mohamed Brahmi.
13h30 – Le Passage, Tunis : Départ d’une manifestation pro-gouvernement depuis la mosquée el-Fath. A la fin du prêche, environ 2 000 manifestants se sont réunis et ont pris la route en direction de l’avenue Habib Bourguiba.
Vendredi 26.07.13 13h10 Domicile de Mohamed Brahmi, Cité El Ghazella : Hama Hammami accuse le gouvernement de la Troïka et le parti Ennahdha d’être complices des assassinats des deux martyrs, Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, et appelle à la désobéissance civile. Il demande la mise en place d’un gouvernement de salut national et la mise en place d’une Haute commission pour remplacer l’ANC.
Vendredi 26.07.13 13h – Ministère de l’Intérieur : Lotfi Ben Jeddou, ministre de l’Intérieur, a affirmé que l’un des suspects était impliqué dans le meurtre de Chokri Belaid.
Vendredi 26.07.13 12h20 – Ministère de l’Intérieur : Lors de la conférence de presse,le ministre déclare que l’arme utilisée pour l’assassinat de Mohamed Brahmi serait la même que celle utilisée pour l’assassinat de Chokri Belaid.
12h00 – Cité Ghazalla, Tunis : Début de la conférence de presse à la maison du défunt Mohamed Brahmi.
Mourad Amdouni, porte parole du Courant populaire et député à l’Assemblée constituante :
Nous appelons a la désobéissance pacifique.
12h00 – Avenue Habib Bourguiba : Les manifestants prennent la direction de l’Assemblée constituante.
11h15 – Place Mohamed Ali Les avocats, partis de la maison de l’avocat à Bab Bnet, rejoignent les manifestants place Mohamed Ali.
11h00 – Place Mohamed Ali : Début du rassemblement place Mohamed Ali, en face du siège de l’UGTT. Les manifestants commencent à affluer.
26.07.13 08h00 : Des partis politiques et des organisations de la société civile ont annoncé la constitution d’un Front de salut national.
Vendredi 26.07.13 2h25 – Assemblée constituante, Bardo : Les manifestants sont en train d’organiser leur sit-in. Ils seraient environ 200.
Vendredi 26.07.13 1h50 – Présidence de la République : La Présidence vient de publier un communiqué annonçant la journée de vendredi 26 juillet journée de deuil national.
Vendredi 26.07.13 01h45 – Assemblée constituante, Bardo : Les manifestants viennent d’arriver devant l’Assemblée et ont décidé de faire un sit-in.
Vendredi 26.07.13 01h15 – Bab Saadoun, Tunis : Environ 300 manifestants se dirigent vers l’ANC.
Vendredi 26.07.13 01h00: Said Ayadi, du parti Joumhouri, annonce dans un communiqué publié sur sa page Facebook la démission de plus de 100 membres du parti.
Vendredi 26.07.13 00h30 Avenue Jean Jaurès, Tunis : Des manifestants se dirigent à pied vers l’ANC
Direction l’ANC a pied ! On va la faire dégager cette racaille ! #Tunisie #Brahmi pic.twitter.com/KIQ3FWumYj
— Majdi khan (@MajdiKhan) July 25, 2013
Vendredi 26.07.13 – 00h10 – Avenue Habib Bourguiba :
Tunis centre ville. Soyez fier d’etre tunisien ! #Tunisie #Brahmi pic.twitter.com/46eY4iiEtt
— Majdi khan (@MajdiKhan) July 25, 2013
00h00 – Bizerte : Rassemblement de centaines de personnes devant le gouvernorat de Bizerte.
Plus tôt dans la soirée, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant le gouvernorat, portant des slogans appelant à “renverser le pouvoir”. L’armée, en faction devant le bâtiment, a dû tirer en l’air à balles réelles pour dissuader les manifestant d’investir les lieux. La police a plusieurs fois chargé les manifestants pour les disperser et a fait usage de gaz lacrymogène.
Les manifestants se sont ensuite dirigés vers le local d’Ennahdha au centre ville de Gafsa.
23h45 – Place Mohamed Ali, UGTT, Tunis : Les manifestants retournent sur l’avenue Habib Bourguiba.
23h35 – Place Mohamed Ali, UGTT, Tunis : En réponse aux agressions, des manifestants affluent par dizaines près du local de l’UGTT.
23h25 – Sousse : “Une marée humaine appelle à la chute du régime, maintenant à Sousse”
طوفان بشري يطالب بأسقاط النظام من ولاية سوسة الآن #Soussa #Tunisie #Brahmi pic.twitter.com/YVk3IXGIcH
— Bechir_Jendoubi (@Weld_El_Mongi) July 25, 2013
23h20 – Sidi Bouzid : Affrontements violents entre la police et les manifestants place Mohamed Bouazizi, devant le siège incendié du gouvernorat. Présence massive des forces de l’ordre.
23h – Place Mohamed Ali, UGTT, Tunis : Jet de pierres sur les manifestants. Des individus ont attaqué les manifestants présents devant le local de l’UGGT en leur lançant des pierres. Il s’agirait d’un groupe de jeunes gens. Des manifestants ont riposté.
Situation très tendue place Mohamed Ali, à Bab Bhar et rue Mongi Slim.
Selon des témoins sur place, il s’agirait de membres de la Ligue de protection de la révolution.
Par ailleurs, des témoins sur place affirment que des policiers récupèrent les pierres, qu’ils jettent sur les manifestants.
La police a à nouveau fait usage de gaz lacrymogène.
22h45 – Local de l’UGTT, Tunis : Départ des manifestants en direction de l’ANC.
22h40 – Avenue Habib Bourguiba : Nouveaux tirs de gaz lacrymogène sur l’avenue Bourguiba.
22h30 – Place Mohamed Ali, UGTT, Tunis : Rassemblement devant le siège de l’UGTT.
22h21- Assemblée constituante, Bardo : La police renforce ses rangs devant l’ANC. Situation normale aux alentours du bâtiment.
La police renforce ses rangs devant l'Assemblée constituante. Situation normale aux alentours du bâtiments #brahmi pic.twitter.com/2JgcuoI4Gw
— Nawaat (@nawaat) July 25, 2013
22h14 – Avenue Habib Bourguiba – Tunis : La police a fait un usage disproportionné du gaz lacrymogène, tirant sur les manifestants et les passants sur l’avenue et dans les rues adjacentes.
21h36 – Avenue Habib Bourguiba : La police vient de tirer des bombes de gaz lacrymogène sur les manifestants à l’avenue Habib Bourguiba, créant un mouvement de panique.
21h30 – Communiqué de Tunisair : La compagnie aérienne déclare suspendre tous ses vols demain 26 juillet. “Suite à l’avis de grève générale en Tunisie : Tunisair et Tunisair Express informent leur aimable clientèle que tous les vols programmés de et vers la Tunisie dans la journée du 26 juillet sont annulés.”
21h05 – Avenue Mohamed V – Tunis :
Accès par Med V à l'avenue Hbib Bourguiba bloqué au niveau de la STB. pic.twitter.com/aFsi0STeo0
— Nawaat (@nawaat) July 25, 2013
20h57 – Tunis : Les Jeunes militants du Front populaire appellent a un sit-in ouvert devant l’Assemblée constituante à partir de 21h ce soir.
18h55 – Avenue Habib Bourguiba – Tunis : La plupart des manifestants ont déserté l’avenue, alors que l’heure de la rupture du jeûne approche. Une cinquantaine de manifestants étaient encore présents devant le ministère de l’Intérieur.
18h – Sfax : Un collectif de partis politiques et d’organisations de la société civile se sont réunis au siège du Parti unifié des citoyens démocrates pour appeler :
– tous les citoyens à la désobéissance civile ;
– les membres de l’ANC à démissionner ;
– la dissolution de l’ANC et de toutes les institutions émanant de cette assemblée (gouvernement et présidence) ;
– la formation d’un gouvernement de salut national ;
– la dissolution de tous les partis politiques d’inspiration religieuse pour leur implication dans des meurtres et des assassinats et la dissolution de toutes les organisations paramilitaires qui agissent sous leurs ordres (LPR, …) ;
– les institutions policière et militaire à respecter la neutralité politique ;
– et appellent tous les citoyens à rejoindre le sit-in ouvert au siège du gouvernorat de Sfax.
17h25 – Ariana : La police est intervenue pour séparer deux personnes qui se sont battues devant l’ambulance. Les forces de l’ordre en ont profité pour faire passer de force l’ambulance et l’envoyer vers la Route X, en direction de l’hôpital Charles Nicolle.
17h15 – Ariana : Le cortège se trouve à l’entrée de l’Ariana. Il est bloqué par des voitures de police, qui l’empêchent de passer par l’avenue Habib Bourguiba.
16h50 – Ariana : Le cortège continue d’accompagner le corps vers l’hôpital Charles Nicolle. Pour l’instant le cortège se trouve à l’entrée de l’Ariana.
16h30 – FIDH : Publication d’un communiqué par la FIDH.
16h15 – Siège du Front populaire : Publication d’un communiqué du Front populaire. Lors de la conférence, Hamma Hammami, porte parole du parti, a appelé à :
– la désobéissance civile ;
– la chute du gouvernement ;
– la dissolution de l’ANC ;
– la création d’un gouvernement de salut public ;
– la grève générale le jour de l’enterrement du martyr.
Des discussions ont lieu pour savoir quel jour les militants se réuniront pour manifester, devant l’ANC ou sur l’avenue Bourguiba.
16h10 – Hôpital Mahmoud Materi : Sortie du corps de Mohamed Brahmi.
16h00 – Avenue Habib Bourguiba : Entre 1 000 et 1 500 personnes devant le ministère de l’Intérieur.
16h00 – Sidi Bouzid Le siège du gouvernorat est en feu.
15h50 – Avenue Habib Bourguiba : Des manifestants ont fait reculer un bus de policiers en tapant dessus.
15h40 – Hôpital Mahmoud Materi : Nourreddine Hached, le fils aîné du syndicaliste Farhat Hached, arrive devant l’hôpital.
15h25 – Mosaique Fm : Ahmed Nejib Chebbi, du parti Joumhouria, demande la mise en place d’un gouvernement de salut national.
15h20 – L’UGTT appelle à la grève générale demain 26 juillet.
15h10 – Sidi Bouzid, Place Mohamed Bouazizi : Rassemblement devant le siège du gouvernorat de Sidi Bouzid. Début d’affrontement entre les manifestants et les forces de l’ordre. La majorité des manifestants sont des militants du parti Front populaire et de Attayar Achaabi.
15h10 Siège du Front populaire : début de la conférence en présence de nombreux militants et en présence de représentants des partis du Front populaire, de Nidaa Tounes et de Doustourna.
14h45 – Avenue Habib Bourguiba : Le cortège parti de devant le siège de l’UGTT vient de rejoindre l’avenue. Environ 500 personnes, et la foule grossit.
Le cortège parti de devant le siège de l’UGTT vient de rejoindre l’avenue. ~500 personnes et la foule grossi #brahmi pic.twitter.com/J1PS6V0vLi
— Nawaat ~ Tunisia (@nawaat) July 25, 2013
14h45 – Radio Mosaïque FM : Déclaration de Rached Ghannouchi, leader du parti Ennahdha : “C’est un meurtre contre l’Etat tunisien et la démocratie. On cherche à travers ça à mettre la Tunisie dans l’instabilité et à pousser les Tunisiens à s’accuser les uns et les autres.” (…)
“Ceux qui ont commis ce meurtre sont les opposants de la démocratie. La révolution tunisienne était pacifique, on cherche a la rendre sanguinaire alors que nous sommes en train de finir la Constitution et mettre en place les institutions qui vont mener le pays vers des élections libres…” (…)
“Nous demandons la mise en place d’une coalition nationale contre la violence.”
14h40 : Domicile de Mohamed Brahmi : Les voisins parlent en fait de 5 balles tirées et non de 11 balles, sur les coups de 12h10. Une des filles de Mahmoud Brahmi a déclaré sur radio Kalima avoir vu deux agresseurs sur une moto.
14h15 : Communiqué du porte-parole de la présidence de la République qui condamne l’assassinat du député Mohamed Brahmi, “un crime réalisé le jour de l’anniversaire de la République”, au moment où l’ANC est en train de travailler à terminer la phase de transition, explique le communiqué. Il est également question de la situation de l’Egypte, où la violence a pris le pas sur le processus démocratique.
Le communiqué appelle les Tunisiens à ne pas tomber dans le piège de la violence.
14h – Hôpital Mahmoud Materi :
13h58 – Hôpital Mahmoud Materi : Plusieurs appels spontanés pour un rassemblement devant l’ANC.
Un rassemblement de tous les partis démocratiques est prévu à 15h au siège du Front populaire.
13h55 – Hôpital Mahmoud Materi : Environ 300 personnes présentes dont des personnalités publiques : Mohamed Jmour, du parti Watad, Mehdhi Ben Gharbia, de la coalition démocratique, le député Brahim Kassas, l’avocate Leila Ben Debba, l’avocate Saida Garrach, la syndicaliste Thouraya Krichen. Hamma Hammami était également présent. Il est resté un peu moins d’une heure puis a été escorté par des gardes du corps.
13h35 – Avenue Habib Bourguiba : La police bloque l’entrée du ministère de l’Intérieur. Manifestation spontanée : environ 200 personnes présentes.
Aujourd’hui 13h – Mohamed Brahmi, député démissionnaire du parti Echaab (début du mois de juillet) et fondateur du parti Courant populaire (Attayar Achaabi), a été assassiné ce matin en sortant de chez lui à la cité El Ghazella, à l’Ariana, nous a déclaré Mohsen Nabti, membre du comité fondateur du parti Attayar Achaabi.
Mohamed Brahmi aurait été abattu par 11 balles, toujours selon Mohsen Nabti, qui se trouve actuellement au domicile du défunt.
La série d’assassinat politique continue.
Quand cela s’arrêtera ?
c clair c quand les RCDiste retourne a ses places.bandes de criminels
on a des criminels au pouvoir sinon des complices. le pays sombre et il est dans un stade avancé de somalisation,le scénario algérien se précise. nos guignols de politiques refusent de regarder la réalité en face et ils continuent de minimiser. le pays est en crise et il faut une solution radicale.
Que Dieu l’accueille dans sa miséricorde.
Nous sommes à Dieu et à lui nous revenons.
Que dieu protège la TUNISIE
Éliminer toutes les personnalités potentiellement dangereuses tout en niant farouchement toute implication, une tactique satanique des islamistes qui a été déjà entreprise en Algérie entre 1989 et 1999. A qui profite le crime ? La réponse coule de source. L’islamisme politique n’est pas soluble dans la démocratie… La nature intrinsèque de toute idéologie religieuse qui prétend détenir (et monopoliser) la vérité divine empêche toute évolution positive. Tuer pour Dieu, au nom de Dieu est un acte sacré pour ces mouvements… Prions pour la Tunisie : les islamistes d’ Ennahdha et leurs acolytes salafistes ne lâcheront jamais le pouvoir au prix d’une guerre civile. Prions et mobilisons nous car la fatalité est la pire des solutions…
C’est super si dieu s’occupe de Mohamed Brahmi; mais nous, nous devons nous occuper de ces obscurantistes qui n’ont cessé leurs appels aux meurtres et ce avec la bienveillance de leur gourou Ghannouchi.
Dieu n’a rien à foutre dans cet assassinat, Ghannouchi et ses milices en portent la 1ère des responsabilités !
[…] Maggiori informazione ed aggiornamenti su Nawaat, Tunsia […]
miskina tounes
بالله وقفة تامل: ,من هو المستفيد من ادخال البلاد في فوضى ؟
Le même scénario que chokri. Quand ce la s’arrêtera on ne supporte plus.
les ennemis de la démocratie tendent un piege au peuple tunisien alors que le pays devient calme et termine la constitution apres beaucoup de difficultés…déjà al hiwar maadnous demande au peule de descendre dans la rue et l occuper…le complot ne passera pas …il n y aura pas un sissi tunisien..Aux urnes citoyens….le peuple tunisien n est pas bete…..
[…] Après l’annonce de sa mort, un cortège d’environ 500 personnes s’est spontanément réuni devant le siège de l’union générale tunisienne du travail (UGTT) avant de rejoindre l’avenue Habib-Bourguiba, où se trouve le ministère de l’intérieur. Parmi eux, la veuve de Chokri Belaïd, autre opposant de gauche tué par balle en début d’année. Devant le ministère, la foule a scandé « Ministère de l’intérieur, ministère terroriste », selon le site d’information Nawaat. […]
Une seule adresse : le siege supeeme du pouvoir au Montplaisir !
Une seule adresse : le siege supeeme du pouvoir au Montplaisir
نواة امان شوفو الفيديو هذا كان نعرفو شكون كلمو بش يخرج نعرفو القاتل
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cheres tunisiennes et tunisiens libres ,il est temps de vous réveiller ,il faut aller tout de suite déloger les RPR et les ISLAMISTES RADICAUX ,
meme s’il le faut aller les chercher ses eux .sauvez notre cher pays de ces microbes. LA TUNISIE A BESOIN DE VOUS ,IL NE FAUT PAS AVOIR PEUR DE CES VERMINES ,C’EST à EUX D’AVOIR PEUR
Ghannouchi doit partir !
C’est une priorité vitale pour le pays !
Est-ce qu’on peut attendre qu’il manigance, magouille plus longtemps ?
Ceux accuse déjà Ennahdha, est ce que vous avez la moindre preuve ? mais vous êtes trop tetus et votre intention finale est connu par tout le monde !
Pour ceux qui en doutent encore: aucune religion et surtout pas la notre n’est compatible avec les valeurs de liberté et de démocratie auxquelles les jeunes tunisiens aspirent. Je met au défi n’importe quel temoin qui aurait vu lors des manifs anti ben Ali un seul religieux manifester! Ils se terraient comme des lâches tandis que d’autres jeunes tunisiens affrontaient la répression sanglante à mains nues. Vicieux qu’ils étaient ils ont cueilli un fruit mur que d’autres ont mis des années à faire pousser au péril de leur vie. Il est GRAND TEMPS de les faire dégager, les GHANNOUCHI et Consors n’ont rien à faire en tunisie , pays dont l’histoire millénaire démontre son étendue culturelle et pacifiste . N’avait – il pas raison feu BOURGUIBA quant il disait que entre GHANNOUCHI et La Tunisie il y 14 siecles!!! Tunisien, sois fier de toi , de ta tunisie et bat toi pour le bien commun de tes compatriotes.
Ils ne se terraient pas comme des lâches ils étaient en prison. En prison au nom de la sauvegarde de la laïcité vous vous souvenez? Ah oui et puis vu que sous Ben Ali tout signe religieux était prohibé vous auriez eu du mal à en voir de toutes façons.
Bravo aux manipulateurs et provocaturs déguisés en analystes politiques à la petite semaine qui crient bien ssssûr que c’est Annahdha. ils ne tempèrent même pas leur assertion en accusant un obscur courant radical d’Annahdha ou une lutte clanique interne dans ce parti. Non, je vous dis que c’est Annahdha dans sa globalité, et le minisitère de l’interieur à sa botte est complice. Une sorte de j’affirme donc je suis. Ils auraient pu ajouter : vous êtes des ignares et des naïfs, donc vous nous croirez, comme vous avez cru (un bon moment du moins ) l’homme du changement novembriste. L’UGTT et son parti politique, le front populaire, par réflexe pavolovien ne vont sûrement pas tarder à appeler (comme en Egypte) à dissoudre l’assemblée constituante et le gouvernement… Questions à réponses multiples : 1 – quel est l’intérêt d’un parti au pouvoir dans les assassinats alors qu’il est responsable de la sécurité publique et la stabilité politique et, en creux, qui a intérêt à la destabilisation de l’état ? 2 – Est ce un hasard si les deux assassinats politiques ont eu lieu au moment où des décisions cruciales allaient être prises: loi d’immunisation de la révolution, mise en place de l’ISIE, rapprochement des élections que beaucoup redoutent ? Sans même parler de la méthode égytienne pour renier la légitimité électorale ( tant magnifiée et sacralisée avant jan. 2011) à remplacer par un consensus “entre soi” et que le peuple retourne à ses parties de cartes et de match de foot. Maintenant poussons le questionnement jusqu’à la logique de toute police criminelle qui se respecte : AUCUNE piste n’est écartée à priori même la plus glauque : y a t-il un lien entre l’assassinat du regretté Brahmi et sa démission de son ancien parti avec création d’un parti qui va chasser sur les mêmes terres que ces anciens compagnons ? Pourquoi la DIVORCEE, (oui la divorcée,n’en déplaise à tous) de Belaïd continue à se réclamer comme la veuve-éplorée, de l’héritage politico-idéologique d’un homme qui, après tant d’année de vie commune, s’est séparé d’elle en novembre 2012 ? ils s’aiment tellement, donc ils divorcent ?
bravo l’analyste matrimonial.
votre bassesse n’a d’égal que votre mauvaise foi.
soeurs et frères tunisiens…encore un choc en apprenant l’assassinat de M. Brahmi, ici, en France… de tout coeur avec vous..
notre dégout..face a ce geste .n efface aucune de nos convictions pour un changement dans la paix et la democratie
[…] un député de l'opposition assassinéL’ExpressKapitalis.com -Tunivisions.net -Nawaat54 autres articles […]
Comme on pouvait s’y attendre une meute de charognards voraces se sont jetés sur le cadavre encore palpitant de Brahmi pour satisfaire leur appétit carnassier. Sans même attendre que le corps refroidisse ils en ont fait leur pâture. En cela rien de nouveau. L’histoire abonde en exemples de profanation des morts. La basse politique ne s’est jamais gênée pour marcher sur des cadavres afin d’atteindre ses buts: prendre le pouvoir ou lyncher l’adversaire. Sous couvert de démocratie et pour faire le plein des voix il était même coutume de faire voter les morts. Ben Ali n’était pas le seul à l’avoir fait. L’assassinat de Brahmi vient à point pour servir les noirs desseins de ceux qui encouragés par le coup d’état militaire du général fantoche Sissi voulaient cloner l’exemple Egyptien en Tunisie. L’occasion est trop belle pour la laisser passer. Alors nos corbeaux donnent de la voix et croassent aussi fort qu’ils le peuvent pour plonger le pays dans l’anarchie et le chaos avec leurs appels à la désobéissance civile, à la dissolution du gouvernement et à la liquidation de l’Assemblée Nationale et de toutes les institutions de l’état. Après tout, c’est la saison des soldes.
Le vautour récidiviste Chebbi qui n’a pas encore eu l’occasion de rassasier sa faim insatiable du pouvoir s’est joint au concert macabre pour à nouveau réclamer un gouvernement d’union nationale où bien sûr il aurait sa place. Avec le même appel il a tenté de sauver in extremis le régime de Ben Ali mais n’a pas abouti. Sans pudeur, il a alors rallié Mohammed Ghannouchi qui lui a fait l’aumône d’un poste éphémère de ministre auquel il s’est accroché jusqu’au dernier moment. Puis vinrent les premières élections libres et démocratiques dans l’histoire de la Tunisie. S’imaginant les remporter il n’a même pas attendu que le scrutin commence pour nommer ses ambassadeurs en Europe. Eh oui, le ridicule ne tue pas. Surtout pas ceux qui considèrent la politique comme un trottoir de prostitution. La complice de Chebbi, Maya Jribi qui s’est vautrée sans vergogne dans le lit de Caïd Essebsi, en sait quelque chose. Elle continue à faire son exhibitionnisme obscène, mais elle ferait mieux de se regarder dans un miroir.
Les Tunisiens vont-ils permettre à une poignée de crétins agressifs et vulgaires d’aggraver les remous et d’exploiter le drame qui vient de se produire afin d’assouvir leur haine? Sont-ils conscients que plus un tambour est creux, plus il fait de bruit? Accepteront-ils bêtement de servir de marchepied à ces oiseaux de mauvais augure qui veulent installer le désordre dans le pays? Sommes-nous conscients de la basse tactique qui se joue en ce moment et qui consiste à nous offrir un bouc émissaire sans avancer de preuves, ni de témoins et sans auditions ni enquêtes, ni procédures judiciaires ? Sans passer par les tribunaux, ni garantir aux accusés le droit de réplique ou de défense. Bref, sans aucun respect pour les procédures qui font la différence entre un état civilisé qui garantit les droits de l’homme, c’est à dire un état de droit et la jungle sauvage sans loi ni droit. La route que les voyous nous miroitent aujourd’hui avec une indignation feinte laisse prévoir leur concept de la démocratie et du respect des droits de l’homme ils. Fallait-il donc condamner la dictature de Ben Ali pour accepter de nous laisser rouler dans la farine par des énergumènes au langage ordurier? Sommes-nous revenus au Moyen-âge au temps de l’inquisition et du lynchage? Si nous ne sommes pas vigilants la Tunisie glissera vers la guerre civile dont personne ne peut prévoir ni les conséquences ni la fin.
De quelle justice ? de quel état de droit ? Il y aurait tout ça en Tunisie, et plus précisément en ce moment ? Vous rigolez ?
Bravo ! Bien dit
[…] Aujourd'hui 13h – Mohamed Brahmi député démissionnaire du parti Echaab ( début du mois de juillet ) et fondateur du parti Courant Populaire ( Attayar Achaabi ) a été assassiné ce matin en sortant de chez lui à Cité El Ghazela, Ariana, nous a… […]
[…] See on nawaat.org […]
rabbi yahmi tounesna
Quoi qu’il arrive c’est Ennahdha. Ennahdha est responsable de tout. Tout ce qui va mal. Voila c’est comme ca.
certains n aiment pas les islamistes c est leur droit .s ils veulent occuper leur place qu ils le fassent dans les regles de la démocratie……..avec des elections libres….le plus tot possible…..le complot ne passera pas……….vive la légalité..les rcdistes degagez pour toujours
Oups @cheeee j’ai failli oublier un e ;)))
Plus sérieusement, «l’éviction de Ben Ali» était-elle dans le canon de la légalité ?
Ben Ali n’est pas arrivé au pouvoir par les urnes mais par un coup d’état. Médical ou pas un coup d’état reste un coup d’état et n’accorde aucune légitimité à celui qui le perpètre. Après s’être saisi du pouvoir Ben Ali s’y est maintenu en falsifiant les résultats des élections et en violant les textes de la constitution. Son prédécesseur Bourguiba faisait exactement la même chose. Ben Ali a obtenu ses diplômes à l’école de la malhonnêteté. Caïd Essebsi qui a été le complice des deux dictateurs a reconnu leurs manipulations auxquelles lui-même participait. Il a avoué que les élections qui ont porté la troika au pouvoir étaient les premières élections libres et honnêtes du pays. Ceci veut dire que le règne de Bourguiba aussi était illégal que celui de Ben Ali. Il est donc malhonnête de s’en prendre à la révolution qui nous a débarrassé d’une pègre de mafieux et a mis fin à leur pouvoir illégal. La révolution nous offre la possibilité de mettre en place des structures démocratiques. Mais il paraît que ceci n’est pas du goût de tout le monde. Certains n’arrivent pas à digérer la confiance qu’une grande partie de la population a accordé à Ennahdha. Mais la démocratie, c’est cela. Il faut accepter le résultat des urnes. Si on n’est pas d’accord, on essaie de le changer pour les prochaines élections. On critique les fautes du parti avec lequel on n’est pas d’accord et on présente un meilleur programme politique. Mais au lieu de jouer le jeu de la démocratie comme dans les pays civilisés certains préfèrent les tactiques infâmes. Etant trop ignorants pour critiquer ils médisent et s’attaquent à l’intégrité des personnes. De quelles preuves dispose-t-on pour accuser Ghannouchi du meurtre de Belaid ou de Brahmi? A-t-il laissé sa carte de visite sur l’endroit du crime? Si on s’amuse à ce petit jeu, n’importe qui peut accuser n’importe qui de n’importe quoi et on rend la vie de tout un chacun invivable. Si vous accusez sans preuves, qui empêchera un autre de faire la même chose et de vous accuser sans preuves? Le vrai reproche qu’on fait à Ennahdha est celui d’avoir remporté les élections. Comme on n’ose pas l’avouer on fait des contorsions pour contourner la vérité. C’est ainsi qu’on a exploité et instrumentalisé les meurtres de Belaid et Brahmi pour une infecte propagande politique de bas niveau. Ceux qui le font n’ont pas arrêté depuis les dernières élections de déployer tous leurs efforts pour discréditer Ennahdha et ses alliés. J’ose dire que les meurtres des deux politiciens, au lieu de les attrister, les ont remplis de joie car ils leur ont offert de nouveaux prétextes de médisance et d’accusations gratuites. Ils rendent aussi Ennahdha responsable de l’état lamentable de l’économie tunisienne pillée pendant un quart de siècle par la mafia de Ben Ali et avant lui par celle de Bourguiba. Pire encore, les ennemis d’Ennahdha s’acharnent aussi à saboter l’économie tunisienne pour faire souffrir les pauvres encore plus et semer le mécontentement dans le pays. C’est notamment la tactique des leaders corrompus de l’UGTT, ces anciens lèche-bottes de Ben Ali. Ils ont déclenché en une seule année plus de 500 grèves pour paralyser l’économie et faire fuir les investisseurs étrangers. La dernière grève générale qu’ils viennent de lancer a immobilisé le trafic aérien, celui des personnes et des marchandises. Je n’exclue pas que des médicaments urgents n’aient pas pu arriver à destination, avec des conséquences que j’ignore. Cette grève n’est pas non plus de nature à encourager les touristes qui ont programmé des vacances en Tunisie et se sont trouvés dans l’impossibilité d’y aller ou de la quitter. Beaucoup ont dû regretter leur choix et peut-être raté des rendez-vous importants. A cela s’ajoute le fait suivant: le gouvernement tunisien a dépensé et continue de dépenser d’énormes sommes d’argent à l’étranger pour faire la publicité du tourisme en Tunisie. Grâce à l’UGTT, c’est de l’argent perdu. Mais cet argent est en fait celui de tous les tunisiens. L’irresponsabilité des dirigeants de l’UGTT en fait des criminels économiques. Mais quand on est malhonnête on n’a pas le courage de reconnaître les faits. On cherchera à nouveau d’autres prétextes plus malhonnêtes les uns que les autres pour induire les gens en erreur mais sans nous expliquer la relation entre le meurtre de Brahmi et la nécessité de nuire à l’économie tunisienne.
Malgré les mensonges, les manipulations, la mauvaise foi, la violence et les assassinats je suis sûr que la Tunisie finira par triompher et construira une démocratie qui lui fera honneur. La seule question est celle du temps que cela prendra. On sait qu’un chariot ne peut avancer qu’à la vitesse de sa plus mauvaise roue. C’est pour cela que certains sont en train de saboter les roues du chariot Tunisie ou, pour parler en termes modernes, de crever ses pneus afin de retarder sa progression.
Chers amis tunisiens
comprenez que ceux qui commettent ce crime n’on qu’un seule but mettre le feu dans votre pays.
Ne soyez pas naïf, croyez-vous que d’après ce qui est arrivé en Egypte les islamistes auraient intérêt à ce mettre le peuple tunisien à leur dos.
Ces assassinats n’ont pour but, n’ont pour but, mettre la Tunisie en feu et en sang.
Cher démocrates sachez qu’il n’y aura jamais de démocratie réservée à une catégorie de la population mais à un autre.
Avant, d’accuser regarder autours de vous car ça peut être “les satans” d’hier qui chercheraient
à semer le chaos dans le pays pour prouver qu’ils étaient les seules à pouvoir diriger la Tunisie.
Ils ont dirigé la tunisie pendant des décennie, ils ont tout perdu, ils sont près à tout.
Je crois que vous peuple tunisien vous seriez assez intelligent pour ne pas commettre l’erreur égyptien car ce qui c’est passez là-bas est un coups dur pour la nouvelle démocratie arabe.
Ne confondons pas démocratie et anarchie. Chacun doit attendre son tour, seule le peuple décidera à qui le tour!!!
Hé Nourdine c’est justement le peuple qui s’exprime, d’une.
De deux, pour qu’il y ait démocratie, il faut une justice qui n’obéit qu’aux lois et non aux injonctions des politiques ( Jaber, Amina, Fehri et j’en passe…) Et je ne te parle même pas de la situation sécuritaire, celle socio-économique !
On a dégagé Zaba, ce sera idem pour Zaballah !
chers amis..luttons contre la pauvreté et la misere et on enterndra moins parler des fondamentalistes …
Les “satans” d’hier n’ont rien à envier aux “satans” actuels qui sont indirectement responsables des assassinats, des menaces de mort quasi quotidiennes, de la situation économique et sécuritaire dramatiques du pays.
Ah cette satanée théorie du complot, ça marche encore??? Bien sur que ça marche, plus c’est gros, plus ça a de chance de marcher!
Les armes favorites des fous de la religion: La haine, le sang, la mort, vous en doutez? Alors, je vous invite à suivre l’actualité des pays arabos-musulmans d’hier et d’aujourd’hui.
Certains ne comprennent pas que la Tunisie soit épargnée, qu’elle ne puisse pas avoir son lot de sang quotidien, ce n’est quand même pas compliqué, une barbe, un fusil, un scooter et hop! Bon, on va tout savoir, les tueurs et les commanditaires seraient identifiés par le pouvoir, le ministre de l’intérieur parlera des qu’il aura reçu le feu vert de leader du parti majoritaire en incruste!
Démocratie, justice, liberté, bof, dans dix mille ans, peut-être!!!
Assez des tergiversations, assez de la politique de l’autruche. Il faut être aveugle pour ne pas voir les ficelles du plan machiavélique qu’Ennahdha est en train de préparer pour la Tunisie. Tempérer, aujourd’hui, reviendrai à donner plus de temps à Ennahdha pour s’accaparer les rouages de l’état et signer la mort de toute compétition loyal pour accéder au pouvoir. A côté des nominations, on a aussi tout un arsenal qui gangrène la société pour assoir l’idéologie islamiste. Les mosquées, les LPR, les salafistes, les associations ect. Deux angles d’attaques qu’on retrouve dans les discours d’Ennahdha « addawla al3ami9a » et « attadafou3 al2ijtima3i ». Les discours sur la religion la révolution et l’identité ne sont que des outils pour arriver à confisquer le pouvoir et à cliver la société.
Les tunisiens doivent rester vigilants contre toutes les factions politiques qui montreraient des velléités hégémoniques sur l’état ou sur les libertés des tunisiens.
On a une dictature qui se met en place et il ne faut pas rester les bras ballant devant cette menace. Les tunisiens doivent se lever comme un seul Homme, en dehors des orientations partisanes, pour faire triompher les idées démocratiques. Les procès d’islamité de l’identité et de l’appartenance à l’ancien régime s’effritent de plus en plus et oblige Ennahdha à clarifier ses position sur l’idéal démocratique. Les tunisiens doivent porter le slogan de l’unité et mettre la troïka face à sa responsabilité dans la dislocation de cette unité.
La contestation doit demeurer pacifique. Il n’y aura pas de chaos ou de bain de sang ou le vide, notre état est assez solide pour se passer des politiques qui deviennent un élément du problème tunisien.
Il faut arrêter la mascarade.
[…] réaction à l’assassinat, hier, 25 juillet 2013, du député Mohamed Brahmi, une manifestation spontanée s’est tenue à l’avenue Habib Bourguiba. Certains […]
Le Gouvernement tunisien reconnaît que les chefs de partis politiques de gauche, MM; Chokri Belaid et Mohamed Brahmi ont été tués par la même arme, donc par les mêmes meurtriers…
Le Président de la République affirme que les noms des coupables de l’assassinat de M. Chokri Balaid étaenit connu depuis plusieurs semaines.
Conclusion:
Le Gouvernement tunisien et le président de la République sont, en toute logique démocratique, politiquement coresponsables de la mort de M. Brahmi pour ne l’avoir pas protégé alors qu’il constituait une cible et pour avoir fait preuve d’incompétance dans la recherche et l’arrestation des coupables du premier assassinat . permettant ainsi que les criminels renouvellent leur forfait.
Tout le reste, notamment la théorie du complot Rcdiste, n’est que blablabla pour noyer le poisson dans l’eau.
[…] est le principal suspect de l’assassinat de Mohamed Brahmi. C’est lui qui, hier à midi, aurait tiré sur Brahmi à 14 reprises avec une arme […]
As far as i remember our revolution of the 14-01-2011 began with a slogan that became one of the principles for the youngs especially;”I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it”.Back at that time we were all Tunisians and we were united against zaba’s mafia.Back at that time we were still pure from any kind of partisanship and our loyalty was for Tunisia only and no body else. Bit by bit we let go that slogan. we became exclusionaries and we involved in a horrible stream of deleting every voice opposite to ours.When we agreed that some Tunesians called salafists for example are not allowed to practice their rights and we applauded the police when they were killed and beated, we lost a big part of our humnaity, of our loyalty to Tunisia and of our beliefs of Human rights and so called democracy.If we want a better future we have to revisit our deeds and to question the development of our ideas from 14-01-2011 till now.We have to reunite again.what is happeneing now in Egypt and in Lybia just yesterday highlights that the assasination of mohamed brahmi aim for destroying what they called arabic spring and turn it to arab bloody summer just because their plans for this period changed.They have new ones now so they need new actors.They want also to show the world that democracy is not for us we are barbaric and savages and we have to stay like that.Please wake up my people.Let their plans fail.Be responsible.
Ce n’est pas un poème qui est afficher sur le balcon en photo ce sont des vulgarités.Ceci dit Allah yarehmou Brahmi et que Dieu protège la Tunisie des ignorants qui ce font manipuler sans s’en rendre compte.
القدس عروس عروبتكم
فلماذا أدخلتم كل زناة الليل إلى حجرتها ؟؟
ووقفتم تستمعون وراء الباب لصرخات بكارتها
وسحبتم كل خناجركم
وتنافختم شرفا
وصرختم فيها أن تسكت صونا للعرض
فما أشرفكم
أولاد القحبة هل تسكت مغتصبة ؟
أولاد القحبة
لست خجولا حين أصارحكم بحقيقتكم
إن حظيرة خنزير أطهر من أطهركم
تتحرك دكة غسل الموتى أما أنتم
لا تهتز لكم قصبة
الآن أعريكم
vous êtes la vulgarité des soumis.
أولاد القحبة الآن أعريكم
les ignorants savent qui sont les manipulateurs ne t’inquiète pas ,va. Moudhafar Naweb vous a démasqués depuis longtemps.
Pour éviter la guerre existentialiste entre le pouvoir des urnes et l’opposition.
Moi je propose, une fois la constitution est adoptée, promulguée:
– L’ANC s’auto-dissout, Après avoir un rapport général, complet sur son activité et que se rapport soit lu en direct et en séance plénière transmise à la télévision publique,
– Le premier ministre présentera la démission de son gouvernement une fois les dates des élections législatives et présidentielles soient définitivement décidées sans possibilité de retour dessus,
– Un gouvernement des technocrates sera nommé pour la gestion des affaires pendant les deux ou trois mois de la campagne électorales,
– L’actuel président restera en poste pour être le garant principal de la bonne marche des choses, et en cas d’événements qui dérogeront à la bonne marche. Alors on aura un président élu qui prendra les décisions adaptées.
Ainsi les partis politiques partiront en campagne avec toute leur force et sans aucun soupçon au sujet de la falsification des élections.
Wa Allahou allam.
Ben Ali harab. Mandhouj Tarek. http://www.babnet.net/cadredetail-68866.asp
[…] Well-known police reform advocate Bassem Bouguerra was reportedly injured by police at Bardo as well, according to Nawaat. […]
قولش عليه عرس في باردو جماعة العروس و العروسة موش متفاهمين اما قاعدين في نفس البقعة انشاء الله يستغلو الحدث التاريخي هذا بش يتعرف الشعب على الشعب .يا حسرة على أيامات القصبة 1 و 2 كنا يد وحدة و نخافوا على بعضنا انشاء الله ترجع الايامات هاكي
As for that ninja daughter of ghannouchi: I suggest that she sticks
another rag in her mouth that may make her sound less vulgar and further
hide her shit faces,also her ugly thoughts.
her clown dad should go back to his housing commission in london to bludge
on british social security.
can’t imagine a shit face like yours or your father getting a job in any english
institution just for the terrorisme looks of yours and his.
they probably avoid your types like a plague.
don’t hide behind democracy or unity of people durong the uprise?
the tunisian people haven’t done it for your types nor were you part of it.
what is your father or your merchandise apart from pedalling a return to
a conduit 14 centry ago,primitive and alien to tunsian thinking.
you bent to allah and fart in people faces.
you kiss dirt and emit shit in people faces.
you make a nation beg the monetary fund so you can purchase more
acrymogene hand granades to assure staying in power.
the ennahda viles have overstayed their welcome and should fuck off.
allah can’t be used as condom for your dad protection and the sooner
we detox tunisia from his types the better for tunisia.
this a reply to you for stating that you created a 100.ooo jobs since your
monster group ascended to power on bbd radio. lies lies lies lies.
just put a rag in your sewer lying mouth and further sparing us your ugly sight
and that of your hidious father.
allah can’t cover a vile person.
[…] Live Blogging des événements depuis l’assassinat en français, arabe et […]
[…] Bassem Bouguerra, president of Reform, an organization advocating for police reform, was also reportedly assaulted, according to Nawaat. […]
[…] Retrouvez l'article complet, live blogging, ici : http://nawaat.org/portail/2013/07/25/assassinat-de-mohamed-brahmi-fondateur-du-parti-attayar-achaabi… […]
[…] Retrouvez l'article complet, live blogging, ici : http://nawaat.org/portail/2013/07/25/assassinat-de-mohamed-brahmi-fondateur-du-parti-attayar-achaabi… […]
[…] Retrouvez l’article complet, live blogging, ici : http://nawaat.org/portail/2013/07/25/assassinat-de-mohamed-brahmi-fondateur-du-parti-attayar-achaabi… […]
[…] ses excuses aux députés de l’opposition Noômane Fehri et Mongi Rahoui, ainsi qu’aux personnes agressées lors du sit-in au Bardo. Les deux membres de l’Assemblée ont, par ailleurs, été officiellement convoqués pour […]
[…] ses excuses aux députés de l’opposition Noômane Fehri et Mongi Rahoui, ainsi qu’aux personnes agressées lors du sit-in au Bardo. Les deux membres de l’Assemblée ont, par ailleurs, été officiellement convoqués pour […]
[…] Tunisie est plongée depuis près d’un mois et l’assassinat du député Mohamed Brahmi dans une profonde crise politique, une coalition d’opposants réclamant la mise en place […]
[…] cette partie de l’opposition soutenue par les 60 députés en retrait de l’ANC depuis l’assassinat politique de Mohamed Brahmi le 25 juillet, tout dialogue avec Ennahdha serait vain si le poste de chef du gouvernement reste “une ligne […]
[…] Live Blogging : Assassinat de Mohamed Brahmi, fondateur du parti Attayar Achaabi […]
[…] advocating for police reform, has reportedly been assaulted by the police at Bardo Square. According to Nawaat, Bougerra has injuries on his legs and face and is being transferred to Charles Nicolle […]