Notice: Function WP_Scripts::localize was called incorrectly. The $l10n parameter must be an array. To pass arbitrary data to scripts, use the wp_add_inline_script() function instead. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 5.7.0.) in /var/www/html/wp-includes/functions.php on line 6078 مساندة طلبة سوسة لسيدي بوزيد – Nawaat
Je viens d’écouter et voir la vidéo de Sousse. Je me réjouis énormément de voir confirmer ma conviction que dans mon peuple et dans sa jeunesse, il y a des hommes extraordinaires de l’envergure et du courage inouï de la figure, auteur de ce bref et immense discours qui a mis à nu un régime mafieux. Il l’a appelé régime des « compradores ». En effet il y a bien choisi l’endroit pour prononcer son discours : « Le palais de Justice » de Sousse. C’est bien de justice que le peuple est assoiffé. En quelques minutes et avec le courage des grands hommes des grands moments de l’histoire, il y a décortiqué toutes les caractéristiques criminelles du régime. Il a passé en revue tous ses crimes, sur le plan social, sur le plan économique, sur le plan moral et à tous les niveaux.
Il s’est tourné derrière lui et s’est adressé aux agents du régime en uniforme ou sans, pour leur rappeler à quoi consiste leur rôle : « Non pas à protéger le citoyen comme il se doit, mais à protéger ceux qui le volent et le dépouillent non seulement de tous ses biens, mais aussi et surtout de sa dignité. » Il n’a pas oublié de s’adresser aussi aux juges du régime qui se trouvent dans l’immeuble et à travers eux à tous leurs homologues dans tous le pays, pour le dire qu’ils ne font que retarder le jour où ils doivent rendre compte de ce qu’ils ont fait, ou plutôt des crimes qu’ils ont commis envers les innocents qu’ils envoyés passer leur vie dans les « Bastilles » sordides que le régime a élevées partout dans le pays. Il a tout dit, il a tout lu à haute voix, dans le livre gravé dans la mémoire de tous les hommes dignes. Il n’a rien oublié. Il a bien situé le point de départ de ce groupe mafieux : 1956. Et non 1987. Plus d’un demi-siècle. Il a cité tous leurs noms. Les noms de tous ceux à qui a profité le crime. Les noms que tout le peuple connait par cœur. Il n’a pas non plus oublié la fameuse « Communauté Internationale » celle qui soutient sans condition aucune ce régime mafieux.
C’est un discours, une analyse de toute élégance. Un défi sans pareil. Il a tout dit sur le martyr Mohammed Bou Azizi. Quand on arrive à ce point, à cette détermination dans n’importe quelle société, le Tournant, le grand tournant attendu est déclenché. Il n’y a plus rien qui va arrêter la chute de la Bande des Criminels.
Enfin, pour le moment, je m’incline profondément devant cet orateur, ce révolutionnaire, ce fils du peuple. En moins de dix minutes il a rendu au peuple toute sa fierté, sa gloire et sa confiance en lui-même. À présent les jours de la bande sont réellement comptés. C’est sûr.
…que dire de plus de ce qu’a écrit Mizaanoun, qui a résumé parfaitement le sentiment que j’éprouve en écoutant ce beau discours,digne d’un grand homme, prononcé de mémoire, avec une spontanéité sans pareil, et qui démontre une chose: la rage accumulée durant ces années de frustration et d’injustice. Les évènements lui ont donné raison et je m’incline avec respect devant l’audace et le courage de ce Monsieur. BRAVO.
هذا رجل والرجال قليل
Un courageux.
Meme les policiers écoutaient.
Je viens d’écouter et voir la vidéo de Sousse. Je me réjouis énormément de voir confirmer ma conviction que dans mon peuple et dans sa jeunesse, il y a des hommes extraordinaires de l’envergure et du courage inouï de la figure, auteur de ce bref et immense discours qui a mis à nu un régime mafieux. Il l’a appelé régime des « compradores ». En effet il y a bien choisi l’endroit pour prononcer son discours : « Le palais de Justice » de Sousse. C’est bien de justice que le peuple est assoiffé. En quelques minutes et avec le courage des grands hommes des grands moments de l’histoire, il y a décortiqué toutes les caractéristiques criminelles du régime. Il a passé en revue tous ses crimes, sur le plan social, sur le plan économique, sur le plan moral et à tous les niveaux.
Il s’est tourné derrière lui et s’est adressé aux agents du régime en uniforme ou sans, pour leur rappeler à quoi consiste leur rôle : « Non pas à protéger le citoyen comme il se doit, mais à protéger ceux qui le volent et le dépouillent non seulement de tous ses biens, mais aussi et surtout de sa dignité. » Il n’a pas oublié de s’adresser aussi aux juges du régime qui se trouvent dans l’immeuble et à travers eux à tous leurs homologues dans tous le pays, pour le dire qu’ils ne font que retarder le jour où ils doivent rendre compte de ce qu’ils ont fait, ou plutôt des crimes qu’ils ont commis envers les innocents qu’ils envoyés passer leur vie dans les « Bastilles » sordides que le régime a élevées partout dans le pays. Il a tout dit, il a tout lu à haute voix, dans le livre gravé dans la mémoire de tous les hommes dignes. Il n’a rien oublié. Il a bien situé le point de départ de ce groupe mafieux : 1956. Et non 1987. Plus d’un demi-siècle. Il a cité tous leurs noms. Les noms de tous ceux à qui a profité le crime. Les noms que tout le peuple connait par cœur. Il n’a pas non plus oublié la fameuse « Communauté Internationale » celle qui soutient sans condition aucune ce régime mafieux.
C’est un discours, une analyse de toute élégance. Un défi sans pareil. Il a tout dit sur le martyr Mohammed Bou Azizi. Quand on arrive à ce point, à cette détermination dans n’importe quelle société, le Tournant, le grand tournant attendu est déclenché. Il n’y a plus rien qui va arrêter la chute de la Bande des Criminels.
Enfin, pour le moment, je m’incline profondément devant cet orateur, ce révolutionnaire, ce fils du peuple. En moins de dix minutes il a rendu au peuple toute sa fierté, sa gloire et sa confiance en lui-même. À présent les jours de la bande sont réellement comptés. C’est sûr.
…que dire de plus de ce qu’a écrit Mizaanoun, qui a résumé parfaitement le sentiment que j’éprouve en écoutant ce beau discours,digne d’un grand homme, prononcé de mémoire, avec une spontanéité sans pareil, et qui démontre une chose: la rage accumulée durant ces années de frustration et d’injustice. Les évènements lui ont donné raison et je m’incline avec respect devant l’audace et le courage de ce Monsieur. BRAVO.