Le nombre de permis en cours de validité s’élève à 49 permis (40 de recherche et 9 permis de prospection). Ces permis sont opérés par 31 compagnies pétrolières nationales et internationales parmi 59 compagnies actives dans le domaine de l’exploration. Parmi ces 49 permis, 16 permis situés dans le Sahara tunisien opérés par 13 compagnies pétrolières nationales et internationales sur une superficie de 41732 Km2. ( voir tableau 1).
PERMIS | SUPERFICIE (KM2) | COMPAGNIES |
---|---|---|
ANAGUID | 2840 | OMV ETAP MEDCO |
LES OASIS | 332 | HBS/ETAP |
NORD MEDININE | 2992 | OMV/ETAP |
JENEIN NORD | 484 | OMV/ETAP |
JENEIN NORD | 3972 | OMV/ETAP |
EL HAMRA | 3972 | OMV/ETAP |
JENEIN SUD | 1464 | OMV/ETAP |
KSAR HADADA | 2252 | PETROASIANIRKH/DERWENT/GAIASRL/ETAP |
SUD REMADA | 3516 | STORM VENTURES/RIGO/ETAP |
BORJ EL KHADRA SUD | 2096 | ANADARKO/VOYAGEUR/ETAP |
BAZMA | 1292 | RIGO OIL COMP. LTD/ETAP |
REMADA | 3796 | MEDEX/ETAP |
ZAAFRANE | 5168 | MEDEX/ETAP |
SUD TOZEUR | 4380 | RIGO OIL COMP. LTD/ETAP |
BORJ EL KHADHRA | 2864 | ENI TUNISIA/ETAP/OMV/STROM |
JENEIN CENTRE | 312 | STORM/PA RESSOURCES/ETAP |
TOTAL (KM2) | 41732 |
La production d’huile des concessions ETAP à fin Décembre 2012 a atteint 19, 222 MBBLS et la production des concessions hors ETAP a atteint 5,767 MBBLS (millions de barils), soit au total : 24,989 MBBLS et 2237 Mm3 (millions de mètres cubes) de gaz. (voir tableau-2). Depuis la première découverte de gaz au Djebel Sidi Abderrahman au Cap Bon en 1950 jusqu’à aujourd’hui, la Tunisie a produit un milliard de barils de pétrole et 140931 Mm3 de gaz, et si la production annuelle de pétrole et de gaz se maintient ainsi pendant 30 ans sans déclin et sans aucune nouvelle découverte durant cette période, nous aurons une production totale de 749,670 MBBLD et 67110 Mm3 de gaz. A ce rythme, nos réserves résiduelles (646,3 MBBLS environ) vont être épuisées en 2040. Ce calcul est utopique et trop optimiste pour trois raisons qui sont les suivantes :
- Les puits de développement qui permettront d’extraire le pétrole et le gaz résiduels des gisements des concessions vont se multiplier d’ici quelques années, et par conséquent la production annuelle va augmenter pour atteindre environ 30 millions barils par an
- La consommation nationale en pétrole raffiné est de 3,746 milliards de tonnes, la STIR produit près de 1,683 milliards de tonnes et importe environ 2,790 milliards de tonnes. D’ici à 2040, la consommation et l’importation vont au minimum doubler.
- La production nationale de mars 2013 montre une baisse remarquable pour le premier trimestre de l’année en cours par rapport au premier trimestre de l’année précédente : 2 000 186 barils (tableau-3) contre 6 247 250 barils. Ceci peut s’expliquer par le déclin de certains champs pétroliers comme EL BORMA, la fermeture des champs MAHARES, ZINNIA et SANHAR et le cumul des jours d’arrêt d’Hasdrubal.
Ainsi, trois facteurs, la surexploitation des gisements en production, le déclin et la fermeture de certains champs et l’accroissance de la consommation, vont, s’il n’y a pas de nouvelles découvertes, conduire à l’épuisement de nos réserves résiduelles dans la prochaine décennie. Il faut rappeler que pendant la période de 1970-1986, la Tunisie a connu son âge d’or en matière de production pétrolière, qui avait atteint 120 000 barils par jour (soit 49 millions de barils par an). Mais ce taux a régressé avec le temps pour se situer à près de 75 000 barils par jour depuis 2005, soit une chute de 37 %, malgré l’octroi de 41 permis de prospection et l’exploitation de 14 puits. En 2009, la demande en pétrole est au seuil des 90 000 barils par jour, alors que le secteur maintient un niveau de production inférieur, en dépit des 54 permis de prospection octroyés et de l’exploitation de 24 puits avec une réserve de 425 000 000 de barils. Plusieurs facteurs sont en jeu : les quantités disponibles dans la plupart des nouveaux puits sont peu importantes, les coûts de production liés aux profondeurs de certains sites (4 500 m alors que la norme internationale est limitée à 4 000 m), le fait que le pétrole ne soit pas la seule matière à prospecter, puisque l’État encourage la production de gaz naturel pour remplacer le pétrole dans certains secteurs à forte demande d’énergie. Aujourd’hui, la production journalière est égale à 68 000 barils par jour, soit une chute de 10% en 8 ans.
Production Nationale Mars 2013 (tableau 2)
Pétrole (BBLS) | Gaz (Mm3) | |
---|---|---|
Concession ETAP | 1.574,519 | 157,697 |
Hors ETAP | 425,667 | 92,124 |
Total | 2.000,186 | 249 |
Statut de l’exploration dans les permis de recherche (tableau 3)
CONCESSIONS | RESERVES RECUPERABLES (MILLIONS BARILLES) | |
---|---|---|
ASHTART | 290 | |
SIDI EL ITAYAM | 32 | |
DOULEB-SEMMAMA-TAMESMIDA | 25 | |
EL HAJEB-GUEBIBA | 3 | |
GREMDA | 3 | |
EZZAOUIA | 10 | |
HALK EL MENZEL | 7 | |
DIDON | 7 | |
EL BIBAN | 10 | |
EL FRANIG | 5 | |
BAGUEL | 5 | |
EL BORMA | 750 | |
MAGHROUGA-LARICH-DEBECH | 18 | |
TAZARKA | 20 | |
CHOUECH ESSAIDA | 3 | |
MAHARES | 0,3 | |
YASMIN | 2 | |
COSMOS | 6 | |
BIRSA | 5 | |
OUDNA | 6 | |
ISIS | 18 | |
MAAMOURA | 6 | |
ECHOUECH | 1 | |
ZINNIA | 2 | |
SANHAR | 2 | |
SIDI EL KILANI | 55 | |
CERCINA | 3 | |
EHEMOURA | 3 | |
GREMDA | 3 | |
CHOUROUK | 20 | |
SABRIA | 10 | |
BIR BEN TARTAR | 7 | |
DORRA | 5 | |
UTIQUE | 4 | |
ADAM | 229 | |
CHERGUI | 11 | |
HASDRUBAL | 8 | |
DJEBEL GROUZ(condensat) | 2 | |
OUED ZAR | 20 | |
BARAKA | 11 | |
MISKAR | 5 | |
SIDI LITAYEM | 2 | |
ROBBANA | 2 | |
BENI KHALLED | 2 | |
EL MENZAH | 2 | |
DIDON | 3 | |
RAS EL BESH | 3 | |
TOTAL | 1646,3 |
L’exploration pétrolière en Tunisie, depuis la révolution, a connu un ample marasme, sauf quelques activités de forage ou d’acquisition sismique et de processing (traitement) au sud ou en offshore. Les activités d’exploration en Tunisie durant l’année 2012 peuvent être résumées comme suit :
- L’acquisition de 1359 km2 de sismique 3D et 796.28 km de sismique 2D
- Le forage de 11 puits d’exploration, sur les permis et concessions: Jenein Nord, Jenein Sud, Sud Remada, Anaguid, MLD, Adam, Chergui et Grombalia.
La taille des structures (pièges où le pétrole et le gaz s’accumulent) et leur nombre sont faibles et la majorité d’entre elles qui a été forée est sèche ou présente quelques indices.
Un accroissement de la corruption dans le « mastodonte » ETAP. Cette corruption généralisée, touche même et surtout les sociétés de services qui sont les plus impliquées dans la magouille. Pour ce faire, elles gonflent à volonté leurs factures et rémunèrent en rétro-commissions les membres de l’ETAP.
La nouvelle alternative : le pétrole et le gaz de schiste au Sahara
La formation TANNEZZUFT au Sahara (bassin de GHADAMES) représente un gigantesque réservoir d’hydrocarbures qui pourrait être exploité par les techniques non conventionnelles. Cette formation s’étend sur 41732 Km2 (voir tableau-1) et d’épaisseur moyenne de 450 m. Le volume de cette roche mère (Rock Volume) est de 18779.400.000.000 m3 (18779 milliards et 400 millions de m3). Le Pad drilling (voir fig.1), quand des puits multiples sont forés de la même plateforme, souvent 6 ou 8 puits horizontaux proviennent de la même plateforme. Typiquement bien la plateforme draine une zone qui est rectangulaire connue comme une unité d’espacement, (terrain clôturé) – d’habitude environ une moitié du 800 m large par 3000 m de long avec la plateforme elle-même placée au centre du rectangle. La majorité de la superficie dans le rectangle n’est pas exigée pour la plateforme et sera laissée complètement “calme”. La plateforme consiste généralement en 18210 m2 qui sont dégagés, nivelés et faits surface pour acceuillir l’équipement de forage, des camions et divers d’autres équipements.
Il est exigé pour des activités d’achèvement du forage. Les 8 forages sont profonds et horizontaux, permettant de traverser l’horizon producteur sur une longueur très importante de 2 km environ. Donc, la zone de drainage avec 8 puits horizontaux d’une seule plateforme (Pad drilling) est égale à 6280 m2, et avec 450 m d’épaisseur le volume de la roche encaissante est de l’ordre de 2826000 m3. Si on utilise la méthode de calcul des réserves des huiles conventionnelles, on obtiendra 13 310 460 barils comme réserves récupérables. Si on explore tout le Sahara, les réserves récupérables seront égales à 88450 .974.000.000 barils récupérables soit 88451 milliards de barils ! Sans parler de gaz. (Exemple : El Borma produit actuellement 7536 barils de pétrole et 100 000 m3 de gaz par jour). Si on traduit ce chiffre en monnaie on aura 9.729.607.240.000.000 $ soit 9730 billions $ ! Il faut rêver ! Pour le gaz faites vos calculs en utilisant tout simplement la règle de trois.
Pour réaliser ce méga-projet, il faut forer 2 291 708 puits à raison de 30 millions $ le puit, soit au total : 68.751.235.584.843 de $ (68 billions de $).
Les conditions principales et sine qua non exigées
1- Le respect rigoureux de l’environnement
Le respect et la préservation de l’environnement sont des exigences partagées et portées par tous. Tout d’abord, il faut interdire de toucher à la nappe fossile du continental intercalaire (les nappes phréatiques sont absentes au Sahara donc pas de pollution). Près de 50% des résidus de fluides (eau + sable + produits chimiques) qui remontent à la surface doivent être réinjectés dans des puits profonds. Il faut empêcher les émissions de gaz sulfurés et pollution de l’air par les particules produits lors des phases d’extraction, transport et les activités annexes.
2- L’adoucissement de l’eau de mer pour l’agriculture et la fracturation hydraulique (Fg.2 &3)
L’eau de mer contient une multitude d’espèces chimiques dissoutes, en particulier le sel (ou chlorure de sodium). Si l’on arrive à séparer l’eau de tout le reste, l’eau de mer devient alors une source inépuisable d’eau potable. La production d’eau dessalée est en pleine croissance, et une installation peut fournir 120 000 mètres cubes d’eau par jour. Il faut construire plusieurs usines de dessalement, 25% de la quantité d’eau dessalée pour la fracturation hydraulique et le reste pour l’agriculture. Plusieurs usines de dessalement se sont d’abord implantées dans des régions désertiques et côtières où la ressource en pétrole ou gaz était abondante, comme dans les pays du Golfe Persique. On doit utiliser la distillation dont le principe est très simple : il consiste à chauffer de l’eau de mer. Seule l’eau s’évapore. Il suffit de refroidir la vapeur d’eau ainsi formée dans un condenseur afin de recueillir de l’eau liquide quasiment pure.
Dans le récipient contenant l’eau de mer, la concentration en sel augmente au fur et à mesure que l’eau s’évapore. Ainsi, la distillation produit non seulement de l’eau douce mais également de la saumure (jusqu’à 70 g/l).
3- Infra-structurer le Sahara
Promotion de l’agriculture, formation des agriculteurs et expérimentation participative de pratiques agricoles agro-écologiques : diversification des cultures, fertilisation organique. Prendre des initiatives pour contribuer à la croissance forte de l’industrie du tourisme dans le sud du pays. Amélioration de la situation de la vie socio-économique et l’infrastructure sanitaire, social… et scolaire. Promotion de la femme rurale (équipement subvention, encadrement, encouragement des activités génératrices de revenus et valorisation du savoir-faire). Formation et insertion de jeunes dans l’activité agricole. Construire des logements (bâtiments et travaux publics), des routes, des hôpitaux, des manufactures ; bref, lutter contre la désertification et faire du Sahara un « paradis ».
4- Constitution d’un consortium de toutes les compagnies qui opèrent dans le Sahara (Tableau-1)
La création d’un consortium de coopération scientifique pour l’exploration, l’agriculture, l’alimentation, l’environnement et le développement durable dont on déterminera l’opportunité, la faisabilité, les missions et l’organisation.
5- Formation et emploi massif des jeunes diplômés et de la main-d’œuvre locale
Ce mégaprojet est très attractif; il demande des dizaines de milliers de travailleurs, même des centaines de milliers à long terme et progressivement pour une très longue période. Le consortium doit ouvrir un centre de formation en la matière et doit recruter les jeunes cadres tunisiens formés et la main-d’œuvre locale en premier lieu.
6- Amendement du code des hydrocarbures
Il faut noter l’absence de cadres juridiques et fiscaux adaptés à l’exploration des hydrocarbures non conventionnels en Tunisie. Il faut commencer par la restructuration des secteurs de l’énergie et à l’instauration d’un dialogue sérieux sur les choix stratégiques à adopter dans ce domaine.
La loi sur les hydrocarbures devrait être modifiée afin d’introduire la réglementation nécessaire pour exploiter le gaz ou le pétrole non conventionnel, qui pourraient devenir une nécessité pour permettre au pays de satisfaire la demande locale et assurer son indépendance énergétique à l’horizon 2050.
Encore un article pour faire l’apologie du gaz de schiste sans réellement le dire… en nous promettant des retombées économiques et sociales … il y a qu’à voir l’exploration du gaz de schiste aux USA et surtout les dégats environnementaux engendrés,…maudit ce gaz et toutes ses techniques d’exploitation qui détruisent la terre…..
Yes Yes Yes! I am well aware that this article oversimplifies the matter for the forum. But I support the establishment of a strong oil industry in Tunisia and I thank the author for making a clear and logical case.The Establishment of a better governance and a transparent state is to proceed. that is if we do not wish to become a “failed state”.
Shale Gas could be extremely costly and extremely harmful to the environment. Unfortunately, many experiences proved it in the United States. The article is right about one thing: the cost of drilling. What most people don’t know is that, for Shale Gas, drilling operations need to be sustained at a much higher rate than conventional, in order to sustain a descent rate of production. Produced gas is a lot cheaper than oil in international markets, so unless it is sold in country (without transportation logistics headaches), whoever is going to develop Shale Gas in Tunisia must sell it in Tunisia at a relatively high price. It would be more adequate and cost effective to buy GPL from our dearly friend Qatar and elsewhere. It would also save our environment and preserve a lot of our sweet water.
[…] Le nombre de permis en cours de validité s’élève à 49 permis (40 de recherche et 9 permis de prospection). […]
Deux phrases me semblent contradictoires
“25% de la quantité d’eau dessalée pour la fracturation hydraulique et le reste pour l’agriculture”.
“Il faut interdire de toucher à la nappe fossile du continental intercalaire (les nappes phréatiques sont absentes au Sahara donc pas de pollution).”
Comment réserver 75% de l’au dessalée, à l’agriculture si les usines sont “logiquement” crée près des puits, qui se chargera du coût du transport ?
De plus cet article nous parle de puits arrivés à épuisement et de permis d’exploration, mais fait des projections avec des “s’il n’y a pas de nouvelles découvertes”. Autant dire aux sociétés qui ont des permis d’arrêter de perdre de l’argent car elle ne trouverons rien.
[…] d’état confirme l’analyse de notre spécialiste énergétique, Tarak Nehdi, qui confirme le déclin énergétique de notre pays. D’autres voix, pas très neutres, se sont lamentées du refus de la société civile concernant […]
Transformer Le Sahara en source d’énergie
Il existe “une solution ingénieuse” qui pourrait fournir jusqu’à 50% de l’énergie dont la Tunisie à besoin en utilisant entre autres le sable du désert du Sahara.
Ce projet permettrait d’utiliser le Sahara comme source d’énergie. En effet, le Sahara reçoit amplement la lumière du soleil sur de vastes zones, et son sable contient beaucoup de silice – la matière première pour fabriquer le silicium et donc les panneaux solaires. L’idée est donc de construire des usines de silicium et des centrales solaires au Sahara, afin de délivrer de l’énergie pour construire davantage de silicium et de centrales électriques dans un processus dit “d’élevage”. Dans le futur, ces usines pourraient fournir de l’énergie au niveau de tout le pays, à travers des lignes d’alimentation électrique utilisant des supraconducteurs à haute température.
L’oxygène demeure l’élément le plus abondant de la croûte terrestre, et représente 20% de l’atmosphère. En regardant le tableau périodique, vous pouvez voir que le silicium et l’oxygène se combinent pour former de la silice – la plus abondante matière première existante sur Terre. Si nous pouvons utiliser le sable du Sahara pour élaborer une substance qui fournit de l’énergie, ce sera la clé pour résoudre le problème de l’énergie. Ceci est faisable. En outre, l’énergie que nous recevons continuellement du Soleil est 10.000 fois celle actuellement consommée par l’humanité. Donc, si nous pouvons utiliser 0,01% de celle-ci, nous n’aurons pas de pénurie d’énergie, mais un excédent.
Il est possible de démontrer la faisabilité d’une usine de fabrication de silicium de haute pureté à partir du sable du Sahara et de la construction d’un système d’alimentation supraconducteur à haute température sur de longue distance.
Les serres à eau de mer utilisent l’énergie solaire pour transformer l’eau salée en eau douce, qui sera ensuite utilisée pour cultiver non seulement des légumes, mais aussi des algues possédant la capacité d’absorber du CO2. La centrale solaire à concentration fournira toute l’énergie nécessaire pour alimenter l’ensemble d’un complexe. Elle utilisera des milliers de miroirs focalisant la lumière du soleil sur un fluide calorifique porté à plus de 500 C°. La chaudière prendra ensuite le relais et produira de la vapeur, alimentant au final une turbine génératrice d’électricité.
et notre réserve d’eau souterraine ??
vous voulez pouluez notre plus grande réserve d’eau souterraine avec du gas de shistes !!!
Rapport que je trouve bien rédigé bien argumenté sauf qu’il faut toujours bien expliquer les réserves prouvés ou non.
Je partage d’avis avec Mr Tarek.
Je recommande d’envoyer une copie à Zitouna TV qui sont entrain de dire des bêtises sur le domaine du pétrole et les pseudo-experts qui les invite sont entrain de tremper les gens et de les induire en erreur sur le domaine d’exploration et la production du pétrole en Tunisie. Un expert parmi eux parlait du champs Gadames et il ne différencie pas entre bassin et champs. Ce pseudo-expert montre la couverture sismique comme étant un signe des réserves immenses,….
[…] et gazifière, en Tunisie, sont, actuellement, en régression continue ». Réalité, qui a été traitée sur Nawaat. D’après le scientifique, en Tunisie on a deux formations significatives pour le pétrole et le […]
[…] forme d’hydrocarbure, si les conditions que nous avons édictées dans le passé et qui ont été réclamées par la majorité de la société civile, sont […]
[…] et gazifière, en Tunisie, sont, actuellement, en régression continue ». Réalité, qui a été traitée sur Nawaat. D’après le scientifique, en Tunisie on a deux formations significatives pour le pétrole et le […]
Ca s’appelle de la masturbation mentale !
http://www.eia.gov/analysis/studies/worldshalegas/pdf/table4.pdf
Monsieur Omar Farouk vous devez nous expliquer, ce vous insinuez par bassin ? Personnellement je n’ai jamais rencontré de bassin de Pétrole.