Violence 175

Face à la remontée de la violence en Tunisie, le congrès national contre la violence s’impose…

Il est certainement crucial de lancer un processus de lutte contre la violence nécessitant une intransigeance officielle à l’encontre des fauteurs de troubles et des instigateurs. Néanmoins, il est indispensable de prendre des mesures sociales et économiques au profit des couches populaires pour installer un climat de paix sociale nécessaire à toute transition démocratique capable d’unifier le peuple contre toute atteinte à ses acquis révolutionnaires et ses aspirations.

Répression à Siliana : Le rapport de la commission accable les forces de l’ordre

A la fin du mois de novembre 2012 alors que la population de Siliana manifestait son mécontentement face à sa situation socio-économique elle subissait une répression violente de la part des forces de l’ordre. Alors que Ali Laarayedh, ancien ministre de l’Intérieur, et aujourd’hui Premier ministre du pays, n’a toujours pas rendu de compte quand au déroulement des événements, une commission indépendante mise en place à l’initiative du FTDES vient de rendre un rapport.

Rapport Crisis Group | Tunisie : Violences et défi salafiste

Crisis Group publie aujourd’hui un rapport intitulé : Tunisie : violences et défi salafiste. Michaël Ayari, analsyte au sein de l’ONG qui œuvre pour la prévention et la résolution des conflits armés explique : « Nous avons commencé à travailler en juin 2012. Nous nous sommes intéressés à la transformation de l’islamisme politique. La question salafiste était sur le devant de la scène avec une utilisation de termes non objectifs. »

La polit-Revue : Chokri Belaïd au panthéon de la gloire

En ces temps d’affliction et de deuil national, une chronique politique parait presque indécente. Mais Chokri Belaïd, qui disait préférer mourir pour ses idées plutôt que de lassitude et de vieillesse, préfèrerait aussi sans doute que continue à s’exprimer une parole libre pour évoquer, à défaut de comprendre, l’ignominie qui l’a fauché en pleine ascension.

نادية داود الصحفية الشاهدة على إغتيال شكري بالعيد

التقيناها اثر خروجها من التحقيق من طرف فرقة مكافحة الارهاب بالقرجاني …نادية داود تحدثت عما شاهدته اليوم فقد تمت عملية اغتيال الشهيد شكري بالعيد أمام انظارها. سألناها عما رأت صباح اليوم و اليكم شهادتها على الواقعة وأطواره…

La violence politique dans la Tunisie postrévolutionnaire : Vers où ?

L’avocat Chokri Belaïd, figure de l’opposition tunisienne et leader du Parti Démocratique Patriotique (Watad), a été victime d’un attentat, mercredi 6 février 2013. Alors qu’il sortait de son domicile, le secrétaire général du Parti des patriotes démocrates unifié, allié au Front populaire, a été visé par des tirs. Ce crime touche au centre de gravité de la vie politique dans la Tunisie postrévolutionnaire puisqu’il met sous le microscope de l’analyse l’apparition de la violence politique sur la scène publique. Le concept recouvre de nombreuses activités comme les tentatives isolées d’assassinats, la guérilla locale ou à petite échelle, la rébellion armée, le terrorisme politique et l’état de terreur.

Chokri Belaid abattu de plusieurs balles devant son domicile

Chokri Belaid, médiatique leader du Front de gauche (Jabha Chaabya), a été abattu de plusieurs balles tôt ce mercredi matin devant son domicile de Menzah 6. La figure charismatique de la gauche révolutionnaire a été atteinte par deux à quatre balles. Le gouvernement parle de trois coups de feu.

Traite des personnes : l’OIM décide d’agir en Tunisie

Bonnes couchante, enfants vendeurs de rue, personne handicapée, personne vivant à l’étranger… La traite touche tout type d’individu. Dans le monde 800 000 personnes sont chaque année victimes de traite transfrontière, elles seraient encore plus nombreuses dans les réseaux de traite interne d’après l’Organisation Internationale pour les Migrations.

Le Tunisien est-il antisémite ?

En Tunisie, depuis la révolution, les pulsions réprimées et la parole censurée sous la dictature, s’expriment désormais au grand jour, dans une explosion formidable. Parmi ces sentiments réprimés, il en existe un qui subsiste dans cet inconscient collectif : l’antisémitisme qui apparaît au grand jour comme une composante de la société.