Par European Cancer Centers :
Nous avons été extrêmement surpris par les termes du communiqué de Presse publié par le Ministère de la Santé publique le 19 septembre 2014.
Ce communiqué mentionne que « l’attitude circonspecte » du Ministère de la Santé publique est « dictée par le seul souci de préserver l’intérêt du pays ». Il nous paraît par ailleurs étonnant d’évoquer «un développement harmonieux des secteurs sanitaires public et privé » pour justifier le refus de développer le plus grand hôpital privé de cancérologie du continent africain.
Le communiqué du Ministère de la Santé publique ne mentionne aucune raison concrète et objective légitimant le blocage du projet European Cancer Centers – Tunisie (ECC – Tunisie). Nous notons que près d’un mois après la tenue du la Commission Supérieure des Grands Projets, le Ministère de la Santé publique n’a toujours pas transmis les éléments d’information justifiant sa décision.
Dans un souci de transparence et afin de répondre aux nombreuses demandes d’information que nous avons reçues, nous souhaitons donc apporter des précisions complémentaires concernant le projet ECC – Tunisie.
Nous tenons à préciser que l’ensemble des informations transmises ci-après est documenté par écrit dans le projet de Convention d’investissement liant European Cancer Centers et l’État tunisien, ainsi que dans les échanges d’emails avec les membres de la Commission Interministérielle des Grands Projets.
[La suite dans le PDF ci-joint…]
nice job n.b
European Cancer Center semble etre une arnaque. Il suffit de faire une recherche internet pour ce rendre compte que European Cancer Center n’est pas un organisme reconnue à l’échelle européenne.
Cette lettre ouverte apporte des précisions intéressantes…ils ont une équipe impressionnante. Comment cette situation est-elle possible alors qu’ils ont eu un accord signé par le précédent ministre? et tout ce travail avec la commission des grands projets? notre ministre de la santé est en train de faire fuir les investisseurs étrangers et de nuire à la Tunisie, surtout quand on connait l’état lamentable des hôpitaux publics en Tunisie et les délais d’attente…Le ministre agit pour protéger qui?