Dis-moi, Lune, toi qui es si proche ce soir, toujours mystérieuse, encore indomptable
(jusqu’à quand se souviendront-ils que sur ta face, ils ne doivent pas écrire?)
Dis-moi, Lune, toi qui es si proche ce soir, toujours mystérieuse, encore indomptable
(jusqu’à quand se souviendront-ils que sur ta face, ils ne doivent pas écrire?)
“J’habite une blessure sacrée / j’habite des ancêtres imaginaires / j’habite un vouloir obscur / j’habite un long silence /j’habite une soif irrémédiable /j’habite un voyage de mille ans / j’habite une guerre de trois cents ans /j’habite un culte désaffecté /entre bulbe et caïeu / j’habite l’espace inexploité”. Aimé Césaire.
En mars 2006, j’écrivais, à l’occasion de la première commémoration de la disparition de Zouhair Yahyaoui : « Il y a un an, le chenapan du net tirait sa révérence. La vie continue pourtant à avoir le dessus et il faudra bien s’habituer à vivre sans lui mais toujours avec son souvenir. Car non, la mort ne dissout pas tout, surtout pas l’amitié ! » […]
Et ça bascule Résumé à ma façon, dites moi si ce n’est pas bon. De retour à mes cartons, je […]
Monsieur le Président merci pour votre visite, Elle vient un peu tard, hélas, ce n’est pas ce que je mérite Avant de m’allumer j’ai crié justice aux élites, Ils sont apparemment sourds sans âme on dirait des ermites. […]