كلام شارع : التونسي والإعلام

les medias en tunisie l’heure est au déffoulement, quelle suite? quel avenir?
Les medias en Tunisie créent beaucoup en matière passions, plaisirs surtout au sein même des équipes responsables dans les chaines télé, radio. Les journalistes se prennent énormément du plaisir au stade de la jouissance perverse…normal, pendants 60 ans ils n’ont jamais vécu une telle liberté, ni ils étaient associés à un vrai projet d’information et d’éveil de conscience par les débats contradictoire et par donner la bonne info. Ils étaient plutôt impliqués et complices au projet de la dictature. Mais au niveau du peuple, ces medias ont largement réussi à créer de la division et même de la haine. Par conséquence ils se retrouvent objectivement dans le camp de la contre révolution sans s’apercevoir ou ils font exprès, peut importe. Sauf que vu que leur actuel ce fonctionnement ne porte aucun argument qu’il pourra être une vraie source d’info, et un vrai espace des débats constructifs et contradictoires, dommage pour cette noble profession.
Voila un exemple pratico pratique, l’assassinat chokri belaid.
Bce et son parti comme le front populaire et les partis au gouvernement portent ensemble une responsabilité politique dans cette sordide affaire, et la responsabilité des médias publics et privés est engagée à cent pour cent, car se sont eux qui ont animé ce tiraillement politique et en plus ils ont pris de la passion et même du plaisir. Le seul qui ne c’est pas mouillé par des déclarations irresponsables est le président d’ennahda et le 1er ministre Mr Jebali. Ça il faut le dire et avoir le courage pour le dire. L’assassinat de chokri est une affaire qui doit être prise avec plus de sérieux politiquement et ensemble faire un travail sur les consciences, la conscience politique démocratique que nous souhaitons construire dans notre société afin de gagner en progrès, en démocratie en justice sociale et surtout en valeurs humaines de vivre ensemble avec nos diversité et différences. Nous somme dans une société élargie, et nous vivons dans un monde ouvert, où ce n’est pas que l’autorité de la famille ou de l’état qui régulent les relations, les autres espaces (le quartier, l’entourage, les institutions culturelles théâtre cinéma, le web…) tous ces espaces ont acquis une grande et conséquente part d’influence sur l’individu, car ce dernier il pourra être en chine, en usa, en étant dans sa chambre et sans le contrôle du père ou de la mère. Aujourd’hui vu la possibilité de communiquer, de se mettre en relation par la facilité on avoir chez soit le plus dangereux terroriste ou pédophile sans se rendre compte. L’assassinat de chokri doit être pris avec une grande importance dans son volet juridique et policier mais aussi dans son volet politique. Donc revenir sur cette assassina est une bonne chose, et maintenant après que les tentions sont plus au moins tombées, il ne faut pas hésiter d’en parler, mais voila il ne faut pas alimenter les haines et les accusations, nous sommes tous responsables. Et ce sujet fra bien un sujet en bac et qui pourra être introduit par le biais de la place du politique dans la société ou la place de la liberté, et non pas uniquement par la micro place de ‘’assassinat politique/liquidation physique’’ comme à proposé une enseignante à une classe de 9eme qui n’ont pas ‘’les élèves une base culturelle assez large à cet âge pour faire la différence entre les valeurs du défunt et des causes du meurtre…. (Je m’excuse auprès des lecteurs tout a l’heure j’écrivais à travers un portable et le commentaire était envoyé sans être complet). Ben Ali harab. Le coupable reste non trouvé et les responsables ça pourra être nous tous les naïfs et naïves qui n’ont pas su mesurer le danger des medias obsolètes et dépassés et des autres dangers des ennemis de la démocratie et du vivre ensemble en unité et dignité en étant différents et pluriels. Ben Ali harab. Mandhouj tarek. http://www.babnet.net/rttdetail-61424.asp

Le peuple est en train d’apprendre à gérer cette fameuse liberté d’expression, les politiciens sont en aprentissage de la vie politique et de la gestion d’un État, les médias aussi… Faut leur laisser le temps, tout simplement.